• Le Mexique précolombien

      

    Le post-classique

    La destruction des grands centres urbains par des peuplades moins civilisées ne conduisit pas à la disparition totale des cultures, mais, comme dans le cas de la conquête romaine de la Grèce, à une acculturation des nouveaux venus. Beaucoup de centres secondaires survécurent à la destruction et les groupes “barbares” finirent par se mélanger aux populations locales pour donner naissance à de nouvelles formes culturelles qui dureront jusqu’à la conquête espagnole. Cette nouvelle période, appelée Post-classique, se caractérise, entre autres, par la survivance de nombreux témoignages oraux qui, recueillis par les Espagnols, sont parvenus jusqu’à nous, mais aussi par la production d’un certain nombre de documents manuscrits, appelés Codex, qui contiennent une grande quantité de renseignements historiques.

    A mesure que les villes du centre des terres mayas s'effondraient, les villages se rapprochaient de la côte. Les Mayas se mêlèrent aux Toltèques et à d'autres peuples du centre du Mexique qui migraient vers des cités telles que Chichén Itzá. Les marchands mayas atteignirent les colonies aztèques des côtes du Golfe et du Pacifique à bord de leurs pirogues chargées de peaux de jaguar, de plumes de quetzal, de cacao et d'or.

    CODEX : manuscrits faits à la main, le plus souvent en fibres végétales d’agaves ou de peaux d’animaux en formes de bandes allongées et pliées en accordéon; ils étaient exclusivement réalisés par le « tlacuilo », sorte de peintre – scribe qui reproduisait avec beaucoup de soins et de détails, mélant les symboles abstraits et les images naturalistes. Les têtes humaines et animales étaient souvent représentées et les divinités parfois mentionnées. La plupart ont été incendiés durant le XVIème siècle par les Espagnols qui tentaient de convertir les Mayas et les Aztèques au christianisme. Certains ont été épargnés ce qui a permis une reconstitution d’informations importantes. Ils sont les seuls survivants d’un système de lecture-écriture spécifique aux cultures méso-américaines.

    codex maya

     

     

    Photo de gauche : codex maya

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Les Toltèques

    vue sur Tula, antique capitale des ToltèquesConduits par leur chef Mixcoatl, les Chichimèques firent leur apparition sur les hauts plateaux. Ces groupes náhuatl occupèrent la vallée de Tula et se mélangèrent aux populations locales otomís. Quetzalcóatl, dont le nom véritable était Topiltzin ce-acatl, fut le fondateur de Tula, la capitale des Toltèques. Cette ville, encore mal explorée, dominait légèrement la vallée. Au centre, une grande place entourée de constructions formait l’ensemble administratif et religieux.

    Photo de droite : vue sur Tula, antique capitale des Toltèques

    Une de ces constructions, la pyramide dédiée au dieu Quetzalcóatl - Tlahuizcalpantecuhtli, était surmontée d’un temple dont le toit était soutenu par d’énormes colonnes cariatides qui représentent des guerriers toltèques. Plus tard, fut ajoutée, au pied de cette pyramide, une vaste salle hypostyle de 55 m sur 15 m. D’autres éléments typiques de cette période ont été découverts à Tula, en particulier des sculptures, connues sous le nom de Chac Mool, représentant un personnage allongé sur le dos, le torse dressé, les genoux pliés et tenant sur l’estomac un plat pour les offrandes.

    Voir le chapitre consacré à Tula

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    Un peu d’histoire

    Par les textes historiques qui nous sont parvenus, certains affirment que le roi Quetzalcóatl aurait disparu en 999 et que d’autres rois, dont les noms nous sont connus, lui auraient succédé jusqu’à Huémac, qui aurait vécu jusqu’au milieu du XIIème siècle. C’est au cours de son règne que serait survenue la chute définitive de Tula.
    Les historiens distinguent cependant deux phases dans le déclin de Tula. La première aurait eu lieu à la fin du règne de Quetzalcóatl, expulsé par les prêtres sacrificateurs de Tezcatlipoca et dont les survivants auraient laissé de fortes influences au Yucatán et au Guatemala; la seconde à la fin du règne de Huémac, au cours duquel un autre groupe náhuatl qui était venu s’installer à Tula, les Nonohualcas-Chichimèques, se soulevèrent contre les derniers Toltèques. Les survivants émigrèrent eux aussi vers le sud et s’en furent renforcer ceux qui, un siècle et demi avant, avaient fui avec Quetzalcóatl.

      

      

      

      

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  • Au Yucatán

    chac mool à Chichen Itzá (Yucatán) L’influence des ToItèques au Yucatán est évidente à partir de l’an 1000. Les Itzas, nom peut-être donné aux Toltèques par les Mayas, s’installèrent sous le commandement de Kukulcán, à Chichén Itzá où ils construisirent une ville qui serait une reproduction de Tula. D’autres villes comme Mayapàn furent bâties par ces étrangers qui, bien souvent, s’installèrent aussi dans les anciennes cités mayas, comme ce fut le cas de la dynastie Xiu qui occupa Uxmal. Pour renforcer leur pouvoir, ils formèrent la Ligue de Mayapán qui dura environ deux siècles. Chichén ltzá fut cependant la ville la plus prospère de la région. La pyramide connue sous le nom de “el Castillo” présente, avec un escalier sur chaque face, une forme complètement différente des pyramides mayas. Le temple des Guerriers, avec ses colonnes d’entrée en forme de serpents dressés, et les salles hypostyles qui entourent la base du temple sur deux côtés, sont nettement de style toltèque, ainsi que le Jeu de Balle avec anneau (tlaxtli). La colonne, introduite alors dans l’architecture du Yucatán, sera adoptée par les Mayas.

    Photo de droite : chac mool à Chichen Itzá (Yucatán)

    Le Chac Mool sera reproduit en nombreux exemplaires sur le site. Mais, pour des raisons dynastiques, la Ligue de Mayapán sera détruite en 1440 par les Xius et leurs alliés, et bientôt les grandes villes seront abandonnées. Les Itzás se réfugièrent à Tayasal, dans le Petén du Guatemala, où ils résistèrent aux forces espagnoles jusqu’en 1697; les Xius construisirent leurs modestes demeures à Mani et les Cocoms de Mayapán s’installèrent à Tibolon. Seuls les sites de la Côte Caraïbe, occupés par des commerçants, survécurent jusqu’à la conquête espagnole.

     

    représentation des guerriers toltèques (sources :présidence du mexique)Sur les hauts plateaux du Guatemala, où l’influence mexicaine de Teotihuacán était si marquée à Kaminaljuyu, d’autres groupes náhuatl, peut-être partis de Tula, vinrent s’installer à partir du Xème siècle. Ils formèrent de petits royaumes guerriers comme celui des Quichés, dont la capitale était Utatlan, des Cakchiquels à Iximché et des Tzutuhils qui, toujours en dispute, furent rapidement dominés par les Espagnols. Les Quichés nous léguèrent un des livres les plus importants sur les Mayas de cette période : le Popol Vuh « le livre du conseil ».

    Photo de gauche : représentation des guerriers toltèques (source : présidence du Mexique)

    Le Quetzalcóatl

    Le fameux “serpent à plumes”, mage, roi toltèque-chichimèque, messie, ennemi des sacrifices humains, deviendra plus tard un Dieu. C’est vers le Xème siècle qu’il règne sur Tula. Son voisin et ennemi, le roi Tezcatlipoca, lui aussi d’origine divine, le chassa de son trône et de son royaume. Avant de disparaître dans la direction de l’est, Quetzalcóatl promit à ses fidèles de revenir avec le vent de l’ouest, quand « la gerbe d’années me sera favorable ». Cette gerbe, ou cycle de l’ancien calendrier, signifie cinquante-deux ans. Lorsque Cortés homme clair de peau, apparut justement au début d’un cycle aztèque, Moctezuma n’eut aucun doute ; il s’agissait bien de Quetzalcóatl dans une nouvelle incarnation !

    Le Jeu de Balle

    le fameux serpent à plumes, le Quetzacóatl Le Jeu de Balle appelé « Pok-ta-pok » chez les Mayas Toltèques est étroitement lié au rite à dimension cosmique. C’est un jeu avec deux équipes de sept qui constituait à faire passer une lourde balle de caoutchouc d’un camp à l’autre. Le but du jeu était de faire rebondir la balle dans le camp adverse ou de marquer des points en projetant la balle au travers d’un étroit anneau de pierre. Les joueurs ne pouvaient pas se servir de leurs mains mais plutôt de leurs hanches ou de leurs avant-bras. La dureté et le poids de la balle en caoutchouc rendaient le passage dans l’anneau incertain. La balle ne devait jamais toucher le sol dans son propre camp. Plus qu’un sport, il s’agissait d’un combat cosmique. Renvoyée d’un camp à l’autre, la balle simulait probablement les mouvements du soleil et des planètes. C’était en fait les Dieux qui décidaient les vainqueurs du jeu comme ils décidaient qui serait victorieux à la guerre. Les perdants avaient le privilège d’être sacrifiés, rappelant les origines mythiques de la civilisation Maya et la résurrection du Dieu maïs.


    Photo de droite : le fameux serpent à plumes, le Quetzacóatl

    Voir le chapitre consacré à Chichén Itzá et à Mayapán

     Les Mixtèques

     codex mixtèqueAprès la décadence de Monte Albán, les relations avec l’extérieur paraissent se rétablir. De nouveau les produits étrangers circulent dans la vallée. Vers l’an 1000, l’influence des voisins mixtèques se fait sentir et augmente avec le temps. Cette influence ne modifie en rien les coutumes du peuple zapotèque, mais marque profondément celles de son aristocratie. L’architecture conserve les caractéristiques zapotèques des époques antérieures ; seule la décoration s’enrichit, comme on le voit dans les palais de Mitlá, aux murs couverts de grecques de pierre.

    Photo de gauche : codex mixtèque

    Cependant, cette influence mixtèque finit par se fondre dans le substrat zapotèque à tel point que la langue mixtèque disparaît très vite des vallées centrales. La renommée de l’art mixtèque provient surtout des objets découverts dans la Tombe N° 7 de Monte Albán et à Zaachila.

    Venue d’Amérique du Sud, l’orfèvrerie connue chez les Mixtèques un renouveau extraordinaire et la plupart des objets d’or envoyés par les Conquistadors en Europe avaient cette origine.
    L’évolution de cette culture fut interrompue vers 1520 par l’arrivée de Cortés.

    Voir le chapitre consacré à Mitlá et à Zaachila

     Les Aztèques

    Originaires de l’Aztlan mythique, les Aztèques voyagèrent durant deux siècles, avant de s’établir dans la vallée de Mexico où, selon les prophéties, un aigle dévorant un serpent sur un cactus leur aurait indiqué l’emplacement de leur ville, appelée Tenochtitlán, fondée en 1325. Vassaux des rois d’Azcapotzalco, les fils de Huitzilopochtli, le dieu de la guerre, conquirent leur indépendance sous le règne d’Itzcoatl et confirmèrent leur expansion colonialiste sous Moctezuma. Parallèlement, les empereurs embellirent leur ville, construisant des temples et des palais somptueux. Les conquêtes atteignirent les côtes du Golfe et du Pacifique jusqu’aux frontières du Guatemala. La richesse et la splendeur de cette ville susciteront l’admiration des Espagnols qui s’en emparèrent le 13 août 1521. Cortés fit exécuter Cuauhtemoc, le dernier empereur aztèque, pendant son expédition au Honduras.

    tenochitlán avec ses 200 000 habitants (source : présidence du mexique)


    Photo de gauche : tenochitlán avec ses 200 000 habitants (source : présidence du Mexique)

    Sur le site www.mexica.net vous trouverez des informations complémentaires sur les différents peuples du Mexique ainsi qu’un dictionnaire et des leçons de náhuatl.

    De leur sculpture, malgré les destructions massives perpétrées par les Espagnols il reste suffisamment de pièces pour démontrer la maîtrise des artisans aztèques.

     




    calendrier aztèque au musée d'anthropologie de Mexico La Pierre du Soleil appelée CALENDRIER AZTEQUE en est un bel exemple.

    Découverte à la fin du XVIIIème siècle pendant la construction de la cathédrale de la ville de Mexico, elle se trouvait sur la pyramide double de Tenochtitlán dédiée à Tlacoc et Huitzilopotchli, dieux de la pluie et de la guerre, mais aussi dieux de l’Homme nouveau et de la guerre fleurie. Ce disque de basalte de 3,6 m de diamètre et d’un poids de 25 000 kg est couvert de hiéroglyphes résumant l’ensemble des conceptions cosmologiques et chronologiques des anciens Mexicains. Les Aztèques ont fait revivre l’art du masque en pierre, souvent incrusté de pierres dures, qu’avait inauguré l’âge classique de Teotihuacán. Ce disque se trouve désormais au Musée National d’Anthropologie de la ville de Mexico.

    Photo de droite : calendrier aztèque au musée d'anthropologie
    de Mexico


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    Dix minutes de vidéo sur la vie des Aztèques (sous titrage en espagnol)

     

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    LES MAYAS - civilisation contemporaine de Teotihuacán -

    La culture des Mayas est si proche de celle des Olmèques que certains chercheurs en arrivent à affirmer qu’ils en sont non seulement les héritiers, mais qu’ils formaient un seul et même peuple. Les pyramides, les places, les stèles, les jeux de balle, le dieu jaguar et les jades, les hiéroglyphes, les mathématiques, les chronologies basées sur les “séries lonsymboles d'écritures mayas (source: présidence du mexique)gues”, inventées par les Olmèques, se retrouvent et se développent chez les Mayas.
    L'eau est une préoccupation majeure des Mayas qui invoquent pour leurs récoltes le dieu de la pluie et du tonnerre, Chac. Les représentations de ce dernier abondent dans l'art et l'architecture.

     

     

    Photo de droite : symboles d'écritures mayas
    (source : présidence du Mexique)


    Un vide culturel sépare néanmoins les dernières manifestations olmèques des premières manifestations des Mayas. Entre le IIème siècle avant notre ère et le IIIème siècle de notre ère, rien ne paraît indiquer la présence de peuples civilisés dans la région où se développera la culture maya, hormis les stèles et monuments datés de la côte Pacifique du Chiapas et du Guatemala (Izapa, BI Baul).

    La culture maya se développa dans un vaste ensemble de villes- sanctuaires, groupées peut-être par régions formant des confédérations.

    Le territoire lui-même se divise en quatre régions :

    La zone centrale qui couvre le Petén (Guatemala), le Belize et la vallée du Motagua jusqu’au Honduras. Les sites principaux sont Tikal, Uaxactun, Quirigua, Copán,…

    La vallée de l’Usumacinta dans le Chiapas, avec Palenque, Bonampak, Yaxchilán, Piédras Négras

    Les terres basses du nord qui couvrent toute la péninsule du Yucatán, avec des sites comme Chichén ltzá, Uxmal, Cobá, Tulum.

     

    vue sur le Temple des Guerriers de Chichén Itzá (Yucatán) La zone du sud qui couvre les hauts plateaux du Guatemala.

     

     

     

     

     


    Photo de droite : vue sur le Temple des Guerriers de
    Chichén Itzá (Yucatán)


    Documentaire en espagnol de 10 mns sur la culture maya

     

    La splendeur des cités sanctuaires

    relief maya montrant le roi Pakal et sa mère à Palenque Des populations vivaient déjà sur l’ensemble du territoire avant la construction des premiers sanctuaires urbains et devaient, sous l’influence des Olmèques, avoir déjà développé certaines formes régionales de cultures.

     

    Photo de droite : relief maya montrant le roi Pakal et sa mère
    à Palenque


    Sous l’influence des cultures de Teotihuacán et de Monte Albán, la civilisation maya cristallise vers la IIIème siècle de notre ère, principalement dans la région centrale. Tikal est l’ensemble le plus important. Le centre de cette métropole, qui couvre 16 km2, possède plus de 3 000 constructions, dont la plus haute, le Temple IV, atteint 70 m.
    Les crêtes surplombant les temples étaient décorées de grands mascarons de stuc peint qui ont disparu. Aux pieds des grands ensembles, des rangées de stèles peintes, stuquées ou sculptées, et des autels circulaires paraissent indiquer l’existence d’un culte des grands personnages. A côté de ces représentations s’alignent des rangées de glyphes et des dates dont la plus ancienne correspond à l’année 292 de notre ère et la plus récente à 879. Une période creuse paraît avoir existé vers le VIIème siècle. Certains éléments, représentations du dieu Tlaloc et des plates- formes à “talud et tablero”, indiquent une certaine influence de Teotihuacán vers le Vème siècle.

     

    représentation de Tlacol, roi de la pluie (source : présidence du mexique)

     

    Photo de gauche : représentation de Tlacol, roi de la pluie (source : présidence du Mexique)

     

    Les Mayas ont mis au point un système d’écriture mi-pictogramme, mi-phonétique composé de 300 à 500 symboles. Dans les années 1980, on a enfin pu le déchiffrer ce qui a constitué un progrès important dans la compréhension de cette culture. Sur le calendrier maya utilisé par d’autres populations précolombiennes, les mayas avaient même noté les événements célestes et terrestres, en imaginant les éclipses du soleil, les trajectoires de la lune et de Vénus.

     

    calendrier mayaLa vallée de l’Usumacinta

    Dans cette vallée, qui traverse l’Etat du Chiapas au Mexique, les influences de Teotihuacán et du Petén se font sentir sur certains sites comme Piedras Negras et Yaxchilán mais la cité nécropole de Palenque, avec son style d’architecture et sa sculpture, conserve une personnalité très particulière. Située à l’orée de la jungle, sur les contreforts de la sierra, elle domine une vaste savane où abondaient les villages agricoles. La richesse de cette région et la nombreuse population qui y vivait ont permis la réalisation de ces oeuvres splendides qui, comme les peintures de Bonampak et le trésor de la tombe de Palenque, sont des gloires de l’art maya.
    Pour des raisons encore inconnues, Palenque aurait été abandonnée par ses habitants et occupée par des étrangers à la fin du IXème siècle.

     

     

     

    Photo de droite : calendrier maya

     

     

     

    Le Yucatán

    Ses régions ont subi des influences diverses. Citons principalement les styles Rio Bec, Chenes et Puuc. Le plus connu est le dernier, avec des sites comme Uxmal, Kabah, Sayil et Labna. L’architecture se caractérise par la présence de constructions basses très allongées, aux lignes horizontales très marquées, et aux façades de pierres taillées et finement polies. Ces façades sont généralement lisses, mais les frises sont toujours chargées de motifs géométriques et de grecques où abondent les représentations stylisées de Chaac, le dieu de la pluie.

    Voir le chapitre consacré à Uxmal et la Route Puuc

     

    Le mystère de l’abandon des villes mayas

    La période classique vécut son déclin vers le IXème siècle. Dans certaines régions comme la vallée de l’Usumacinta, à Palenque en particulier, ainsi que dans le Petén, des traces de violence et de destruction ont été découvertes. Changement de climat, épidémies, révolutions, invasions, toutes les hypothèses ont été proposées, mais rien n’explique encore l’abandon définitif des grandes cités mayas de la période classique. Ce phénomène méso-américain restera encore inexpliqué pendant longtemps. Dans la région Puuc, la transition parut se faire plus pacifiquement et l’influence des hauts plateaux mexicains, qui marquera la période postclassique, se mélangera harmonieusement aux éléments mayas.

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    Le monde perdu des mayas - Belle vidéo de 16 mns. Partie 1/3

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     


    Le monde perdu des mayas - Belle vidéo de 16 mns. Partie 2/3

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     
    Le monde perdu des mayas - Belle vidéo de 16 mns. Partie 3/3

     

    Contrairement aux idées reçues, les Mayas n'ont pas disparu pour autant. ils sont des millions de descendants à vivre aujourd'hui au Guatemala et au Mexique, dont la majorité parle encore des langues héritées de leurs ancêtres. La crise des Basses Terres aux IX et Xème siècles a en particulier épargné le nord de la péninsule du Yucatán où ont prospéré les grandes cités de Chichén Itzá, puis de Mayapán. Une nouvelle période voit le jour, à partir du XIè siècle et jusqu'à la conquête espagnole, que les archéologues appelent le post-classique. Mais les changements sont notables. Si l'écriture hièroglyphique subsiste dans les manuscrits divinatoires (codex), elle ne célèbre plus les hauts faits des rois, autrefois gravés sur les stèles. La royauté cède la place à un autre système politique, où le pouvoir est detenu par des nobles siègeant à côté d'un ou deux rois. Le changement est aussi visible dans l'art et l'architecture. L'influence des Toltèques, venus du Mexique central, devient forte. Des métissages ont lieu, dont l'importance fait l'objet de débats. Une part conséquente de ce qui a longtemps fait l'originalité culturelle des Mayas a bel et bien disparu.

     

      

      

      

     

     

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  • La malecdiction de touthankamon

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  • OVNI col de Vence

    La région du Col de Vence, à 20 km au Nord-Ouest de Nice, est riche en énigmes, et plus particulièrement les alentours comme le plateau de Saint Barnabé et le bois des Puys. Le signalement "d'entités", d'ovnis et de faits inexpliqués ont attiré l'attention de "curieux" depuis des siècles, à commencer par les romains, puis les templiers. En 1971, Guy Tarade évoque aussi dans ses "dossiers de l'étrange" (Robert Laffont, pp. 34 à 37) le village de Saint-Barnabé, à moins de 50 km de Nice, où l'on trouve de bien étranges rochers sculptés dans un paysage lunaire. Quel est cet étonnant lieu où, en plus d'observations d'ovnis, on signale des pierres tombant du ciel, des phénomènes thermiques ou sonores innatendus ?

    Gréolières

    Le village de Gréolières
    Le 7 Mars, au village de Gréolières, un témoin qui dormait chez lui se réveille à 4 h 30 du matin - un bruit suspect qui l'a inquiété du fait que quelqu'un avait déjà essayé de lui voler sa voiture la nuit précédente. Le témoin observe 5 points lumineux dans le ciel à l'aplomb d'un pylône EDF, au-dessus des sommets montagneux qui forment l'horizon [LDLN N° 324 p. 27].

    Le témoin a une perte temporaire de l'ouïe, ainsi qu'une une sensation de fatigue ou de chaleur. Il est le seul à voir un "énorme" ovni apparemment lointain, se déplaçant horizontalement, malgré la présence d'autres témoins potentiels alentour.

    Le phénomène se produit deux fois à l'identique, à 20 mn d'intervalle. Le témoin précise qu'il ne voyait pas la Lune [Delinger].

     
      
    Saint-Barnabé, Vence

    Le 7 Juillet, on voit 3 étoiles en ligne se déplaçant horizontalement. Les témoins ressentent un silence semblant anormal, où leurs voix paraissent feutrées.

    Une étude ultérieure de cette observation a identifié le phénomène comme étant un triplet de satellites militaires NOSS 2-2. Le "silence anormal", "extraordinaire et presque effrayant" et la voix feutrée des témoins n'est pas expliqué, mais un des témoins a clairement contesté cette perturbation auditive, ce qui montre en tout état de cause qu'il s'agissait d'un phénomène subjectif [Delinger].


    De Caille à Gréolières

    Le 5 Août, en milieu d'après-midi, une grosse boule blanche est observée au-dessus de la crête, trait lumineux et flash. L'observation dure 7 heures consécutives. La présence d'une parabole de relais hertzien (ou d'un panneau solaire) à proximité, cette parabole pouvant être soupçonnée de réfléchir le soleil qui se coucheà l'opposé.

    La
    Moulière, GrasseLe 9 Août, Joël Mesnard, arrive sur les lieux pour enquêter. Le soir il dîne au restaurant, et s'assied le dos à la fenêtre. Lorsqu'il voit une grosse étoile clignotante, son vis-à-vis l'invite à se retourner.

    Les ufologues qui se rendent au Col de Vence ont souvent droit eux aussi à une apparition (par exemple Gildas Bourdais y a été témoin d'une manifestation sonore incompréhens
    ible).

    Rien de mieux pour illustrer ceci par une video

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    La civilisation Maya a établi l’une des cultures les plus sophistiquées de son époque dans les jungles du Mexique et de l’Amérique Centrale.
    Célèbres pour leurs cités, les Mayas nous ont également laissé un calendrier énigmatique. Il ne reste malheureusement du calendrier Maya que quelques extraits.

     

    1. Calendrier Maya
    2. Calendrier Maya et science actuelle
    3. 2012: la fin du monde. Mythe ou réalité ?
    4. 2012: Analyse du 5e cycle ou 5e Soleil
    5. 2012 le film
    6. La réponse de la NASA au film 2012 de R. Emmerich

     

      

    Le calendrier Aztèque

    Les peuples et cultures qui se sont succédées au Mexique, dont notamment les Aztèques et les Mayas, croyaient que le temps était divisé en cinq grands cycles (ou soleils).
    Les prêtres disaient que quatre cycles s’étaient déjà écoulés depuis la création de la race humaine.
    A l’époque de la conquête espagnole, l’humanité était déjà entrée dans le cinquième soleil, soit notre époque.
    Ces cycles étaient marqués par des créations et des destructions successives. Le dernier cycle aurait commencé le 4 Ahau 8 Lumku c’est-à-dire le 13 août 3 114 avant notre ère.

    Bien après les Mayas, les Aztèques reprirent ce calendrier dont l’origine s’était perdue dans la nuit des temps.
    On a pu en déchiffrer une partie grâce à des manuscrits aztèques connus sous le nom de Codex du Vatican.

    Codex aztèque

    Codex aztèque. By william.neuheisel . Licence

    " Le premier soleil, Matlactli Atl : durée 4 008 années. A cette époque vivaient des géants. Le premier soleil fut détruit par l’eau.
    On lui a donné le nom d’Apachiohualiztli (inondation, déluge). Les hommes furent transformés en poissons. Un seul couple survécut et repeupla la Terre. D'autres disent que sept couples se cachèrent dans une grotte en attendant la fin du déluge. Ils repeuplèrent la Terre et furent adorés comme des Dieux par leurs nations ..."

    " Le second soleil, Ehecoatl : durée 4 010 années. Ce soleil fut détruit par Ehecoatl (le Serpent du Vent) et les hommes furent changés en singes.
    Un homme et une femme furent sauvés de la destruction..."

    " Le troisième soleil, Tleyquiyahuillo : durée 4 081 années. Ce soleil fut détruit par le feu. Les hommes qui descendaient du couple rescapé du second soleil, mangeaient un fruit appelé tzincoacoc ..."

    " Le quatrième soleil, Tzontlilic : durée 5 026 années. Les hommes moururent de faim après un déluge de sang et de feu..."

    Teotihuacan, détail du palais de Quetzalpapalotl

    Teotihuacan, détail du palais de Quetzalpapalotl, qui présente
    le symbole du calendrier relatif à l'année en cours. By kudumomo. Licence

    On retrouve ce calendrier aztèque sur un énorme monolithe « la Pierre du Soleil » à Axayacatl. Cet énorme monolithe a été taillé dans le basalte en l'an 1479 de notre ère. Il pèse plus de 80 tonnes. Comme dans le Codex, les formulent inscrites disent que le monde a déjà traversé quatre époques ou soleils.

    Pierre du Soleil Azteque

    « la Pierre du Soleil » à Axayacatl . By gripso_banana_prune . Licence

    Le premier soleil est représenté par Ocelotonatiuh, le "dieu-jaguar". Le deuxxième est représenté par la tête du serpent Ehecoatl, le dieu de l'Air. Le troisième est symbolisé par une tête faite de pluie et de feu céleste. Le quatrième est symbolisé par la tête de la déesse de l'Eau Chlachiuhtlicue.

    Codex azteque

    Codex aztèque. By william.neuheisel . Licence

    Quand prendra fin le cinquième soleil ? Les Aztèques avaient déjà oublié la méthode pour calculer cette date d’anéantissement final.

    Mais les Mayas qui les avaient précédés avaient, eux, calculé le moment exact où le grand changement mettrait un terme à ce cinquième et dernier cycle.

    Le symbole du cinquième soleil est le visage de Tonatiuh, le dieu-soleil. Sa langue fait voracement saillie, symbolisant la soif de sang et la faim de coeurs humains du dieu. Il apparaît à l'intérieur du symbole Ollin qui signifie "mouvement".

    Pourquoi le soleil du mouvement ? Parce que selon les inscriptions: " au cours du cinquième soleil, la Terre se mettra en mouvement et nous périrons tous".

    Vestiges de l’écriture et des connaissances Mayas

    Les mayas ont laissé derrière eux une profusion de décomptes calendaires. Aujourd’hui, il ne subsiste que quatre codex (manuscrits enroulés) de la folie destructrice des missionnaires espagnols.

    Codex Maya

    Codex Maya. By Whirling Phoenix . Licence

    Ces manuscrits sont essentiellement des calendriers remplis d’indications astrologiques. Il est évident que les scribes qui rédigèrent ces calendriers étaient experts en astronomie.

    A l’aide de calculs mathématiques sophistiqués, ils déterminaient les mouvements du ciel nocturne des milliers d’années dans le passé et dans le futur.

    Ils savaient également prédire les éclipses du soleil. De même, ils savaient en combien de temps la Lune tourne autour de la Terre.

    Glyphe maya

    Glyphe maya. By Adal-Honduras . Licence

    Ils maniaient parfaitement le concept du zéro sans lequel tout un arsenal mathématique n’existerait pas. Rappelons que ni les Grecs, ni les Romains n’en avaient la moindre idée.

    Si les manuscrits ont été irrémédiablement détruits, heureusement pour nous, les Mayas ont gravé sur des stèles les évènements importants survenus dans la vie de leurs dirigeants.

    Video stèle Maya

    Le grand escalier hiéroglyphique de Copan est la plus longue inscription gravée du Nouveau Monde.
    Il s’agit de véritables archives historiques d’un peuple disparu. Nous ne sommes, actuellement, capables d’en lire que des fragments car les premiers archéologues l’ont reconstitué d’une façon désordonnée.

    Escalier de Copan

    Le grand escalier hiéroglyphique de Copan . By Adal-Honduras . Licence

    Actuellement, on ne peut traduire que la moitié des glyphes Mayas. Des stèles qui reprennent le principe du calendrier sont arrivées jusqu'à nous.

      

     

    Le calendrier Maya

    Les Mayas attribuaient l’origine de leurs connaissances en Astronomie à leurs aïeux qui les tenaient des premiers hommes.
    En fait, on ne peut être que perplexe devant les évidentes disparités qui existent entre les réalisations assez médiocres des Mayas et leurs connaissances en astronomie.

    A part en architecture, la culture Maya est assez primitive. Alors, comment ont-ils pu cartographier l’univers alors qu’ils ne connaissaient pas le principe de la roue ?
    Comment ont-ils pu compter en millions d’années et n’avoir jamais réussi à peser un sac de maïs ?

    Copan

    Cité maya de Copan. By Adal-Honduras . Licence

    Peu de scientifiques contestent le fait que les Mayas tenaient leur calendrier d’une autre civilisation, les Olmèques.
    Au IIe siècle avant notre ère, ces derniers utilisaient le même système de calcul du temps. Mais de qui les Olmèques tenaient-ils ce calendrier ?

    Il faut se rendre à l’évidence que le calendrier Maya est d’une stupéfiante précision.

    L’année solaire compte 365,2420 jours soit une erreur de seulement 0,0002 jour. Le calendrier Maya se révèle donc encore plus précis que le calendrier grégorien (365,2425) introduit en Europe en 1582.
    Nous savons aujourd’hui que le chiffre exact est de 365,2422 jours.

    Les Mayas utilisaient leur propre système de notation qu’ils tenaient des Olmèques.

    Le système est une combinaison :

    • De points (correspondant au chiffre 1 ou à des multiples de 20)
    • De barres (chiffre 5 ou des multiples de 5 fois 20)
    • De glyphes en forme de coquillages (le zéro)

    Comment les Mayas comptaient-ils le temps ?

    Le temps était compté de la manière suivante :

    • En jours (kin)
    • En périodes de 20 jours (uinal)
    • En année de calcul de 360 jours (tun)
    • En périodes de 20 tuns (katun)
    • En périodes de 20 katuns (bactun)
    • Il y avait aussi des périodes de 8 000 kuns (pictun) et de 160 000 tuns (calabtun)

    Le calendrier Maya, par sa précision, n’a rien à envier à nos ordinateurs modernes.

    Sur une stèle à Quirigua, au Guatemala, une date nous renvoie en arrière de plus de 300 millions d’années.

    Des inscriptions glyphiques découvertes sur une stèle de Copan au Honduras indiquent une date mystérieuse correspondant au 26 juillet 736.

    Stele de Copan

    Une des stèles de Copan. By 10b travelling. Licence

    Rapportées à notre système de datation, les énigmatiques inscriptions Mayas livrent un message plutôt inquiétant : le cinquième soleil prendrait fin le 4 Ahau 3 Kankin soit le 21 décembre 2012.

    Il existe un véritable souci obsessionnel de la civilisation Maya, et de toutes les anciennes cultures de l’Amérique Centrale, à calculer la fin du monde.
    Ce calendrier semble avoir été créé pour prédire une catastrophe cosmique ou géologique.

    Mais, contrairement à ce qui est souvent dit sur Internet, le calendrier Maya ne s'arrête pas au 21 décembre 2012. En effet, les Mayas mentionnent d'autres dates correspondant à d'autres cycles. Ils n'ont donc jamais envisagé la fin du monde mais simplement une succession de cycles. Le 5e soleil est un cycle parmi d'autres.

      

    sources : http://www.dinosoria.com/calendrier_maya.htm

      

     

    La conception du monde selon les Mayas

    Le calendrier Maya est directement lié au mythe de la création du monde. Le Popol Vuh, ou livre du conseil, renferme les anciens mythes relatant la création du monde des Quiché Mayas des hautes terres du Guatemala.

    Chichen Itza . Caracol

    El Caracol, édifice, probablement destiné aux observations astronomiques, de l'ancienne cité maya de Chichén Itzá, au Mexique (Yucatán). Époque postclassique, 950-1500 de notre ère. By Mulf . Licence

    Le mythe de la création du monde est le suivant :

    Les dieux Gugumatz et Huracan modèlent la Terre puis créent le monde des animaux. Mais, ces créatures sont incapables de parler, ni de célébrer leurs dieux.
    Les dieux, très déçus, créent un deuxième monde.
    Ils modèlent des hommes en argile. Mais, ces derniers sont trop fragiles et se dissolvent dans l’eau.
    Pour leur troisième création, les dieux sculptent les hommes dans le bois. Ils parlent et semblent réels. Cependant, ce sont des marionnettes sans mémoire qui ont oublié qui étaient leurs créateurs.
    Les dieux se vengent et anéantissent ces hommes en bois.
    Pour leur quatrième et ultime tentative, les dieux comprennent qu’ils doivent utiliser du maïs pour façonner des hommes de chair et de sang.
    Les quatre premiers hommes sont les fondateurs mythiques des quatre lignées des Quiché Mayas.

    Dieu Maya de la pluie

    Tlaloc, dieu de la pluie. By Derek Vinyard . Licence

    Les hommes en maïs sont parfaits et vénèrent les dieux. Gugumatz et Huracan deviennent jaloux et craignent que leur création devienne leur égal.
    Ils créent alors les femmes qui peuvent procréer. Surtout, ils limitent les possibilités des hommes en brouillant leur vue afin qu’ils ne puissent voir que ce qui est près d’eux.
    Ainsi est née la civilisation des Quiché Mayas.

    Les mythes de la création sont marqués sur la pierre calendaire découverte près du temple aztèque de Mexico.
    Il s’agit plus d’une vision du monde que d’un véritable calendrier bien que des dates soient indiquées.

    Pierre calendaire maya

    Pierre calendaire maya. By Derek Vinyard . Licence

    Ce qui est important dans ce mythe est la vision très sombre qu’avaient les Mayas de la création du monde et des relations qu’entretenaient les hommes avec leurs dieux.
    On peut également souligner les fameux cycles toujours omniprésents : fin du monde et nouveau monde.
    On retrouve ces cycles dans le calendrier Maya.

    Toutes les civilisations amérindiennes se référaient aux mythes pour essayer de concrétiser les prophéties.
    Le temps cyclique est un thème majeur du mythe méso-américain.

    Calcul du calendrier Maya

    Il est plus juste de parler de calendriers mayas car le système comprenait deux calendriers séparés mais interconnectés.

    Ces calendriers regroupaient les aspects de la vie, de la religion et des rituels. Ils sont totalement imprégnés de la mythologie Maya.

    Glyphes mayas

    Les Mayas utilisaient un système complexe de glyphes. By Derek Vinyard . Licence

    Le calendrier solaire ou Haab ou année vague comptait 18 mois de 20 jours auxquels s’ajoutaient 5 jours de malchance ou périlleux car les Mayas n’avaient pas d’année bissextile.
    Ce calendrier de 365 jours ne correspondait pas à l’année réelle de 365,2422 jours.

    En parallèle, les Mayas utilisaient un autre calendrier : le calendrier sacré ou Tzolkin qui comptait 260 jours répartis en 20 semaines de 13 jours.
    Chacune des semaines était présidée par une ou plusieurs divinité et chaque jour avait son dieu ou sa déesse.

    L’interaction de ces deux calendriers est appelée « roue calendaire » ou « cycle calendaire » de 52 années.

    Codex maya

    Codex maya. By Derek Vinyard . Licence

    Il est important de comprendre que pour les Mayas le temps et le destin des individus ainsi que de la société étaient cycliques.
    Nul ne pouvait aller à l’encontre de son destin en grande partie déterminé par le jour de naissance.

    Les Mayas considéraient le temps comme circulaire et non linéaire. De ce fait, le passé pouvait prédire l’avenir.
    Ils se servaient des calendriers pour prévoir les dates de cérémonies rituelles mais également pour prédire l’avenir.

    Compte court et compte long

    Les Mayas utilisaient également deux autres cycles : un compte court et un compte long.

    La création du monde était datée au 13 août 3114 avant notre ère. Le cycle long partait de cette date pour finir le 21 décembre 2012.

    Mais, les calculs sont en réalité beaucoup plus complexes et sujets à erreur. Je vous donne ci-dessous quelques calculs :

    • Une année du compte long = 360 jours ou tuns
    • Un k’atun = 19,7 ans ou 7 200 jours
    • Un k’atun = 20 tuns

    Le compte court est une sorte de date abrégée. Les Mayas notaient le nom du jour de la roue calendaire.
    Le cycle se basait sur 13 k’atun.

    Tikal

    Tikal, au Guatemala, était l'une des plus grandes citées des Mayas. By Clint JCL . Licence

    Pour simplifier l’ensemble, il est surtout important de comprendre que cette prophétie de 2012 se réfère au cycle de 13 Bak’un soit 5 128,5 années.

    Supposons que le monde soit né le 13 août 3114 avant notre ère.

    • 3 114 + 5 128,5 ans = 2014 après notre ère.

    La date d’arrivée avec quelques ajustements est approximativement le 21 décembre 2012 ou le 23 décembre 2012 ou courant 2013. Tous les auteurs ne sont pas d'accord sur la date.

    Palenque

    Palenque. Cité maya de l'État de Chiapas (Mexique), qui s'est épanouie au classique récent (600-950 de notre ère). By Mexicanwave . Licence

    A chaque fin et début de cycle de 5 128,5 ans correspond la fin ou le début du monde. 2012 pourrait donc être, pour les Mayas, soit la fin du cycle actuel, soit le début d’un nouveau cycle.
    Selon les interprétations, on peut donc parler de fin du monde ou de renaissance du monde.

    Il est très important de souligner que les Mayas mentionnent d'autres dates correspondant à d'autres cycles qui sont postérieurs à cette fameuse date de 2012. Ils n'ont donc jamais envisagé la fin du monde mais simplement une succession de cycles. Le 5e soleil est un cycle parmi d'autres.

    2012 : la fin du monde ?

    A quoi correspond l’année zéro c’est-à-dire 3 114 avant notre ère, soit environ 1000 ans avant les premiers peuplements mayas ?
    Car si on nous prédit aujourd’hui la fin du monde en 2012, c’est en se basant sur cette date de départ.

    En 3 114 avant notre ère, nous sommes en plein Néolithique. Cette période correspond à la naissance des premières civilisations urbaines en Mésopotamie, au Proche-Orient et en Egypte.
    C’est également une période pendant laquelle l’écriture a connu une évolution décisive avec le passage au phonétisme.

    Uxmal

    Uxmal. Ancienne ville maya du nord du Yucatan (Mexique), construite vers 600-950 de notre ère. By Esparta . Licence

    En Amérique du Sud, cette période ne correspond à aucun fait marquant de l’Histoire. Par contre, C’est à cette date que la planète Vénus est apparue pour la première fois au-dessus de l’horizon terrestre, marquant la naissance du cosmos actuel.

    Les Mayas se préoccupaient beaucoup des infimes variations qui créent un décalage entre le plan de rotation de Vénus et l’axe de rotation de la Terre elle-même.

    Toutes les dates de leur calendrier font référence au "Grand cycle de Vénus".

    Chichen itza

    Chichén Itza . Le temple des Guerriers. Cité maya du Yucatan (Mexique), conquise par des guerriers d'origine toltèque entre 900 et 1000 de notre ère. By Jimg 944 . Licence

    Admettre qu’une prophétie se réalisera est admettre que « tout est écrit » et que notre liberté d’action est inexistante.
    Personnellement, je me refuse à croire que nous n’avons aucun pouvoir décisionnel sur notre destinée.

    Si vous êtes amateur de jeux vidéo, vous savez qu’il existe deux types de joueurs : ceux qui relèvent les challenges les plus difficiles avec persévérance et ceux qui cherchent les codes de triche à la moindre difficulté.

    Tikal

    Tikal. Occupée dès 600 avant notre ère. Nombreuses stèles gravées, dont l'une, datée de 292, constitue la plus ancienne date retrouvée de l'histoire maya. By Jdlasica . Licence

    La vie est comme un jeu qui nous offre des opportunités à saisir et des obstacles à vaincre.
    Renoncer à la lutte au nom du destin n’est qu’une échappatoire qui permet de nier ses responsabilités.
    C’est certes beaucoup plus facile mais également bien plus frustrant.

    Réponse aux internautes (Septembre 2009)

    Pour répondre à ceux qui m'ont fait remarquer que j'étais bien timorée sur ce sujet, ce qui n'est pas dans mes habitudes, je vais être franche et répondre à la question qui m'est souvent posée: "Y croyez-vous vraiment à cette prédiction ?"

    Je pense effectivement qu'il se passera quelque chose à partir de fin 2012 mais je doute fort par contre que cela aura un rapport avec ce calendrier.

    Le doute qui peut s'insinuer en nous ne trouve t-il pas sa source dans nos difficultés actuelles et futures ? Nous n'avons jamais autant ressenti nos limites depuis l'avènement de l'ère industrielle. Inconsciemment, nous savons que nous fonçons droit dans le mur et nous nous agitons frénétiquement, tels des insectes pris au piège d'une toile d'araignée.

    Nous avons également conscience que l'après-crise sera bien plus destructrice que le crise elle-même. Et il se trouve que cette après-crise correspond aux années 2011-2012.

    Cette fin du monde programmée symbolise parfaitement toutes nos angoisses face à notre impuissance à donner un véritable sens à notre existence. Par contre, la notion de fin de cyle pourrait parfaitement s'adapter à notre situation. Un nouveau démarrage sur des bases plus saines ne serait-il d'ailleurs pas souhaitable ?

    Quoi qu'il en soit, ma démarche est plus proche de celle de Scully que de Mulder. Si je vois une ombre sur un vieux lac écossais, je pense à un jeu de lumières avant d'envisager l'existence d'un monstre à deux bosses issu de la préhistoire.

    Trop cartésienne, me direz-vous ? Peut être mais le sujet qui nous préoccupe est trop sérieux pour se complaire dans des suppositions ou des théories farfelues non étayées de preuves. Et ce qui nous manque, ce sont bien des preuves.

    Je rappelerais quand même que ce n'est pas la première fois qu'on nous prédit la fin du monde. Pourquoi devrions-nous plus croire en la prédiction Maya qu'en celle de Nostradamus, par exemple ?

    J'ai analysé ce 5e cycle en essayant de rapprocher les écrits mayas à des phénomènes cosmiques connus. Je vous invite donc à lire la suite de ce dossier.

    V. Battaglia (21.09.2008). M.à.J 09.2009  

     

    Calendrier Maya et Science actuelle

     

    Nous savons que le calendrier était si important aux yeux de la civilisation Maya que sur chaque stèle gravée et sur chacune de leurs œuvres, ils ont laissé des inscriptions hiéroglyphiques complexes.
    Ces inscriptions mentionnent des dates détaillées et précises.

     

    Nos connaissances scientifiques actuelles nous permettent de mieux appréhender l'histoire de la Terre. Il est interessant de comparer ce qui est considéré comme une légende et les différents signaux d'alarme que nous lancent notre planète. 

     

    Calendrier maya et planète Vénus

    Il est aujourd’hui établi que le point de départ de ce calendrier, le jour « zéro » du Compte long Maya, correspond au 13 août 3 114 avant notre ère.
    C’est à cette date que la planète Vénus était apparue pour la première fois au-dessus de l’horizon terrestre, marquant la naissance du cosmos actuel.

    Ce compte long n’a pas seulement trait au cycle régulier de Vénus autour de la Terre, qui dure en moyenne 584 jours, mais aussi à son cycle complet par rapport à la rotation de l’axe de la Terre, un cycle qui se compte en millions d’années.

    Les Mayas se préoccupaient beaucoup des infimes variations qui créent un décalage entre le plan de rotation de Vénus et l’axe de rotation de la Terre elle-même.

    Toutes les dates de leur calendrier font référence au »Grand cycle de Vénus ».

    Le manuscrit Maya désigné sous le nom de codex Cospi montre différents aspects de Vénus. Ainsi, avec les cycles de Vénus, les Mayas pensaient pouvoir prédire ce qui arriverait à chaque « mort » de Vénus.

    Les cinq soleils

    Mayas et Aztèques pensaient que le monde avait été créé et détruit plusieurs fois. Ils croyaient qu’ils habitaient le cinquième monde ou « cinquième soleil », qui est aussi le nôtre.

    En résumé, voici les cinq soleils et l’interprétation que l’on peut en faire mais qui reste subjective :

    Le premier monde avait été détruit par l’eau, allusion à une spectaculaire montée du niveau des océans.

    Le deuxième monde avait été détruit par un grand vent qui s’abattit sur la Terre et détruisit tout. L’image est plus confuse. Ca peut être une allusion à des éruptions volcaniques qui auraient provoqué d’immenses nuages toxiques. Mais, ça peut également faire référence à des bouleversements climatiques ayant entraîné des tornades, cyclones ou autres.

    Le troisième monde avait été détruit par le feu du ciel, allusion peut-être à une météorite ou des éruptions volcaniques.

    Le quatrième monde avait été détruit par un déluge de sang et de feu. Là encore, on retrouve le symbole lié aux séismes, éruptions volcaniques et à un cataclysme planétaire du à la tectonique des plaques.

    Le cinquième monde sera détruit car la Terre se mettra en mouvement et nous périrons tous. Cette fin du monde est prévue pour le 21 décembre 2012, juste avant le coucher du soleil à l’heure de l’Amérique centrale.

    Il n'existe pas que 5 cycles dans ce calendrier ce qui doit nous rassurer. De nombreuses autres dates sont mentionnées. Les Mayas nous parlent bien de cycles et non d'apocalypse et encore moins de fin du monde.

    Nos découvertes scientifiques

    Grâce aux calculs astronomiques assistés par ordinateur, on sait que juste avant le coucher du soleil le 21 décembre 2012, Vénus disparaîtra sous l’horizon occidental tandis qu’à l’est, les Pléiades s’élèveront au-dessus de l’horizon.

    Symboliquement, on assistera à la mort de Vénus et à la naissance des Pléiades.

    Dans la conception Maya, le Grand Cycle temporel actuel, gouverné par Vénus, prendra fin.

    Toute la question est de savoir si à la fin de chaque cycle, un nouveau monde doit recommencer ou non.

    Toute cette conception peut paraître fantaisiste. Cependant, je n’ai pu m’empêcher de la comparer avec nos connaissances actuelles sur l’histoire de la Terre.

    Des paléobiologistes ont découvert des traces fossiles qui indiquent que « la vie semble avoir été inscrite, gommée et réécrite quatre ou cinq fois, depuis le Cambrien ».
    Ce qu’ils ont constaté, c’est qu’à différentes époques de l’histoire, la vie s’est développée pour être ensuite presque instantanément gommée.

    A chaque cycle, il s’en est suivi une période où la Terre a été dépourvue de toute vie pendant des millions d’années.

    Les grandes extinctions de masse sont prouvées. Là encore, elles n’ont jamais été expliquées clairement. Rentrent-elles également dans ce schéma de mort et de résurrection cyclique ?

    Les dernières découvertes effectuées sont également instructives:

    La Terre, comme une toupie, tourne de moins en moins vite sur elle-même. Elle boucle son tour aujourd’hui en 24 h mais il ne lui en fallait que 22 il y a 400 millions d’années.

    Le champ magnétique terrestre serait-il en train de s’inverser ?
    Sur les 150 dernières années, l’intensité de la composante Nord-Sud du champ magnétique a décru de 10%.
    De plus, le pôle nord magnétique a été sérieusement perturbé ces trente dernières années. (Article paru dans Science & Vie N°229).

    La Terre n’a pas toujours été bleue. Il y a environ 750 millions d’années, elle aurait été entièrement recouverte de glace.
    Des pôles à l’équateur, une énorme couche de glace aurait recouverte toute sa surface.
    C’est du moins ce que pensent de nombreux climatologues. Toute trace de vie aurait été éliminée pendant cette longue période.

    Leur hypothèse est la suivante :

    Il y a 800 millions d’années, les continents actuels se regroupent en un seul bloc, la Rodinia. Puis, ce super continent se fissure sous l’effet d’une intense activité volcanique.
    Des mers s’ouvrent et de gigantesques quantités de basalte son libérées ce qui piège une quantité de dioxyde de carbone.
    L’effet de serre perd alors son efficacité et les températures s’effondrent, provoquant la plus grande période glaciaire de tous les temps.
    (Article paru dans Science & Vie N°229 Décembre 2004)

    Enfin très récemment, le séisme de Sumatra du 26 décembre, d’une magnitude de 9 degrés sur l’échelle de Richter, a été le plus violent depuis celui qui a secoué l’Alaska en 1964.
    Ce séisme a eu des effets sur la rotation de la Terre. Le pôle Nord s’est déplacé d’environ 2,5 cm dans la direction de 145° de longitude Est.

    Le séisme a par ailleurs très légèrement accéléré la vitesse de rotation de la Terre sur son axe, ce qui aurait pour conséquence un raccourcissement des journées de 2,68 microsecondes.

    Etude des inversions de polarité

    Des études en paléomagnétisme ont établi que la polarité magnétique de la Terre "s'était inversée plus de 170 fois pendant les derniers 80 millions d'années".
    Selon un article du géologue S.K Runcorn, Professeur à l'Université de Cambridge, "il ne fait aucun doute que le champ magnétique de la Terre est déterminé directement ou indirectement par la rotation de la Terre". Donc, l'axe lui-même de la Terre aurait changé. Plus simplement, la planète aurait basculé sur elle-même, ce qui aurait entraîné un changement de la localisation des pôles géographiques.

    Selon des articles parus dans Nature, la dernière inversion géomagnétique a eu lieu il y a 12 400 ans, au onzième millénaire avant notre ère. On sait que cette période est marquée de grandes extinctions dans le monde animal. On ne sait pas par contre si les deux évènements sont liés. (Nature 234,27/12/71)

    Certains scientifiques estiment que la prochaine inversion des pôles magnétiques terrestres aura lieu vers 2030. (Article paru dans Nature 12/2/76)

    Nous commençons à comprendre le magnétisme terrestre et ce que pourrait provoquer un dérèglement de ce magnétisme.
    On sait que les pôles Nord et Sud du champ sont susceptibles de s’inverser. Les laves solidifiées sont là pour en témoigner puisqu’elles pointent alternativement vers les régions australes ou boréales.

    Depuis quelques décennies, on a d’ailleurs observé l’extension croissante d’une anomalie du champ magnétique dans l’Atlantique Sud. (Article paru dans Sciences & Vie N°229)

      

      

      

    La réponse de la NASA au film 2012 de R. Emmerich

    Comme cela était prévisible, le film 2012 de R. Emmerich a provoqué un début de panique aux Etats-Unis. Le terme n’est pas trop fort dans la mesure où la NASA a été obligée de mettre en ligne un démenti concernant les soi-disant théories scientifiques dont le réalisateur s’est inspiré pour construire son scénario.
    Le problème est que ces théories sont présentées comme reconnues par la communauté scientifique, ce qui n’est absolument pas le cas.

    De plus, comme je l’ai déjà mentionné dans le dossier consacré au calendrier Maya, ce calendrier ne s’arrête pas au 21 décembre 2012.
    Là encore, il s‘agit d’affabulations énoncées par certains auteurs et largement reprises sur Internet.
    La NASA en profite pour le rappeler.

      

    Note importante: Pour ceux qui m'ont signalé certaines contradictions entre les réponses de la NASA et certains rapports scientifiques concernant principalement l'étude de l'inversion des polarités, je tiens à préciser deux points:

    1. Le texte qui suit est une traduction et non pas un texte commenté. Je n'en fais aucune interprétation. Je fournis simplement l'information en soulignant simplement à quelques reprises des faits irréfutables déjà énoncés dans certains de mes dossiers
    2. L'étude sur l'inversion des polarités est actuellement très incomplète. Certaines théories ont été émises (voir calendrier Maya et science actuelle) mais certaines datent déjà de nombreuses années et n'ont pas été prouvées. Ce sont donc des hypothèses qui demandent à être étayées

    Le texte de la NASA se présente sous forme de questions-réponses. Pour ceux qui sont fâchés avec l’anglais, je vous en présente une synthèse.

    Tout d’abord la NASA explique que les scientifiques et particulièrement les astronomes et les astrophysiciens n’annoncent rien de particulier pour 2012.

    Notre système solaire est étudié en permanence et aucune menace particulière n’est annoncée pour les prochaines années.

    La fameuse planète Nibiru ou planète X, présumée découverte par les Sumériens, devait déjà provoquer la fin du monde en mai 2003.

    Aucune apocalypse ne s’étant produite en 2003, des petits malins ont décalé la date du Jugement Dernier en la faisant coïncider avec le fameux calendrier Maya.

    Ces mêmes auteurs ont oublié de préciser que le calendrier Maya n’a jamais prédit la fin du monde mais énonce simplement de grands cycles dont l’un doit prendre fin en décembre 2012 afin qu’un nouveau cycle puisse démarrer.
    Ce qui signifie en clair que le calendrier retrouvé par les archéologues ne s’arrête pas en décembre 2012.

    R.Emmerich n’a pas hésité à faire appel à des astrologues pour affirmer qu’un alignement de planètes très négatif était justement prévu en décembre 2012.
    Les alignements qui sont prévus par les astronomes sont connus, cycliques et sans aucun effet sur notre planète.
    Cet alignement entre la Terre et le Soleil qui semble faire si peur à certains est un phénomène annuel tout à fait banal.

    Comme je l’ai déjà également précisé et la NASA le confirme une nouvelle fois : la planète X ou Niribu n’existe pas.

    Soyons tout de même un peu cohérents ! Si une planète existait dans notre système solaire et menaçait de percuter la Terre, cela ferait plusieurs décennies que les astronomes l’auraient détecté.
    On pourrait même l’observer à l’œil nu.

    Eris est une petite planète similaire en taille à Pluton et qui se situe en bordure de notre système solaire.
    Elle ne menace nullement la Terre.

    Concernant les inversions de polarité, il existe un historique détaillé établi sur les 7 derniers millions d'années. Il révèle que les inversions importantes se produisent approximativement tous les 400 000 à 500 000 ans.
    Ces inversions ne provoquent aucune catastrophe particulière.

    Aucun météore ne menace la Terre actuellement. La NASA a mis en place une étude afin de trouver les grands astéroïdes qui pourraient présenter un danger. A ce jour, aucun astéroïde menaçant n'a été détecté.

    Enfin la NASA clôt son dossier en rappelant que les pics d’activité solaire se produisent tous les 11 ans environ. Ces pics ne provoquent que quelques problèmes dans nos communications satellites.
    Le prochain pic est prévu pour 2012-2014.

    Pour finir, la NASA regrette que les films, les documentaires, les livres et surtout Internet relaient en permanence des pseudo-théories qui ne se basent que sur des mythes sans aucun fondement.

    Mais, personne ne peut stopper les rumeurs et apparemment, même pas la NASA.

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  • METEORITES

    Des roches voyageant dans l'espace sont parfois attirées par la gravité et s'écrasent à la surface du globe : ce sont des météorites, précieuses sources de renseignement sur le système solaire.

    Combien de météorites ?

    Environ 26 000 météorites par an s'écrasent sur terre. La plupart tombent dans les océans, on n'en recense véritablement que cinq ou six mille. Leurs cratères d'impact sont souvent recouverts par la végétation ou effacés par l'érosion, mais quelques "géants" sont encore visibles. Le choc d'une énorme météorite est peut être la cause de la disparition des dinosaures il y a 65 millions d'années.

    Vieux de quelque 50 000 ans, le cratère de l'Arizona mesure 1,2 km de diamètre pour 170 m de profondeur. Une chute de météorite en est la cause.

    La composition des météorites

    On connait trois types de météorites : pierreux, ferreux et ferro-pierreux. Les météorites pierreuses (aérolites) sont composées de minéraux rocheux (des silicates) avec beaucoup de pyroxène et d'olivine. Ferreuses (sidérites) elles contiennent du nickel et du fer. Ferro pierreuses, autant de silicates que de métaux.

    D'où viennent les météorites ?

    Certaines météorites proviennent de la ceinture d'astéroides, qui est située entre Mars et Jupiter. D'autres sont probablement des débris lunaires, martiens ou peut être même de comètes. Les scientifiques pensent qu'elles proviennent toutes de notre système solaire.

     

     



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  • Le phénomène des OVNI, toujours pas de certitudes.

    Ovnis : Introduction.

    Parmi les thèmes étranges et les phénomènes inexpliqués, le sujet des Ovnis est probablement celui qui passionne le plus grand nombre de gens. Lorsque l’on parle d’Ovnis, la question à se poser n’est peut être pas de savoir s’ils existent ou non, les témoignages d’observations d’objets volants non identifiés sont trop nombreux, partout dans le monde, ce fait est incontestable. Non, la vraie question est plutôt d’identifier quels sont ces objets volants tant de fois observés et de savoir d’où ils proviennent. Il n’y a que deux réponses possibles : Soit les ovnis sont des engins construits par l’homme, soit leur origine est extraterrestre.
    Il existe dans le monde entier de nombreux organismes étudiant de façon scientifique et rigoureuse la question du phénomène ovni. Les militaires également reconnaissent ouvertement porter un certain intérêt pour le sujet. Les pouvoirs politiques eux aussi semblent s’y intéresser même si en Europe, il n’est pas coutumier pour un politique de s’exprimer publiquement sur la question. Aux Etats-Unis, il en est un peu autrement, il se dit que le président Ronald Reagan en voyait à tous les coins de rue. Jimmy Carter de son côté avait déclaré publiquement qu’il ferait la lumière sur la question des ovnis, ce qui ne fut jamais fait. Le ministre Japonais de la défense a déclaré récemment au sujet de la question ovni : « Rien ne peut nous permettre de nier l’existence d’objets volants non identifiés ainsi que d’une forme de vie qui les contrôle ».
    Une chose est sure, la question ovni est prise très au sérieux par la plupart des nations dans le monde et des budgets importants sont investis chaque année afin d’essayer d’en savoir plus.

    Ovnis : Observations et témoignages.

    Les innombrables témoignages relatifs aux observations d’ovnis se retrouvent partout, dans tous les pays du monde, et depuis très longtemps. Bien sur, bon nombre de ces déclarations sont jugées quelque peu farfelues, d’autres en revanche semblent provenir de personnes fiables mais ne peuvent être vérifiées, enfin il reste tous les témoignages jugés sérieux et présentant des éléments permettant de les accréditer. C’est surtout sur ces témoignages que nous allons nous concentrer.
    Commençons par nous intéresser aux militaires et aux pilotes, y compris civils, ce sont eux en effet qui se trouvent en première ligne, chargés de leurs espaces aériens respectifs. Il est étonnant de constater le nombre et la variété des récits faits par des pilotes de nombreux pays, confrontés à un moment de leur carrière à un phénomène aérien non identifié.
    Soulignons un fait important : Tout pilote, qu’il soit militaire ou civil est souvent tenté de garder le silence lorsqu’il est témoin d’un phénomène ovni. Ceci s’explique si on tient compte du fait que ces pilotes sont des professionnels hautement qualifiés, mais aussi régulièrement surveillés médicalement, tant sur le plan physique que psychique. Ces hommes en conservant le silence souhaitent simplement éviter de passer pour de joyeux doux dingues aux yeux de leurs collègues ou de leurs supérieurs. Nous le savons tous, le simple mot Ovni suffit à faire sourire et est trop souvent assimilé au concept extraterrestre.
    Toutefois, un certain nombre de pilotes ont osé s’exposer à d’éventuelles brimades en transmettant des rapports officiels et circonstanciés de leurs observations.

    Ovnis observés en France et en Europe:

    La France a été marquée en 1954 par une vague d’ovnis sans précédent. Sur cette seule année, la gendarmerie a recueilli plus d’une centaine de témoignages faisant état d’observations d’objet volants non identifiés. On trouve également une grande quantité d’articles traitant du sujet dans la presse de l’époque. Certains témoignages font aussi état de traces physiques laissées dans le sol, de végétation brûlée ou irradiée après qu’un objet se soit posé pour une durée plus ou moins longue.

    Un autre témoignage intéressant, celui de Jack Krine, pilote de chasse de l’armée de l’air, ancien leader de la patrouille de France et colonel de réserve. Lors d’un vol le 23 septembre 1975, J. Krine déclare avoir observé un ovni (il dit une chose) ressemblant à un fuselage d’avion de ligne, avec des hublots, la lumière à l’intérieure était incroyablement intense. En voulant se rapprocher pour tenter de l’identifier, cette « chose » s’est éloignée à plusieurs reprises à une vitesse absolument inouïe. Ce témoignage est confirmé par un autre pilote qui se trouvait tout proche, dans un autre appareil.

    Le 28 janvier 1994, le pilote et le copilote d’un Airbus A300 qui reliait Nice à Londres son témoins d’un phénomène étrange. Ils voient pendant une minute un grand disque brun-rouge dont la forme change constamment et qui semble être de très grande taille. Le pilote et le copilote ne témoigneront officiellement qu’en février 1997. Le plus troublant est qu’on trouve effectivement dans les enregistrements du contrôle aérien une trace radar à l’heure dite et proche de l’avion.

    Le rapport COMETA (Comité d’Etudes Approfondies) dont le titre est : « Les Ovnis et la défense. A quoi doit-on se préparer » est une étude scientifique basée sur le phénomène ovni. Son but est de sensibiliser les pouvoirs publics français sur la question ovni. Cette étude exhaustive a été remise aux plus hautes autorités politiques françaises en 1999, l’association elle existe depuis 1996. Ce rapport fit l’effet d’une bombe puisque ses auteurs, au contraire d’être une bande de joyeux illuminés, sont au contraire d’éminents personnages dont plusieurs militaires hauts gradés. On compte notamment parmi les membres un général de l’armée de l’air et un vice-amiral d’escadre. Egalement des scientifiques avec plusieurs docteurs ingénieurs et des ingénieurs de l’armement. La préface du rapport est de la main du Général Bernard Norlain, ancien directeur de l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale. Autant dire que le document est jugé comme tout à fait sérieux.
    Les conclusions du rapport COMETA ne manqueront pas d’étonner les plus sceptiques sur le phénomène ovni. En effet, le groupe d’étude conclu à la réalité physique quasi certaine d’objets volants totalement inconnus. Il y est écrit aussi que au vu des prouesses réalisées par les ovnis, l’hypothèse extraterrestre est la plus probable pour expliquer le phénomène. Et même si elle n’est pas prouvée scientifiquement de façon certaine, il existe quand même de fortes présomptions qui si elles doivent s’avérer exactes, sont de conséquence importante.
    Consulter le rapport COMETA au format pdf:

    http://www.cnes-geipan.fr/documents/Cometa.pdf

    Le phénomène OVNIs, groupes d'études scientifiques.

    Le GEPAN :

    Groupe d’Etudes sur les Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés, il s’agit d’un des services du CNES (Centre National d’Etudes Spatiales). Le Gepan fut fondé en 1977, il avait pour but d’étudier les phénomènes ovnis mais aussi de collecter et rassembler les rapports de la gendarmerie nationale, de la direction générale de l’aviation civile, de l’armée de l’air et de météo France. En 1988, le Gepan sera remplacé par le SEPRA.

    Le SEPRA :

    Service d’Expertise des Phénomènes de Rentrées Atmosphériques. Cet organisme se limitait à deux objectifs principaux qui étaient l’étude et les prévisions de rentrées atmosphériques de météorites et satellites artificielles. Son autre fonction se concentre sur l’analyse des informations concernant les phénomènes aérospatiaux non identifiés (PAN). Le Sepra sera dissout en 2004 puis reviendra à nouveau, cette fois sous le nom de GEIPAN.

    Le GEIPAN :

    Groupe d’Etudes et d’Informations sur les Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés. crée en 2005 et basé à Toulouse, ses fonctions sont similaires à celles de ses prédécesseurs, il dépend toujours directement du Centre National d’Etudes Spatiales. Le Geipan s’est distingué en mars 2007 dans le monde entier en rendant public ses archives des 30 dernières années sur les phénomènes ovnis et aérospatiaux non identifiés. Il reconnaît aussi officiellement que 28% des phénomènes étudiés restent non identifiés.

    Site officiel du Geipan en français : http://www.cnes-geipan.fr/

    Vague d’ovnis en Belgique entre 1989 et 1991

    Pendant cette période, de très nombreux habitants de Wallonie, principalement en province de Liège sont témoins de phénomènes ovnis. Fait exceptionnel, les autorités militaires belges non seulement confirmeront un certain nombre de ces témoignages mais en plus s’impliqueront et communiqueront ouvertement sur la question. La plupart des témoignages civils ou militaires font état d’une forme triangulaire, générant une source de lumière en son centre et à ses extrémités. Autre fait étrange, les radars du contrôle aérien ont également enregistré durant cette période des déplacements d’objets ayant atteint parfois des accélérations fulgurantes. Les pilotes militaires ont reconnu à plusieurs reprises ne pas avoir été en mesure ni de suivre les objets, ni de les identifier. Toujours selon les autorités belges, il ne pouvait s’agir d’appareils militaires secrets compte tenu des extraordinaires performances et capacités de vol des objets observés.

    La SOBEPS :

    Société Belge d’Etude des Phénomènes Spatiaux est une association à but non lucratif dont les objectifs consistent à collecter les informations sur les phénomènes ovnis, effectuer des enquêtes de terrain, analyser des données, les traiter de façon scientifique en collaboration avec des laboratoires, diffuser de l’information à destination des autorités politiques, militaires ou du grand public. La SOBEPS a été crée en 1971 et se sera faite connaître principalement durant la vague d’ovnis en Belgique entre 1989 et 1991. Une grande partie de ses membres sont d’éminents scientifiques belges. La SOBEPS a été dissoute en 2007 et s’appelle aujourd’hui la COBEPS.
    Site officiel du Geipan en français : http://www.cobeps.org

    Ovnis observés en Angleterre :

    Affaire de la foret de Rendlesham. Cette affaire est une des plus célèbre affaire d’ovnis. Il ne s’agit pas uniquement de lumières dans le ciel. Un rapport et de nombreux témoins militaires parlent d’un appareil qui s’est posé dans la foret de Rendlesham. Cet engin a laissé des traces physiques sur le sol, de hauts niveaux de radiation ont aussi été mesurés. Selon les marques au sol, le poids de l’appareil a été évalué à plusieurs tonnes.

      

      

    SOURCES : http://www.etrange.org/index.php/phenomene-ovni.html

      

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  • Stratégies de manipulation
    Les stratégies et les techniques des Maitres du Monde
    pour la manipulation de l'opinion publique et de la société...

    1 La stratégie de la diversion



    image: création de Laurent Courau


    Elément primordial du contrôle social, la stratégie
    de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes.

    La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l'économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique.


    « Garder l'attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » (extrait de "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

     

     

    2 Créer des problèmes, puis offrir des solutions

    Cette méthode est aussi appelée "problème-réaction-solution". On crée d'abord un problème, une "situation" prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu'on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore: créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

     

     

    3 La stratégie du dégradé
    Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l'appliquer progressivement, en "dégradé", sur une durée de 10 ans. C'est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n'assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution si ils avaient été appliqués brutalement.

     

    4 La stratégie du différé
    Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme "douloureuse mais nécessaire", en obtenant l'accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d'accepter un sacrifice futur qu'un sacrifice immédiat. D'abord parce que l'effort n'est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que "tout ira mieux demain" et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s'habituer à l'idée du changement et l'accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
    Exemple récent: le passage à l'Euro et la perte de la souveraineté monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en 1994-95 pour une application en 2001. Autre exemple: les accords multilatéraux du
    FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du continent américain pourtant réticents, en concédant une application différée à 2005.

     

     

    5 S'adresser au public comme à des enfants en bas-age
    La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Exemple typique: la campagne TV française pour le passage à l'Euro ("les jours euro"). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi?
    "Si on s'adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d'une personne de 12 ans."
    (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

     

     

    6 Faire appel à l'émotionnel plutôt qu'à la réflexion
    Faire appel à l'émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l'analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l'utilisation du registre émotionnel permet d'ouvrir la porte d'accès à l'inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements...

     

     

    7 Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise
    Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.

    "La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l'ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures."
    (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

     

    8 Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
    Encourager le public à trouver "cool" le fait d'être bête, vulgaire, et inculte...

     

     

    9 Remplacer la révolte par la culpabilité


    photo: Henri
    Cartier-Bresson

    Faire croire à l'individu qu'il est seul responsable de son malheur, à cause de l'insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l'individu s'auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l'un des effets est l'inhibition de l'action. Et sans action, pas de révolution!...

     

    10 Connaître les individus mieux qu'ils ne se connaissent eux-mêmes
    Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le "système" est parvenu à une connaissance avancée de l'être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l'individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

    Sylvain Timsit
    © syti.net, 2002

     

     

     

    THEMES ASSOCIES

    Le Meilleur des Mondes, d'Aldous Husley

    Dans ce livre de science-fiction visionnaire, Aldous Huxley imagine ce que serait la dictature parfaite: une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, et où les individus seraient génétiquement conditionnés. Un système d'esclavage où, grâce la consommation et au divertissement, les esclaves "auraient l'amour de leur servitude".

     

    Les projets des Maitres du Monde

    Les projets des Maitres du Monde pour un contrôle global des individus et de la société: manipulations génétiques, contrôle des esprits, implants, traçabilité, nouvel ordre économique...

     

    "Armes silencieuses pour guerres tranquilles"

     

    Ce document Top Secret se définit comme un "manuel de programmation" de la société. Il expose en détail les stratégies des "Maitres du Monde" et révèle des clés essentielles pour comprendre les véritables règles du jeu qui sous-tendent la transformation radicale et accélérée de la société et de l'économie mondiale.

     

    L'idéologie des Maîtres du Monde

    Les principes-clé des Maitres du Monde, et le nouvel esclavage qui en découle, tel que George Orwell l'avait annoncé dans "1984"...

     

    De l'info sans infos

    Quand l'information véritable est remplacée par les sujets anecdotiques, les micro-trottoirs, et les reportages insignifiants sur la vie quotidienne...

     

    2 Mondes, 2 Ordres, 2 Lois

    Le premier ordre, officiellement proclamé, s'applique au public, aux citoyens ordinaires. Le second ordre, qui régit réellement la société, s'applique aux détenteurs du pouvoir et aux organisations économiques.

     

    La fin programmée de la démocratie

    Nous vivons depuis dix ans un changement radical du type de régime politique dans les pays occidentaux, avec l'avènement d'un nouveau pouvoir, celui des réseaux économiques et financiers. Voici les raisons pour lesquelles nous pouvons dire que nous ne sommes déjà plus tout à fait en démocratie.

     

    Schizophrénie organisée

    Alors que les problèmes écologiques, démocratiques, économiques et géopolitiques s'aggravent dangereusement, le décalage se creuse entre les problèmes réels perçus par les citoyens dans leurs moments de lucidité, et les problèmes mis en avant par les dirigeants politiques et leurs relais médiatiques.

     

    Guerre sociale, la nouvelle guerre mondiale

    Une nouvelle guerre mondiale a commencé. C'est une guerre sociale et intérieure, une guerre d'élimination contre une population devenue trop nombreuse et inutilement coûteuse.

     

    Les chemins de l'intelligence

    L'intelligence dépend de notre aptitude à utiliser pleinement les possibilités de notre esprit. Voici donc quelques clés pour devenir "plus intelligent"...

     

     

     

     




    sources : http://www.syti.net/Manipulations.html

      

     

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  • Fichier:9 gradins pierre n°1 détail marches.jpg

     
     
    Dans la Creuse, au sud de Guéret, sur la commune de Pontarion, au hameau dit « Madineiche », sur la D 13, se trouve un chaos rocheux extraordinaire.
     
    La roche la plus élevée est entaillée de « 9 marches ».
    D’autres roches sont aussi entaillées mais de manière moins frappante : coupelles, sièges, marches.
    Il y eut là un culte initiatique partant des grottes de sous-terre pour aboutir à l’ascension de ces neufs marches ;
    au sommet la Colonne de Feu de la Connaissance unissait alors le Ciel à la Terre pour accorder la Connaissance à celui qui en était digne.
    Le temps peut en être remonté à 10 000 ans.
     
     
     
     

     

     
     
     
    ©  Photos Alexandrine Vayssac.
     
    Au sommet de la plate-forme, une cavité creuse recueille l'eau de pluie.
    Etait-ce pour des ablutions, pour une forme de baptême?
    Une visiteuse a dit : "Il est aussi curieux que cette photo me fasse penser à un OEIL justement, creusé dans la roche... alors...!? »
      
    Voir : Le Visage des Glaciers de Karuna Platon, Editions de la Promesse.

    Fichier:9 gradins pierre n°2 gouttière.jpg

     

    Le courrier reçu d'un ami paysagiste à Crozant explicite :
     

    "Oui, c'est un lieu très fort. Il m'a beaucoup inspiré.
    Cela m'intéresse que tu me dises ce que tu en penses,
    ce que tu y as ressenti en détail.
    J'ai parcouru le site assez largement.
    En contrebas au sud il y a une source dans le vallon
    qui avait été captée dans un bassin ovale.
    Pas de trace de grotte.
        
    Fichier:9 gradins dessus.jpg
      
    En allant vers la pointe de l'épaulement,
    en redescendant un peu vers l'est, il y a un autre ensemble de roches
    dont une avec une très belle cuvette de la taille d'une baignoire,
    on peut s'y allonger facilement.
    Tu as sans doute remarqué en montant qu'on franchit deux paliers,
    deux enceintes. J'en ai recherché la continuité autour du site.
    Elle n'est pas parfaite mais elle se retrouve.
    Une double enceinte sacrée.
    Je me suis intéressé aussi à la végétation.
    Il me semble qu'autrefois le sommet n'était pas boisé...
    comme une clairière dans la forêt.
     
    Amitiés"


     
    Un rocher creusé en forme de siège.
     
    ©  Photo Alexandrine Vayssac.

     
     
     
    Le jeu des formes, des mousses et des lichens.  
    ©  Photo Alexandrine Vayssac.
     
    En de tels lieux, la question se pose inévitablement :
    y a-t-il eu là des sacrifices humains ?
    A cela, il est répondu :
    « Il fut un temps où nous usions des Taureaux,
    de Chevaux et des Etres humains ;
    car nécessité était forte d'imposer le Regard
    aux dormeurs en état de rêve.... »
    Le Manuscrit de paroles du Druide sans nom et sans visage, Emmanuel-Yves Monin, pages 391-393.
      
      
    Il faut lire la suite, et méditer longuement tout le texte !
    Ce n'étaient pas des actes de sauvagerie comme actuellement, mais des Actes Conscients et Volontaires,
    du moins avant leur décadence !
    Que de sacrifices actuellement, inconscients :
    tueries des guerres et des attentats, accidents de la route, d'avion, de Tchernobyl, catastrophes dites naturelles...!
     
    &&&
     
    Les photos suivantes nous sont aimablement envoyées par Philippe H., paysagiste à Crozant.

    La cavité recueillant l'eau, dite marmite :
     
     
     
      
     Fichier:9 gradins vue de face.jpg
     
     
     
     
    ©  Photo Philippe Henrion.
     
    Le plan suivant est son interprétation personnelle des lieux.
     
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  •   

    Qui les a érigés et surtout pour quelles raisons ?

    Voilà bien les questions que la plupart des gens se pose quand ils pensent à ces assemblages de pierres dressées vers le ciel depuis des temps immémoriaux et pour quelques millénaires encore si l'homme le permet. Je voudrais bien vous annoncer que vous allez trouver dans cet article toutes les réponses que vous vous posez sur les mégalithes depuis toujours mais je ne ferais alors que vous mentir. Je n'ai pas, moi non plus, la solution miracle à ce mystère qui a fait travailler des centaines d'archéologues depuis des décennies. Non, ce que je me propose de faire ici, c'est vous présenter les différents types de mégalithes existants ainsi qu'un panache non exhaustif des différentes hypothèses et théories concernant leur existence et leurs fonctions.

    I Les différents types de mégalithes

    Le terme " mégalithes " est un terme général qui englobe plusieurs types de pierres dressées, parmi eux on trouve les menhirs, les stèles, les alignements, les cromlechs, les dolmens etc… Je vais donc essayer de passer en revue avec vous les différents types de mégalithes existants.

    Les menhirs :

     

    Les menhirs sont de longues pierres dressées, de hauteur variables, allant de quelques centimètres à plus de 20 mètres, ces pierres sont enfoncées dans le sol de plusieurs dizaine de centimètre et calées par des pierres. Les menhirs peuvent être isolés ou regroupés en enceintes ou en alignements

      


    Les alignements :

     

    ils sont composés de menhirs de tailles variables et rangés en file parallèles, les alignements les plus extraordinaire sont ceux de la région de Karnag qui comprend plus de 3000 menhirs, celui de kerzerho en comprend plus de 1100. Ils s'étendent sur plusieurs kilomètres. A l'une des extrémités, il y a toujours un cromlech depuis lequel la taille des pierres décroît jusqu'a l'autre extrémité.

      

    Le cromlech :

     

    Les cromlechs, ou cercles de pierres que l'on appelle encore " enceintes " sont des groupes de menhirs arrangés en cercle, parfois un menhir est placé au centre. Ces cercles de pierres peuvent être isolés, jumelés à un autre cercle de pierres ou associés à un alignement de menhirs. Le plus connu de tout les cromlech est bien évidemment le cromlech de Stonehenge

      

    Le dolmen :

     

    Les dolmens sont des monuments de pierres formés de dalles de pierres horizontales soutenues par d'autres en position verticale. Les dalles de couverture méritent bien le terme de mégalithe de par leur poids pouvant atteindre plusieurs dizaines de tonnes. Ce sont des monuments funéraires, des sépultures collectives de tout un groupe humain sur plusieurs générations. Leur architecture est variable: le dolmen peut être formé de une ou plusieurs chambres de forme plus ou moins circulaire ou polygonale accessibles par un couloir, le dolmen peut être formé plus simplement d'un couloir que l'on qualifie d'allée couverte. Le dolmen est la structure interne du monument d'origine, il était recouvert à l'origine de pierres sèches et de terre pour former une petite colline (tumulus). Avec le temps, la terre a été ravinée, les pierres sèches ont été réutilisées comme matériaux de construction.

      

    L'allée couverte :

     

    Les allées couvertes sont un type particulier de monument de type dolmen. Ce sont également des monuments funéraires de l'époque du néolithique (de 5000 à 2500 ans avant JC). Cette variante de dolmen ne présente qu'un couloir formé de dalles sur des montants verticaux. La structure ne possède pas de chambre à proprement parler.

      

    Le cairn :

     

    Le cairn est un monument funéraire constitué de un ou plusieurs dolmens, recouverts d'une masse de pierres sèches (pierres, grossièrement de la taille d'une brique, détachées du sous-sol rocheux) bien calées entre elles. Des portiques constitués de trois pierres monumentales en U inversé forment l'entrée des dolmens. Des dalles de pierres en position verticale sont disposées sur le pourtour comme parement.

      

    Le Tumulus :

     

    Le tumulus est une colline artificielle, allongée ou conique, de grande dimension (le tumulus SAINT-MICHEL près de Carnac supporte une chapelle, une place et une table d'orientation !). Il contient un ou plusieurs dolmens, consolidés par une couverture de pierres sèches (grossièrement de la taille d'une brique et assemblées sans mortier), il s'agit également d'un monument funéraire.

      

    Les stèles menhirs :

     

     

    Elles sont constituées de grandes dalles plantées seules ou en groupes. Elles peuvent être gravés de symboles ou représenté des silhouettes vaguement humaines.
      

    II Localisation des mégalithes

    On retrouve des mégalithes sur une vaste zone côtière regroupant l'Espagne, le Portugal, la France, ainsi que l'Ecosse, l'Irlande et l'Angleterre et jusque dans les pays scandinave comme le Danemark et la Norvège. On en trouve également en corse et en sardaigne. Mais même si le plus célèbre des mégalithes reste celui de Stonehenge, c'est indubitablement la Bretagne qui détient le record du nombre de mégalithes sur son sol.

    C'est d'ailleurs dans cette région que l'on trouve les mégalithes les plus anciens d'après les dernières recherches scientifiques ce qui impliquerait que c'est de la qu'est née cette culture qui se serait répandu ensuite aux royaume unis et le long des cotes européennes. Donc en partant de l'hypothèse que cette culture pris naissance dans cette région, d'ou pouvait venir les hommes qui se sont installés sur la péninsule armoricaine.

     Car en effet, cette région étant cernée par les eaux sur trois cotés, il n'est pas déraisonnable de penser que ce peuple est donc venu de la mer. Bien sur il est aisé de penser immédiatement à l'Atlantide mais laissons cette hypothèse de coté pour l'instant, nous y reviendrons par la suite.

    III Les Méthodes de construction

    L'un des grand mystères des mégalithes réside effectivement dans leur fabrication, tout comme on se demande comment les anciens égyptiens ont pu érigés leur pyramides, on peux raisonnablement s'interroger sur la technique qu'on utilisée nos ancêtres pour réaliser de telles tour de force et d'ingéniosité. En effet comment des hommes pourvus à l'époque de simples outils de silex ont pu détachés du roc et transporter, sur des distances parfois considérables, des pierres de plusieurs tonnes pour ensuite les redresser à la verticale.

    Plusieurs théories existent mais aucune ne semble satisfaisante. Par exemple, on conçoit assez bien, qu'avec du temps et un nombre suffisant de personnes, il soit réalisable de faire glisser des blocs de 20 tonnes sur des rouleaux sur plusieurs kilomètres. Mais la théorie devient irréalisable pour des masses de 100 voir 300 tonnes.

    En effet, avec un poids de ce type, les troncs placés sous la pierre pour la faire rouler s'enfonce dans la terre, de même que la force d'inertie nécessaire pour contrer les forces de frottement avec le sol devient impossible a atteindre quelque soit le nombre d'individus tirant ou poussant.

    En gros, quoi que l'on fasse ou dise, la technique du " on s'y met a 10.000 et on pousse " est ici limité par les masses dont il est question comme, par exemple, le grand menhir de Lokmariaker qui mesurait plus de 20 mètres pour un poids de 347 tonnes.

     

     

    De plus, et cela me semble important, un tel ouvrage remet en question l'idée que l'on se fait des gens de l'époque en s'imaginant des petits groupes ou clans de guerriers éparpillés ça et là sur le territoire. Pour mener à bien de si extraordinaires travaux, les hommes de l'époque devaient être nombreux et soumis à une organisation sociale structurée et hiérarchisée. On ne réalise pas de telles entreprises sans qu'elles aient été commandées par une influence dirigeante, une autorité sachant faire respecter ses ordres et exécutés par des ouvriers disciplinés et suffisamment motivés.

    Plusieurs problèmes se pose : l'extraction des ces pierres, le transport et l'érection.

    Concernant l'extraction une étude montre, pour certains Megalithes, des faces homogènes indiquant probablement qu'il devaient s'agir de blocs naturels faisant l'affaire et rapidement dégrossis, d'autres présentent des faces érodés exceptée une qui présente une cassure. Beaucoup de menhirs en granit sont ainsi arrondis excepté sur un coté. Il s'agit de rochers saillants, probablement détachés du sol par l'association du feu et de l'eau. Des trous sont pratiqués dans la roche, on installe ensuite un grand feu sur la roche en question, ensuite on enfonce des poutres de bois dans les trous, arrosées d'eau il gonflent et fissure la roche fragilisée par le feu.

    C'est en tout cas la théorie la plus couramment admise ce qui ne veut pas dire que ce soit la bonne.

    Concernant le transport, il ne pouvait être question de les soulever avec des leviers de bois: les leviers se seraient rompus. Il ne pouvait être question de les faire avancer sur des troncs d'arbres utilisés comme rouleaux: sous le poids, ces troncs se seraient enfoncés en terre. Il ne pouvait être question d'y atteler les milliers d'hommes nécessaires pour les ébranler : le troupeau humain aurait occupé plusieurs hectares. Peut-être utilisaient-on des boeufs. Mais, en pratique, on voit mal comment entourer de cordages les blocs monstrueux pour y atteler (sans que les traits ne s'embrouillent!) au moins 500 bêtes. Et les bouviers de l'époque étaient-ils capables de mettre en mouvement au même instant 500 bêtes pour leur faire traîner sur le sol une charge pareille sans briser les cordages et les traits?

    Concernant l'érection des ces monstres minérales, plusieurs hypothèses existent et toutes sont défendables, je n'y reviendrait donc pas en détail. Néanmoins, un détail me gène un peu dans le sens ou les gens de cette époque on su résoudre des problèmes d'équilibres, de centre de gravité et de polygone de sustention posés par des blocs de formes irrégulière, avec tant de précisions que des blocs de 6 ou 7 mètres de haut et enfoncés de seulement quelques dizaine de centimètres dans le sol, soient encore stables après 5 a 6000 ans malgré les vents tempêtes et autres phénomènes naturels.

     

     

    IV les Origines de la civilisation mégalithique

    Là ou il y a un mystère, on trouve forcément des légendes et ces dernières foisonnent autour des mégalithes qui ont attisés l'imagination au fil des siècles vois des millénaires. Quand on aborde le problème de ces pierres dressées on se retrouve face aux hypothèses les plus folles et les plus variées comme des armées de géants pétrifiés, des créations ou habitations de fées et autres lutins, les descendants de l'Atlantide ou même les extraterrestres.

    L'archéologie dite officielle, quand à elle, a fourni de nombreuses réponses sans réussir toutefois à dissiper totalement le mystère.

    En premier lieu, il apparaît déjà que concernant l'age de cette culture les spécialistes ne soient pas trop d'accord étant donné qu'il en estime l'age entre 5000 et 2000 ans avant JC ce qui représente tout de même une incertitude non négligeable. En effet, si on accepte l'hypothèse d'un début de cette culture vers 5000 av JC cela bouleverse quelque peu les croyances historiques impliquant que le berceau de la civilisation proviendrais de l'est avec pour origine la vallée de l'indus, du Gange, du Tigre et de l'Euphrate, pour évolué vers l'Egypte et progresser ensuite vers le reste de l'Europe.

    Car cela implique que ce peuple mégalithique commençait déjà à ériger des pierres pharamineuses alors que les civilisations de l'Egypte et de la Mésopotamie n'en était encore qu'à l'état de petit village de paysans.

    Comme vous le voyez, en cherchant des réponses aux mystères des mégalithes on se retrouve face a d'autre mystères ce qui ne nous arrange pas mais cela reste tout de même extrêmement passionnant. Laissons donc de coté pour l'instant le problème de l'age des mégalithes pour nous concentrer sur leur réalisation et leurs fonctions. Il y a bien des hypothèses à ce propos. En ce qui concerne les alignements, on n'a jamais trouvé le moindre bout d'os, il ne s'agit donc pas d'un cimetière. Une hypothèse impliquerait que chaque pierre accueillait l'âme d'un défunt et qu'à chaque nouveau décès, on ajoutait un nouveau menhir.

    Cette hypothèse ce tient mais malheureusement elle n'explique en rien pourquoi les pierres constituant les alignements diminue en taille au fur et a mesure. Par contre il semble bien que chaque rang de l'alignement soit dirigé vers un point précis où le soleil se lève à l'une des grandes dates de l'année agricole. Ce qui en fait est l'hypothèse classique reprise aussi bien pour Stonehenge que pour les tracés de nasca etc… personnellement j'ai du mal a m'imaginer qu'un peuple suffisamment ingénieux pour réaliser ce genre de travaux aient perdu un temps aussi considérable et aient dégager une telle énergie, Pour simplement savoir avec précision la date des semailles et celle de la récolte. Il serait peu être temps que l'on mette définitivement cette soit disant hypothèse aux oubliettes avec leur inventeur. Que les rangs soient alignés sur certaine date précise du lever du soleil soit mais ce serait prendre nos ancêtres pour des idiots que de penser à un simple problème d'agriculture. Sincèrement pourquoi s'ennuyer a déplacer des tonnes de pierres pour toutes les alignées une par une alors qu'il suffit de deux pierres suffisamment éloignées et alignée sur la date du levée du soleil que l'on veux se remémorer.
    C'est un principe de base de la géométrie (par deux point passe une droite et une seule) inutile donc de rajouter toute une série d'autre point qui ne ferait que compliquer un éventuel tracé ayant pour but de définir une date précise dans l'année grâce au soleil. Comme vous le voyez, plus on s'avance et plus on se perd en hypothèses, les mégalithes étaient-il des sépultures ?
    C'est valable pour les cairns, tumulus et certains dolmens mais faux pour les menhirs et les alignements. Les menhirs servaient-ils de bornes géographiques afin que les voyageurs et les marchands les repèrent de loin ? Pourquoi pas, c'était bien une des fonctions des clochés de nos églises jadis. En fait la plupart de ces hypothèses sont envisageable et compatibles, ces pierres pouvaient très bien servir de cimetière spirituel ainsi que d'allée délimitant les processions au jour de fêtes pour ce qui est des alignements. Les menhirs isolés pouvaient très bien n'avoir pour fonction que d'indiquer la route aux voyageurs. Néanmoins, il reste une hypothèse très en vogue et que je n'ai pas encore abordé, c'est celle qui consiste à dire que les menhirs et autres mégalithes suivaient en fait les lignes de force telluriques de la planète. Beaucoup de gens ont argumentés sur cette hypothèse en bien ou en mal, de façon sérieuse ou loufoque. Parmi toutes ces hypothèses j'ai particulièrement apprécié celle de Jean Anne, aussi bien pour la poésie de son écriture que par l'aspect scientifique de sa recherche. Je me propose donc de vous la retranscrire ici.

    Et je vous laisse jugez par vous-même…

     

     

     

     

     

    Le secret des pierres Par jean Anne.

    Si l'on considère tout ce que la surface de notre Planète révèle d'étrange et d'irrationnel, l'on reste confondu devant l'impuissance de la science face à d'innombrables points d'interrogation. Si, délaissant les voies des écoles traditionnelles, l'on tente une approche sur le sentier de recherches bien moins conventionnelles, des éléments de réponses apparaissent progressivement. C'est par de telles démarches, de longues et patientes analyses qu'il a été possible de réunir certaines hypothèses et aussi, le plus passionnant, quelques certitudes.

    Nous pouvons mieux comprendre pourquoi les mégalithes et aussi certaines constructions mégalithiques cyclopéennes ont été implantés ou érigées un peu partout sur la presque totalité de la surface de notre globe et, semble-t-il répartis un peu au hasard.

    Pour nous, maintenant, les mégalithes ont livré une partie de leurs secrets.

    Il faut tout d'abord comprendre que les emplacements de ces mystérieuses pierres doivent être considérés comme de " Hauts Lieux ". Leur caractère sacré est l'héritage occulte, fantastique, insolite et particulièrement impressionnant de tout un " Passé Inconnu ". Epars à travers le monde, ces Lieux sont des jalons et des repères chargés d'un Sens venu d'un Ailleurs inconnu : Des hiérophanies, manifestations du Sacré matérialisé et paré de légendes et de mythes. Au fil du temps, la perte progressive des Connaissances Originelles, ayant fait place à une ignorance superstitieuse, diverses pratiques plus ou moins barbares, des rituels païens ou profanes se sont succédés sur ces lieux..

    Face à ces pierres, l'homme éprouve un confus sentiment de fusion de lui-même avec la Nature et, s'il prend la peine de méditer quelques instants, il est inconsciemment absorbé par le Cosmos : Il s'abîme au plus profond de son moi pour s'intégrer dans un Infini immense, transformé en une fraction infinitésimale de Temps. semblant lui durer une Eternité, projeté en une boucle revenant sans cesse à son point de départ, telle une minuscule particule contenant en elle seule l'Univers tout entier, sans limites, car infini. Les mégalithes ont toujours fasciné les hommes.

    Face à ces géants, ces blocs de dizaines de tonnes, masses minérales profondément plongés dans le sol, émergeant de la Nuit des Temps, l'individu, avec humilité, prend conscience de la faiblesse de son espèce.

    Il doute que des ancêtres inconnus, malgré une vigueur légendaire, aient pu lever, transporter et assembler de tels monstres. Mais rationnel, rejetant l'étrange et le surnaturel, ne comprend pas mieux comment des ancêtres inconnus, guère plus forts que lui aient pu, en leur temps, effectuer un tel travail herculéen. Comment ces pierres gigantesques sont-elles arrivées là, et plantées très souvent fort loin de leurs lieux d'extraction. De savantes hypothèses ont été scientifiquement formulées, mais, à la réflexion, beaucoup semblent bien fragiles ! Alors, derrière et en deçà des Légendes et Contes de notre enfance, ne se cacherait-il pas l'ombre d'une Vérité originelle et très pertinente ? Toute une mythologie confuse est toujours associée à la présence de ces pierres. Un mythologie de tradition orale, souvent superstitieuse, de mythes transmis à travers les âges par des récits légendaires. Les landes désertes et sauvages, les rivières et les lacs perdus dans la brume des petits matins, encore frémissant de leurs séjours dans la nuit mystérieuse et magique, ne sont-ils pas les Lieux de prédilection où se retrouve et s'ébat tout un petit peuple étrange et puissant.. invisible au commun des mortels. Les forêts profondes, serrées aux flancs de montagnes sévères, souvent inaccessibles et d'où émergent les ruines d'un château d'un autre Temps, ne sont-elles pas, elles aussi, le territoire de mystérieux nains et farfadets aux pouvoirs sans limites.

    Ne sourions pas : De nos jours, sont encore nombreux les coins du terroir où se murmure encore à voix basse que l'on peut y rencontrer certaines nuits, au détour d'un chemin creux, sous la futaie ou près d'une source, au confins de la lande sauvage, l'un de ces êtres mystérieux et, pour les éviter, qu'il est préférable de faire un large détour ! Beaucoup de menhirs, dolmens, allées couvertes, cromlechs ou ensembles de pierres plantées, sont associés à la présence occulte de ces êtres invisibles aux dons surnaturels, sans oublier certains assemblés ou érigés par Messire le Diable en personne. La tradition populaire affirmant que ses travaux ne pouvaient être menés à bien qu'en une nuit sans lune, oeuvres devant être impérativement achevées avant le premier chant du coq. De leur coté, les Fées avaient tous pouvoirs sur les destinées des humains. Elles occupent une place prépondérante dans nombre de tenaces Légendes. De là à ce qu'elles soient associées à l'érection de nombreuses pierres, rien de bien extraordinaire ! Il y a toujours une Pierre de la Fée dans quelque coin de la plupart des cantons de nos campagnes. D'ailleurs chacun sait que ces doctes Dames ont toujours eu le coup de baguette. magique ! Pour elles ce n'était que jeu d'enfant que de déplacer sur des dizaines de lieues ces énormes blocs de pierre et de les assembler d'un coup de leurs quenouilles, d'où fusaient des flots d'étincelles magiques.

    Il n'est que de parcourir les terres de France, d'Irlande, de Germanie, de Grande-Bretagne et des Pays Nordiques et de bien d'autres contrées, pour y dénombrer les mégalithes associés aux Fées, Nains ou Géants de toutes origines. Parfois le Loup se trouve attribué le parrainage de certaines de ces Pierres, généralement plus petites et assemblées sur un même emplacement, surtout dans le Nord de la France. Un point est très remarquable : La naïveté populaire, prompte à interpréter le rôle d'êtres surnaturels à travers les récits, est susceptible de fournir au chercheur d'intéressantes et fort précieuses informations, très pragmatiques et bien rationnelles. Si ces êtres de Légendes avaient eu, à l'origine des faits réels, une autre apparence et que, si les quenouilles de ces braves dames mythiques avaient eu une autre dénomination que celle que la tradition orale contemporaine a pu attribuer à un instrument nous étant inconnu, nous n'en serions que fort peu surpris ! A ces Pierres de nombreuses et diverses superstitions sont attachées. Beaucoup procureraient guérisons et autres divers bienfaits. Prés d'autres se dérouleraient, de nos jours encore, quelques pratiques moins innocentes et pas très avouables ! Il est vrai que partout, la superstition a remplacé la connaissance de faits bien réels basées sur des applications des Lois Universelles de Sciences bien connues d'hommes d'il y a oh combien de millénaires, mais devenues incompréhensibles aux générations contemporaines ayant succédé à celles de très anciennes civilisations disparues et oubliées. Ajoutons pour la beauté du récit, quelques menhirs fantasques qui auraient la faculté de se promener à la mi-nuit de la Saint-Jean ou la nuit de Noël. Au pays de Galles, en Grande-Bretagne, un menhir aurait la fantaisie une fois l'an d'aller boire à la rivière toute proche.

    Mais malheur au curieux qui voudrait surprendre cette " promenade " ! Sans oublier une pierre, que tout un chacun peut voir sur la place de la Mairie du village de Gauchain-le-Gal, dans le Pas de Calais, village que traverse la Route Départementale 341, à env.20 km d'Arras,voie menant à Houdain et Bruay-en-Artois (Carte Topographique IGN No.2).Cette pierre, que les habitants du lieu ont enchaînée à un bloc de béton, enterré dans le sol, entourée d'une grille, venait très souvent, bien après le coucher du soleil, cogner violemment à la porte des maris infidèles ! Depuis que cette pierre de grès sphérique d'une quarantaine de centimètres de diamètre est ainsi attachée, les volages autochtones mâles du village dorment en paix, et leurs épouses aussi ! Nombreux sont les sites mégalithiques qui, de nos jours, sont l'objet ou le support de dévotions, de pratiques cultuelles, surtout druidiques, rattachées à la Culture celte et à l'adoration du soleil. Les anciens initiés celtes, ayant conservés grâce à une parcelle de très anciennes traditions orales, perpétuant ainsi une petite partie des connaissances ancestrales de certaines Lois Universelles, bien que pouvant ne pas être systématiquement les planteurs de menhirs, les bâtisseurs des dolmens ou d'autres assemblages de pierres, tels les cromlechs, en connaissaient les propriétés énergétiques vibratoires : Ils les utilisaient à leur profit et à celui des populations locales.

    Certaines " dévotions superstitieuses ", mêlées à une crainte salutaire du lieu, ayant pris le relais des Connaissances originelles oubliées ou perdues, ont parfois évité les destructions de ces merveilleux témoins du passé, ordonnées par d'aveugles fanatiques religieux du début du christianisme. Des recherches récentes prouvent que ces ensembles gigantesques ont été érigés par des ancêtres inconnus, probablement contemporains de Civilisations oubliées et ayant agi en ces temps reculés dans des buts bien précis : Mettre au service des Hommes les bienfaits d'une Science, très éloignée des connaissances et technologies actuelles. Car, n'oublions pas que les Légendes et Contes merveilleux de notre enfance sont la transcription de très anciennes traditions orales, déformées au fil des âges, mais ayant puisé à une Source bien rationnelle restant à redécouvrir. A part les mégalithes, sont éparses à travers le Monde des constructions monumentales, dont les bâtisseurs se sont inspirés des mêmes critères qui avaient guidé leurs prédécesseurs ayant érigé ou assemblé les Pierres levées. Ces assemblages sont plus complexes, plus sophistiqués dirions-nous à présent : Ce sont les Pyramides, les Temples et les Murs cyclopéens. Outre l'affectation de tombeaux ayant généralement été attribuée systématiquement à tout l'ensemble de ces constructions, certaines n'ayant jamais eu une destination funéraire, les Pyramides sont des Instruments géants : Des capteurs de radiations cosmiques, des condenseurs et des diffuseurs d'Energies dont les buts et finalités nous échappent encore. Nous sommes encore loin d'en soupçonner toutes les applications : Celles utilisées par nos très lointains Ancêtres.

    Les chercheurs avertis ont été fort surpris que certaines fresques des Temples des époques pharaoniques les plus reculées, révèlent la Connaissance qu'avaient les Grands Initiés égyptiens de la génétique, de la science de la médecine, de la chirurgie la plus fine, de l'astro-physique et des mathématiques cosmiques. Ils ne disposaient pas plus que nous de la science infuse, mais il est plus rationnel de penser qu'ils aient bénéficié d'une longue chaîne de Connaissances leur venant d'un certain passé. Parmi les constructions mégalithiques, l'on ne peut pas ne pas citer les murs cyclopéens lesquels, tout en présentant un caractère de protection physique, ont eu avant tout la faculté de provoquer une concentration d'Energies, renforçant les Forces Telluriques dont bénéficiaient les occupants des lieux, abrités derrière leurs enceintes. Car, tout comme les Pyramides et les Temples, les Murs, outre leurs positions cosmiques, ont également été assemblés sur des emplacements bien précis : Des points d'émergence du Géon, ces faisceaux d'Energies venant des profondeurs de notre Terre. Par le suite, bien plus tard et plus proches de nous dans le Temps des hommes, la plupart des Temples ont été érigés à des fins religieuses ou votives, pour honorer telle divinité dont on voulait s'attirer les bonnes grâces et la protection. Les participants aux cérémonies s'y déroulant étaient persuadés que plus le Temple était beau et harmonieux de Formes et de Proportions, que si le rituel était somptueux plus larges seraient les bienfaits dispensés !

    Il se dégage de chacune de ces Pierres, solitaires ou assemblées, de ces constructions plus ou moins élaborées, tout un rayonnement, permettant aux officiants réunis sur ces emplacements, d'obtenir la formation d'Egrégores, de Vortex énergétiques, engendrant différant phénomènes naturels agissant sur le psychisme, le mental, l'Esprit et, aussi, sur le physique des fidèles assemblés là à certaines époques soigneusement déterminées. Sur certains de ces emplacements des " miracles " pouvaient s'y produire : Hallucinations collectives, apparitions d'êtres étranges mythiques ou aussi guérisons " miraculeuses " Conjonction logique et bien rationnelle des Forces manipulées ou savamment maîtrisées que l'ignorante superstition populaire attribuait à la Déité ou au Saint Patron du lieu auquel la Pierre, l'Assemblage, le Temple, l'Eglise ou plus modestement la Chapelle Votive était consacré. Pourquoi cet amalgame entre les Pierres levées et les assemblages mégalithiques et toute la gamme des Cathédrales, des vieilles Eglises et Chapelles de campagne, ayant été toujours construites sur des emplacements d'anciens Temples païens ou de dolmens parfois encore enfouis dans le sous sol ou sous leurs cryptes ? Car, tout simplement, le but en était le même : CAPTER et UTILISER les RADIATIONS TELLURIQUES, MAGNETIQUES, RADIO-ACTIVES et d'autres non encore recensées, S'ECHAPPANT A LA VERTICALE DE CES "HAUTS-LIEUX SACRES", par ces sortes de " cheminées " invisibles. Mais, pour capter et pouvoir utiliser ces radiations, certains autres Paramètres doivent y être harmonieusement et très judicieusement réunis, afin d'engendrer une Symbiose énergétique particulièrement active.. Pour les Pierres et Ensembles Mégalithiques, trois facteurs doivent s'associer : 1. La FORME DE RADIATION, se dégageant sur le lieu ou dans un proche périmètre. 2. L'EPOQUE ou la DATE déterminant le Flux vertical de tel ou tel Rayonnement et, 3. PRODUIRE UN VORTEX VIBRATOIRE SONORE : La Voix humaine, modulée : Chants oraisons psalmodiées, toutes formes de Prières, Incantations ou Mantras ou, encore, à l'aide de vibrations sonores produites par des instruments à vent, à cordes ou à percussion. .A l'intérieur des enceintes bâties et érigées sur de Hauts-Lieux Sacrés : Temples, Cathédrales, Églises, Chapelles et autres Édifices consacrés, les Maîtres Batisseurs -Grands Initiés dans l'Art du Trait - ont toujours prévu une Architecture rigoureusement Harmonieuse si parfaite, que les PROPORTIONS DES VOLUMES ACTIVENT des ONDES DE FORMES, Énergies Statiques agissant sur les molécules constituantes de certaines Pierres granitiques, judicieusement réparties dans l'Ensemble, venant amplifier et focaliser les Radiations verticales naturelles telluriques du Lieu.

    Dans le 1° cas - les Pierres et Ensembles Mégalithiques : Le but est de produire une " Vibration unique " en mettant en parfaite symbiose, par une seule émission harmonique, un flux de radiation et une vibration sonore humaine et/ou instrumentale. Dans le 2° cas : A l'intérieur des enceintes bâties et érigées sur de Hauts-Lieux Sacrés : La symbiose d'une " Vibration Unique " est plus subtile à générer : Les mêmes flux telluriques émis épisodiquement sous l'édifice considéré, se combinent avec des rayonnements d'ONDES DE FORMES. Impossibles à étalonner scientifiquement faute de disposer d'appareils de mesures restant à inventer, car générées entre autres par les proportions des volumes, dont les énergies peuvent être tout autant bénéfiques que nocives, ces deux paramètres faisant agir les vibrations moléculaires spécifiques du granit. A l'heure actuelle, seul étalonnage aléatoire possible et efficace mais non reconnu par la science de nos écoles, reste la radiesthésie pendulaire. Quelles Connaissances devaient posséder les " Officiants Initiés " pour mettre en jeu une telle symbiose énergétique, savoir comment l'utiliser avec infiniment de Sagesse et ne pas jouer aux apprentis sorciers.. Notre structure mentale, imprégnée et entièrement conditionnée par un enseignement basé exclusivement sur les sciences humaines, ne permet que très difficilement d'assimiler certains aspects de Lois Universelles, déterminant les Ondes de Formes, les Ondes Nocives et encore bien d'autres " rayonnements" pour lesquels les instruments de mesures n'existent pas encore ( Au Moyen-Âge un Ohmètre, un Voltmètre et même un vulgaire Métrix que l'on trouve dans les rayons de chaque supermarché. n'aurait servi à rien : La Fée électricité était encore inconnue.. Alors ?) Maintenant il s'agit de répondre à une très pertinente question : Sur quels éléments peut-on fonder de telles affirmations ? Ces réponses ne sont pas le fruit d'une imagination particulièrement fertile ! Non, il ne s'agit que du résultat de longues et patientes recherches, au demeurant très passionnantes : Un certain jour, au hasard d'une promenade, je me suis trouvé face à un menhir, planté là au beau milieu d'une lande bretonne. C'était ma première rencontre avec un mégalithe.. Depuis je n'ai eu cesse de comprendre pourquoi cette énorme pierre se trouvait ainsi, fichée en terre, dans un coin aussi éloigné de toute présence et habitation humaine.

    Depuis ce jour d'été, durant plusieurs années j'ai effectué de nombreuses recherches sur les pierres levées et les ensembles mégalithiques, ce afin de comprendre POURQUOI ces pierres étaient là.. A quoi elles avaient bien pu servir dans le lointain passé des hommes..

    Puisque personne, parmi mes contemporains, n'avait été - à mon sens - capable de proposer une explication ou une hypothèse qui tienne debout, encore moins la lecture de toutes les sornettes étalées dans les revues, dites scientifiques ou trouvées dans les livres écrits par des esprits forts et, ainsi qu'on le prétend, faisant autorité en la matière : Cela allait de sites funéraires, aux rituels de sacrifices humains les plus grand-guignolesques où se trouvaient parfois aussi mêlées de bien curieuses - et pour certains lecteurs - de très alléchantes et croustillantes cérémonies à caractère sexuellement dépravées...

    Sans me préoccuper de savoir par qui et comment ces pierres avaient été implantées, laissant de côté cette question, laquelle sans doute trouverait plus tard sa réponse, peut-être après avoir trouvé celle à ce que je pensais être primordial dans la chronologie de ma recherche. j

    e commençais un long périple au hasard de déplacements professionnels et de congés mis ainsi utilement à profit.

    Ces recherches n'avaient pas pour objet de dresser un inventaire géographique des lieux mégalithiques. Ceux-ci sont disponibles un peu partout dans chaque région de France édités à la très louable initiative de quelques passionnés ou par des promoteurs du tourisme local. Par contre, en Grande-Bretagne, il existe de très sérieux ouvrages, chacun étant un inventaire complet et thématique, rigoureux et fort bien documenté sur tous les sites, y compris un de ceux-ci y ajoutant la description des ruines et traces de l'occupation de la fière Albion par les romains.

    De mon menhir solitaire en Bretagne pour, plusieurs années plus tard, avoir terminé mon périple européen sur le site de la très curieuse pierre plantée de SOUILLAC, dans le Lot, prés de la Dordogne. de patientes recherches sur le terrain, épluchant pas mal de vieux écrits, de savoureuses traditions locales, d'anciennes cartes et d'archives paroissiales, m'ont amenés par épisodes successifs à visiter de nombreuses implantations mégalithiques répertoriées. ou aussi à en chercher intuitivement d'autres, hors des chemins habituels.

    Au début, en marquant les différents sites de même dénomination sur les cartes IGN, de curieuses formations géométriques apparaissaient en reliant certains emplacements à d'autres, particulièrement ceux ayant la même relation toponymique, par exemple, le Loup, telle ou telle Fée, le Diable et d'autres..

    C'était soit une longue ligne de plusieurs centaines de kilomètres, ailleurs un triangle parfaitement isocèle, ou encore deux points.. dont un troisième encore inconnu, révélait en utilisant le compas par la bonne vieille et tellement efficace méthode de la triangulation, révélait l'emplacement d'une pierre parfois bien cachée dans les broussailles ou une autre perdue au milieux d'un vieux marais.. dont on avait depuis fort longtemps oublié l'existence.. Cela confortait l'hypothèse d'une intelligente relation dans l'implantation de ces mégalithes.. mais il manquait encore un maillon essentiel pour obtenir le premier élément de réponse exploitable.

    En Octobre 1982, dans le quotidien Nice-Matin, paraissait sur quelques lignes une information par laquelle, sous le nom de "Projet Dragon", une équipe de scientifiques avait découvert que des émissions anormales d'ultrasons et de radiations d'intensités irrégulières et épisodiques en provenance du sous-sol étaient enregistrées à proximité et sur des sites mégalithiques en Grande-Bretagne ! Mais pourquoi "Projet Dragon " ? : Pour ceux ayant abordé le problème des radiations et autres manifestations telluriques, il n'est un mystère pour personne que le Dragon est la Bête Mythique par excellence, adoptée depuis des millénaires par certains peuples d'Extrême-Orient, comme le Symbole allégorique du tellurisme, en tout ce qu'il comporte d'aspects visibles et invisibles.. et transposées par certaines croyances religieuses durablement et solidement enracinées : N'en citons qu'une (et pas par hasard) celle de l'Archange Saint-Michel terrassant le Dragon !

    Les chinois, par exemple, depuis des millénaires, ne construisent rien, ne prévoient aucune implantation de quelque nature que ce soit sans, en tout premier chef, se préoccuper de l'environnement du sous-sol et de la qualité des radiations émises afin de déterminer au préalable la propriété bénéfique ou nocive de ces manifestations très subtiles. que nous, occidentaux, négligeons dans la plus totale indifférence et avec tout le mépris que nos structures mentales formulent à l'égard de ce qui n'est pas scientifiquement et positivement révélé.

    Il ne fallait donc pas plus que quelques lignes lues dans la Presse pour repartir en quête d'autres morceaux du puzzle, après avoir localisé certains participants à ce programme de recherches. J'ai obtenu assez rapidement d'avoir accès aux résultats matérialisés par des bandes de papier d' enregistrement d'appareils de mesures "bidouillés" par des ingénieurs électroniciens de cette équipe. Pour gagner un temps précieux -

    Ces recherches étant effectuées en dehors de leurs activités professionnelles propres durant les week-end et y sacrifiant tous leurs congés et quelque soient les conditions météo - ils se faisaient 'aider' par un dénommé Tom Grave, radiesthésiste notoire, lequel leur indiquait à l'avance, sur cartes, les lieux où, suivant les époques, ils devaient aller enregistrer tel ou tel type de radiation !

    Étaient utilisés des compteurs Geiger, des détecteurs d'ultrasons et des magnétomètres couramment utilisés en géologie.

    Tous ces appareils bricolés et modifiés pour pouvoir, sur place et dans toutes conditions, enregistrer sur bandes papier les détections relevées.. En résumant le plus brièvement possible la synthèse de toutes ces investigations de plusieurs années d'un patient travail de fourmi , il a été constaté, à la lecture de tous les enregistrements systématiques effectués à différentes époques de l'année, que les impulsions d'ultrasons atteignaient un maximum d'intensité et de durée lors des ÉQUINOXES, et, ce à proximité de très nombreuses pierres plantées.. et pratiquement nulles aux SOLSTICES ! · Sur les mêmes lieux, par contre les émissions du magnétisme montant du sous-sol décuplaient d'intensité durant les SOLSTICES. ·

    En parallèle, à des distances variables des pierres, et suivant les sites, autour de nombreux mégalithes et à certaines périodes irrégulières de l'année, s'élevant en une sorte de couronne invisible, cylindre vertical de radiations actives, le compteur Geiger enregistrait UN MAXIMUM D'INTENSITÉ et par contre, en même temps, au centre du cercle formé par le menhir, le dolmen ou l'assemblage mégalithique, les radiations étaient pratiquement nulles .. et que, durant ce même temps , le CENTRE DU CERCLE ÉMETTAIT DAVANTAGE D'ULTRASONS, que pendant les 'périodes de repos' !

    Pour la petite histoire, il est assez curieux de savoir que le "Projet Dragon" est né d'un rapport, exhumé par hasard par un des scientifiques du futur projet Dragon des Archives du Ministère de l'Agriculture britannique, rédigé au siècle dernier par un inspecteur agricole régional, informant les fonctionnaires du Gouvernement de sa Très Gracieuse Majesté que des bergers se plaignaient que les vaches et les moutons refusaient systématiquement d'aller brouter l'herbe qui constituait - à cette époque bénie des consommateurs - leur seule et unique nourriture, à certaines période de l'année, autour des sites où 'étaient plantées des pierres' et exigeaient de savoir pourquoi et ce qu'il fallait faire... (A comprendre que, vu où ce 'document' a été trouvé..

    les descendants des bergers attendent toujours la réponse !!) Tous ces phénomènes, en apparence inexplicables, renforcent la théorie suivant laquelle nos très lointains ancêtres inconnus - que nos livres d'histoire décrivent toujours comme des êtres simiesques et hirsutes, galopant derrière du gibier en brandissant d'impressionnants gourdins - étaient capables, non seulement de détecter une Force que l'on peut nommer 'Energie Terrestre' et d'ériger en ces points des pierres isolées ou assemblées.. ce suivant une finalité ou un usage dont eux seuls connaissaient le mode d'emploi.

    Ceci exposé, d'autres questions précises restent encore sans réponse : Qui étaient ces lointains ancêtres ? Ils étaient assurément contemporains d'une civilisation géographiquement très étendue.. dont évidemment ne subsiste aucun souvenir dans la mémoire de nos contemporains. Des hommes ayant érigé un peu partout dans le Monde des mégalithes sous formes de menhirs, cromlechs, dolmens, allées couvertes, et autres cairns..

    Comment beaucoup de ces mégalithes, pierres de plusieurs tonnes, certaines de dizaines de tonnes, ont-elles été acheminées de leurs sites d'extraction, parfois sur de grandes distances vers leurs sites d'érection ? Transportées à travers monts et vallées escarpées, passant des cours d'eau, des marécages et, même pour quelques-unes, sur mer ou océan telles, par exemple le site de Nan-Madol de l'île de Ponape (Pohn-ah-pay), à 6°.58 Nord et 158°.13 Est, en plein pacifique, archipel des Carolines, mégalithes assemblés en forme d'énormes murs de plus de 12 m. de haut et de 5 m.50 d'épaisseur et tirés au cordeau, constitués de gigantesques pierres d'un peu plus de 10 m. de long.. n'existant pas à l'origine sur cette île de Ponape !

     Elles proviendraient d'un îlot situé à une cinquantaine de miles à l'Ouest. Mais ceci reste un mystère pour tous les chercheurs..

    Quelles finalités primordiales d'utilisation pouvaient justifier de telles entreprises, exigeant une aussi colossale dépense d'énergie humaine, sur une île minuscule perdue en plein Pacifique.. ( Nous pensons toujours que les hommes de ces époques utilisaient des foules de travailleurs ou d'esclaves se tuant à la tâche..) mais rassurez-vous ! Ils n'étaient pas idiots.. mais savaient utiliser utiliser d'autres technologies.. Qui peut répondre ?

    Les dossiers restent ouverts aux hommes de bonne volonté.. et particulièrement à ceux osant défier la raison, en n'hésitant pas parfois à utiliser d'autres méthodes et moyens d'investigation que la science traditionnelle s'entête à ignorer..

    Jean A n n e

    Si les mégalithes vous passionnent, voici une selection non exaustive de sites sur le même sujet et regroupant de nombreuses photos

    Source : http://perso.wanadoo.fr/passe.present.futur/accueil.htm

    Autres liens :

     

    http://www.paleologos.com/bretagne.htm
    http://maelle.blouch.free.fr/megalithes/kerivoret.htm
    http://www.bretagne-celtic.com/accueil_megalithe.htm
    http://bruno.marc1.free.fr/dolmen/
    http://www.culture.gouv.fr/culture/arcnat/megalithes/fr/
    http://www.paleologos.com/francais.htm
    http://members.aol.com/teviec0001/sitef.htm
    http://panieralix.free.fr/siteweb2002/mythes.htm

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    INTRODUCTION

    Les dessins ou géoplyphes de Nasca sont situés dans la plaine côtière et aride du Pérou a quelques 400 Km au sud de Lima. Ces lignes couvrent une surface d'environ 450 Km² et représentent une des grandes énigmes de l'archéologie en raison de leur quantité, de leur nature, de leur taille et de leur continuité. Certains de ces géoglyphes représentent des créatures vivantes, d'autres des figures géométriques de plusieurs kilomètre de long. Ces dessins, connu depuis 1926, ne furent réellement Re-découvert qu'en 1939 par Paul Kosak alors qu'il survolait la région dans un petit avion. Le hasard voulu qu'il effectua ce vol au solstice d'été et qu'il remarqua que la direction d'un des tracés d'oiseaux était aligné avec les rayons du soleil couchant ce qui fit qu'il baptisa la plaine, "le plus grand livre d'astronomie du monde".

     

    Comment réaliser ces immenses dessins, qui ne sont observables que du ciel, et surtout dans quel but ? Que signifient les "pistes d'atterrissage" parfois longues de plusieurs kilomètres ? Les hypothèses les plus diverses ont été avancées (pistes pour extra-terrestres, etc.). Les plus plausibles restent celles qui lient les fameux dessins à la position des étoiles, ce qui ferait des lignes et autres représentations une sorte de calendrier des activités agricoles. Mais rien n'est prouvé.

     

     

    Voici une photo, tirée d'un livre consacré à Maria Reiche, célèbre archéologue allemande qui a passé sa vie à Nasca (et qui y vivait encore en 1994).

    (Le mystère des lignes de Nasca, par Tony Morrison)

     

     

     

     

     

    Comment sont réalisés les dessins de Nasca ?

     

    La réalisation et surtout la longue conservation de ces tracés furent rendus possible grace à deux particularitées de la région. La première est une particularitée géologique dans le sens ou le sol de la plaine de Nasca est constitué d'une fine couche de pierres sombre sous laquelle se trouve un sol désertique plus clair. Il suffit donc, pour faire apparaitre un dessin, d'écarter cette fine couche sombre.

     

     

     

      

    Néanmoins, ce genre de réalisation n'aurait eu qu'un temps de vie des plus limités dans le temps si la région ne possédait pas des caractéristiques météorologiques extraordinaire. En effet, cette région ne reçoit pas plus d'une demi heure de pluie par an !

    ceci allié au fait qu'il y a une quasi absence de vent sur cette plaine et nous avons là réunis, les éléments suffisant pour conserver de simple tracés sur le sol durant des millénaires.

     

     

    Que représente les dessins de Nasca ?

    On distingue différent type de représentations sur la plaine de Nasca:

    Des représentations d'animaux allant de 5 mètres a près de 230 mètres pour les plus grandes.
    Des lignes droites ou en spirale pouvant atteindre 5 Km de long.
    Des figures géométriques en formes de trapèze ou de bandes de très longue taille.

    on trouve également sur les flancs de certaines collines bordant le désert, des représentations approximativement humaine.

     

     

    Ce qui fascine le plus concernant les dessins de Nasca et qui enflamme l'imagination depuis des décennies tiens dans le simple fait que ces dessins ne sont pas visible du sol, ils ne peuvent être observés et appréciés dans toute leur splendeur qu'a partir d'une certaine altitude C'est d'ailleurs en survolant la zone en avion qu'ils furent réellement découvert. Alors la question que l'on est en droit de se poser est évidemment pourquoi, ou pour qui, les indiens Nasca ont réalisés ces tracés puisqu'on ne peux les apprécier que de très haut. De nombreuses personnes, scientifiques ou non, ont émis de nombreuses hypothèses sur la signification de ces tracés et nous allon, si vous le voulez bien, essayer de les passer en revue pour y voir un peu plus clair.

     

     

     

     

     
    Un mirador est accessible au bord de la route panaméricaine, quelques dessins y sont visibles. La différence de taille entre la route et le grand rectangle donne une idée de la démesure des tracés.
     
    Le must reste quand même le survol en avion.
     

     

     

     

    Voici un petit échantillon des dessins visibles dans la pampa de San-Jose...

     

    Le grand rectangle
    au coeur de la zone archéologique
    ? ? ?
    Mais cékoidon ... ce dessin ?
    Oiseau et pétales ...
    Un oiseau
    Arbre et oiseau
    La baleine
    La roue à aubes
    L'araignée
    Le singe à queue en spirale
    Le condor
    (plus de 100m de long)

      

    Les Différentes Hypothèses:

    Paul KOSOK:
    Il fut le premier à remarquer que certains tracés s'alignaient avec le soleil couchant, notamment aux périodes de solstice (le 22 juin correspond au solstice d'hiver dans l'émisphère sud, c'est le jour le plus court de l'année) ce qui l'incita a penser que les lignes de Nasca servaient éssentiellement a repérer les saisons. A partir de là, les autres lignes auraient été tracées afin de pouvoir fixer d'autres dates, créant ainsi un gigantesque calendrier. La représentation d'animaux serait alors un zodiaque géant et les figures géométriques (bandes et trapèzes) des éléments de visées astronomique.

    Maria REICHE:
    On ne peut évidemment pas aborder le mystère des lignes de Nasca sans parler de Maria Reiche qui y consacra sa vie. Née le 15 mai 1903 à Dresde, Maria Reiche arrive au pérou à 29 ans, passionnée d'astronomie, ayant étudier les mathématiques à l'universitée de Hambourg, elle s'intéresse aux travaux de Rolf Müller portant sur la construction des batiments Incas face au soleil. Elle fini par rencontrer le Dr Paul Kosok qui l'entraine dans le désert péruvien et lui fait découvrir les étranges tracés.
    A partir de ce moment, Maria Reiche s'établit à Nasca pour ne plus en partir.

     

     

    Lors de ses recherches, elle va révèler de nouveaux dessins et tenter d'établir un modèle de mesure. La symétrie des tracés et les proportions entre les divers éléments démontrent que les auteurs devaient posséder une forme de pensée abstraite et une méthode géométrique. Pour la confection des courbes, Maria suggère que les auteurs recouraient à de longues cordes fixées à un piquet afin de dessiner au moyen d'une succession d'arcs circulaires de différents rayons.

    À la recherche de l'unité de mesure, Maria remarque la répétition de la longueur de 26 mètres. Sa suggestion est alors de suggérer 1,30 mètre comme unité de base. Cela correspond à la largeur de diverses lignes et rayons et à la mesure d'écartement des bras d'un homme, de la pointe du majeur à l'autre. Pour les plus petits tracés, l’hypothèse qu'elle a retenu est de prendre le quart de l'unité, soit 32,5 centimètres. Recensant ses découvertes et prospections, Maria publie un premier livre en 1949, Le Mystère des plaines. Ascension du soleil, solstice ou localisation d'étoiles, les lignes pouvaient être utilisées comme une sorte de calendrier qui ne se limiterait pas à reproduire les circonstances célestes, mais posséderaient un usage pratique et quotidien (festivités, récoltes). "Ces dessins géométriques donnent l'impression d'être une écriture symbolique, dans laquelle les mêmes paroles seraient écrites des fois avec des lettres géantes, et d'autres avec des lettres minuscules", affirmait Maria. Selon elle, le contenu de cette écriture symbolique doit être associée au mouvement des astres.

     

     

    La nécessaire préservation

    María Reiche passa sa vie à l'étude, la conservation et la préservation de ces lignes, émerveillée par la perfection et l'exactitude de ce document historique. Souvent seule pour préserver ce grandiose document culturel, elle piqua des colères lorsque les touristes commencèrent à envahir le site et à le détériorer. Son travail ne fut pas facilité par le fait que, dans les années 60, de nombreux hurluberlus envahirent le site de Nasca. Sur les traces de l'écrivain suisse Erich von Däniken, ils croyaient que les lignes désignaient des pistes d'atterrissage pour les extraterrestres. Certains artistes allant même jusqu'à dessiner leurs propres messages pour les astres !

    En 1970, l'Institut national de culture décréta les plaines de Nasca zone protégée. En récompense de son travail et de sa lutte pour préserver ce site, María Reiche a été gratifié de nombreuses décorations, telle l'Ordre du mérite et Citoyenne Péruvienne (en 1993). Son livre Contribution à la géométrie et à l'astronomie du Pérou Antique publié en 1993 (alors qu'elle a 90 ans) recense 40 ans d'articles et manuscrits de ses recherches . Et c'est seulement en 1994 que l'Unesco allait classer le site comme patrimoine de l'humanité. "Les êtres qui y ont vécu, il y a bien longtemps, ont laissé un document unique qui, je crois, représente un chapitre essentiel de l'évolution de l'esprit humain. Et il n'existe rien de semblable ailleurs dans le monde", comme Maria Reiche le soulignait si bien.

    Bien que son travail ne fut pas achevé et qu'elle n'émit aucune affirmation mais de simple suggestions, l'hypothèse de Maria Reiche reprend le principe du calenfrier astronomique. Le principe est simple, l'intrument de visée est orienté entre un point et la position du lever ou du coucher d'un astre à une date donnée. L'enchevêtrement des lignes s'expliquerait donc du fait que chacune d'entre elle correspond à un point de l'horizon pour lequel on voulait déterminer la signification astronomique ainsi que sa date. Des dates précises ont ainsi été mise en évidence sur la plaine de Nasca comme le lever et le coucher du soleil lors des solstices (22 mars et 22 decembre) ainsi que lors des équinoxes (22 mars et 22 septembre). Ces dates semblent donc fixer un calendrier sur lequel apparraissent des périodes intermédiaires comme la date du 6 mai marquant le début de la récolte dans cette région des andes. La théorie de Maria Reiche explique également l'importante quantité de lignes du fait que les mesures et visées ont du être corrigées au fur et a mesure du fait de la précession des équinoxes. Il s'agit du mouvement des pôles, se déplaçant de manière circulaire suivant un cycle de 26.000 ans. Cette variation de la direction de l'axe terrestre entraine alors le déplacement des pôles. Il en résulte une certaine "dérive" des étoiles fixes dans le ciel. Ceci est très important puisqu'il y a alors nécéssité d'effectuer des corrections sur les visées astronomiques ce qui se traduit par une mise a jour de la carte.

    Malheureusement, Maria Reiche mourru le 8 juin 1998 laissant derrière elle un travail inachevé auquel elle avait consacrée toute sa vie sans pouvoir arriver à résoudre complètement ce mystère archéologique.

    "Jusqu'à la dernière minute de mon existence, ma vie sera pour Nasca. Ce temps sera peu pour étudier cette merveille nichée au sein des plaines Péruviennes. C'est ici que je mourrai", affirmait Maria Reiche.

    "Ce serait avoir une faible opinion des civilisations antérieures que de supposer que tout ce travail immense et minutieusement détaillé, réalisé avec une consciencieuse perfection, avait comme unique finalité le service d'une superstition primitive ou un culte stérile. Au contraire, nous avons ici le témoignage à grande échelle et unique dans le monde du premier éveil des sciences exactes au sein de l'évolution de l'humanité, un effort gigantesque de l'esprit primitif qui se reflète dans la grandeur de l'exécution sous le ciel vaste des plaines immenses et solitaires, balayées par le vent et grillées par le soleil."

    Maria Reiche

     

    Une mongolfière antique ?

    En 1975, l'Américain Jim Woodman et l'aérostier anglais Julian Nott décident de tenter de fabriquer un ballon à air chaud avec les moyens de l'époque. Suite aux découvertes des momies Nazcas, les scientifiques connaissent parfaitement la constitution des bandes de toiles et des cordes ayant servies à la momification des corps.Les deux aventuriers décidèrent donc de réaliser leur ballon avec les mêmes méthodes de fabrications, pour les cordes et les toiles, que les Indiens Nazcas utilisaient.Une partie du résultat fut concluent puisque leur ballon s'éleva à une hauteur de 90 mètres, mais chuta brutalement au risque de tuer les deux aérostiers.  

     

     

    Il était démontré que les Indiens Nazca auraient pu se servir de cette méthode et créer des ballons pour superviser le traçage des lignes des différentes figures. Hélas, ce n'est qu'une hypothèse, certes sérieuse, mais dont aucun autre fait archéologique ne permet d'étayer avec certitude.Cette hypothèse reste alléchante car, sur les flans de certaines collines bordant le plateau de Nazca, on peut voir d'autres dessins de très grandes dimensions mais de factures plus primitives qui, eux, sont attribués aux indiens Paracas, prédécesseurs des Nazcas dans cette région.

     

    Ces emplacements à flanc de colline nous démontrent, avec certitude, que les Indiens Paracas avaient besoin de prendre du recul pour réaliser leurs œuvres, d'où la nécessité de placer leurs travaux sur des flancs de collines. Cette réflexion accrédite d'office l'hypothèse que les Nazcas savaient " prendre de la hauteur " pour contempler et finaliser leurs œuvres ! La question du " Comment ? " demeure encore entière !

     

     

     

    Quoi qu'il en soit les Indiens Nazcas durent trouver une astuce ou des outils leur permettrant de réaliser, à grande échelle, ces figures qui nous surprennent depuis plus d'un siècle.

      

    Maria Reich affirmait que les Nazcas procédaient, au préalable, à la construction de maquettes leur permettant, ainsi, de reproduire les figures à des échelles incroyablement plus grandes que les maquettes d'origines. Seules des traces de ces maquettes semblent avoir été découvertes par l'archéologue allemande. Toutefois, rien ne permet d'être sur que cette hypothèse puisse nous conduire à une certitude.

     

     

     

     

    La théorie de l'eau ?
    Des chercheurs de l'Université du Massachusetts ont une toute autre explication : ces lignes, croient-ils, servaient de repère pour localiser les sources d'eau potables, rares dans le désert. Elles suivent, croit-il, des failles sismiques dans lesquelles circule les eaux souterraines. Le long d'une des lignes, le chercheur David Johnson a trouvé plus d'une douzaine de puits. Dans une région où il tombe moins d'un pouce de pluie par année, c'est énorme! En creusant davantage, les chercheurs ont constaté dans au moins cinq régions une forte corrélation entre la présence de sources souterraines et les fameuses lignes. « La question, dit l'hydrologue Stephen Mabee, est de savoir si le lien est significatif ou si c'est du pur hasard. Nous ne disons pas que toutes les lignes de Nazca ont un lien avec l'eau. Nous croyons simplement qu'elles étaient utilisées pour différents usages. »

      

    Erik Von Daniken:
    L'autre grande hypothèse concernant la fonction des lignes de Nasca fut apporté par l'écrivain et explorateur
    Erik Von Daniken qui tend à penser que l'ensemble des figures géométriques (bandes et trapèzes) serait des pistes d'attérissagespour vaisseaux spatiaux ou qu'elles serviraient de sources de communications avec les extraterrestres.

    Il faut avouer que de toutesles hypothèses sur les fonctions de ces tracés, celle ci remporte le plus de succès de par son coté extraordinaire et ses implicationsau niveau de l'imaginaire. Cette hypothèse à tendance à éveiller notre imagination, à nous faire rêver à une époque ou des extraterrestres, dans leur superbes vaisseaux, venaient visiter les pauvres indigènes afin de leur donner un coup de pouce civilisateur.

    Malheureusement, cette hypothèse ne repose que sur une intuition et ne résiste pas à une étude succinte, car s'ils s'agit de pistes d'attérrisages, on ne trouve aucune des traces d'attérrissage qu'aurait immanquablement laisser les vaisseaux, car du fait des caractéristiques géologiques et météorologiques que nous avons vu plus haut, les éventuels vaisseaux auraient laissé une trace qui auraient été conserver jusqu'à notre époque. De plus cette théorie explique les bandes mais ne donnent aucune explication cohérente pour les lignes et les figures d'animaux.

    Il existe bien d'autre théories sur ces tracés mystérieux comme l'hypothèse de G.A. von Breunig déclarant qu'il s'agissait d'un centre d'entrainement pour les messagers de l'époque qui transmettaient les informations d'un bout à l'autre de l'empire Incas en courant. Ou de la théorie d'Henri Stierlin ayant un rapport avec les installations de tissage de la région.
    La liste de ces théories ne faisant que s'allonger au fil des années je me suis contenter ici de passer en revue les principales et les plus populaires d'entre elles sans pour autant confirmer ou critiquer leur véracitée ce qui aurait été bien prétentieux de ma part car concernant ce mystère, je ne peux pas prétendre avoir passer ma vie sur le site comme l'a fait Maria Reiche ou avoir parcouru le monde à la recherce des plus grands mystères comme le fait Erik von Daniken.

     

     

    Conclusion:
    Ce que l'on peut retenir des lignes du plateau de Nasca c'est que des hommes de l'ancien temps ont réalisés des travaux qui impressionne encore de nos jours par leurs gigantismes et leurs précisions et ceci, en employant des moyens extrêmmement limités (de simples tracés sur le sol). Ce qui nous échappe encore, et cela malgré la foule de théories qui furent émisent, est et restera encore longtemps le pourquoi de cette réalisation gargantuesque.
    en effet, quelque soit les théories concernant les tracés de Nasca, chacune d'entre elles tend a expliquer un des aspects de ces tracés mais aucune d'entre elles n'apportent d'explication cohérente sur l'ensemble de ceux-ci. De plus aucune de ces théories n'explique le pourquoi du gigantisme de cette réalisation. Il semble donc que le mystère des tracés de la plaine de Nasca ne soit pas résolu de si tôt.

     

     

      

    Sources :  

     

    http://perso.wanadoo.fr/passe.present.futur/accueil.htm
      http://www.zlm-concept.org/voyages/perou/nasca.html
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  • http://www.paranormal-fr.net/

     

    Il existe disséminées sur la planète des sphères parfaites de granit appelées aussi parfois boules, certaines peuvent peser jusqu'a 12 tonnes, découvertes notamment dans les forêts du Costa Rica, elles représentent une énigme dont la science officielle n'a pas trouvé la solution.

    On les découvre souvent éparpillées au hasard et plutôt dans des régions inhospitalières, de toute évidence elles seraient ouvres de la main de l'homme et l'on se demande encore comment en des temps anciens ceux-ci ont pu transporter ces sphères jusque leur position actuelle.

    On a localisé des sphères aux USA dans le Tennessee, l'Arizona , la Californie et l' Ohio, le professeur Marcel HOMET archéologue et auteur du livre " Les fils du soleil " a découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de l'Amazonie, une pierre ovoïde gigantesque de 100 mètres de long et 30 mètres de haut. Elle est couverte de symboles solaires qui ne sont pas un caprice de la nature, mais qui ont nécessités un travail de sculpture s' étendant sur des dizaines d'années et exécuté par un nombre incalculable d'artistes.

    Pierres exposées au Musée du Costa-Rica

    Dans le petit Etat du Costa Rica, en Amérique Centrale, au milieu d'une jungle inextricable, sur de hautes montagnes, dans les deltas des fleuves et sur des collines, on découvre dispersées de manière aléatoire, des centaines de boules artificielles de granit ou de lave. Leur diamètre va de quelques centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait déterrée pèse environ 30 tonnes !

    Le célèbre explorateur suisse Erich von DÄNIKEN nous rapporte en avoir découvert éparpillées sur un terrain plat, et placées en groupes au sommet de diverses collines. Certaines boules étaient toujours placées au centre de l'axe de la colline. Il en a aussi trouvé réunies et groupées selon un ordre étrange, dans la vase d'un fleuve, et dans la plaine de Diquis où règne une chaleur accablante, il découvrit 45 de ces sphères qui cuisent sous le soleil.

    Sphères de granit de 2,15 m de diamètre photographiée par Eric von Däniken

    Ces boules admirables sont-elles un caprice de la Nature ? Certaines d'entre elles sont-elles des boules de lave qui se seraient formées naturellement en dévalant les flancs d'un volcan ? S'agit-il de galets géants qui auraient roulés dans le lit d'une rivière durant des siècles et à qui la puissance de l'eau aurait donné cette forme sphérique parfaite ?

    Erich von DÄNIKEN précise qu'il a dû parcourir, dans la région de Piedras Blanca, au sud-est, près de 100 km en Land-Rover, dans une jungle hostile où il fallait soulever la voiture au levier pour lui faire traverser certains virages et finalement elle refusa à un certain moment d'aller plus loin.

    Ensuite après une heure de marche, assisté d'un guide expérimenté, il réussit à se trouver en face de deux énormes boules parfaitement sphériques et tout à fait impressionnantes par leurs masses au milieu de cette forêt. C'était justement parce que ces boules de Piedras Blanca "se trouvaient au plus profond de la jungle que cela valait la peine d'aller les filmer". Effectivement, il faut bien se poser la question de savoir comment ces objets sphériques de la forêt, qui vu leur perfection, ne peuvent qu'être qu'artificiels et remontent à n'en pas douter à une époque très reculée, se sont trouvés projetés inexplicablement, en pleine jungle.

    Plusieurs possibilités

    Soit ces boules ont été taillées (avec une habileté ahurissante qui reste à définir), il y a seulement quelques centaines d'années dans une carrière lointaine ( puisqu'il n'en existe aucune à moins de 100 km dans la région ) dans des blocs forcément plus lourds et dépassant au moins 24 tonnes pour les boules de 2,5 m de diamètre, pesant on le sait, près de 16 tonnes (une telle carrière ne manquerait pas d'être aperçue, vu le chantier qu'elle entraînerait ). Puis, on doit penser que ces boules ont été transportées par un moyen inconnu qui dépasse largement notre entendement au travers de toutes les embûches de la forêt et abandonnées là, pour une raison incompréhensible.

    Soit que, et cela dépasse de loin les thèses officielles, que ces boules été placées là, avant l'arrivée de cette forêt ce qui nous plonge, dans des temps plus que préhistoriques où les hommes étaient incapables d'élaborer des objets d'une géométrie aussi parfaite qu'une sphère.

    Soit encore plus fort, ce sont les dieux cités par les mythologies qui avec leur technologie supérieure ont élaboré ces blocs sphériques pour des raisons que nous ne pouvons évidemment pas encore comprendre, puisque l'existence réelle même de ces dieux est sujette à caution. L'un des précurseurs ayant préconisé cette thèse en France a été Jean SENDY auteur de l'ouvrage surprenant:"La Lune clé de La Bible" paru chez l'Éditeur Julliard en 1968 et en collection de poche J'ai lu n°208 en 1974 et on peut dire ainsi qu'il a initialisé une nouvelle discipline (non encore officielle) que l'on appelle l'Astroarchéologie.

    Une sphère de 12 tonnes

    Explications

    Aujourd'hui, on n'a aucune explication de la part des archéologues sur les habiles sculpteurs et sur les techniques qu'ils ont utilisées pour réaliser ces superbes boules du Costa Rica dont ont a constaté, que quel que soit leur diamètre aucune d'entre elles ne présente la moindre irrégularité. La perfection de ces objets prouve effectivement que les artisans qui les ont fabriqués, connaissaient bien la géométrie spatiale et avaient à leur disposition des instruments techniquement bien conçus. A notre époque, nous ne pourrions réaliser une boule parfaite de 2,5 m de diamètre qui représente environ une aire de 5 m2 et un volume de 8 m3, dans une roche aussi dure que le granit, qu'à l'aide de machines-outils programmables perfectionnées.

    Il nous reste à découvrir comment ces extraordinaires artisans sont parvenus à réaliser ces objets avec une telle maîtrise, comment certaines boules ont été transportées jusqu'au sommet d'une montagne ou encore, on l'a déjà évoqué en pleine forêt vierge et dans quel but. Une légende locale raconte que chaque boule appelée Indians-ball ou Sky-ball par les indigènes représente le symbole de l'astre du jour notre Soleil.

    Les archéologues réfutent cette interprétation, d'après eux à ce degré de latitude, le soleil a toujours été représenté par un cylindre, une roue ou un disque doré mais jamais par une forme sphérique, pas plus chez les Incas que chez les Mayas ou les Aztèques. D'ailleurs les indigènes eux-mêmes rechignent à conduire les visiteurs sur les sites recelant ces boules parfaites, ils les considèrent comme des objets sacrés et les emplacements sont des sanctuaires interdits.

    Conclusion

    En 1940, l'United fruit Company défricha les marais et les bois au pied de la Cordillera Brunquera, dans le territoire du Rio Diquis et à cette occasion l'archéologue Doris Z. STONE découvrit de nombreuses boules parfaitement sphériques artificielles. Elle rédigea un rapport détaillé se terminant par cette constatation tout à fait résignée: "Nous devons classer les boules parfaites du Costa Rica parmi les énigmes mégalithiques indéchiffrables."

    Voilà donc encore un élément insolite qui nous invite une fois de plus, à nous interroger sur l'extraordinaire passé des civilisations disparues, dont les seuls vestiges en pierre découverts de nos jours, sont déjà pour nous un inconcevable mystère.

      

    sources : http://diaporamas-libres.chez-alice.fr/insolite.htm

      

     

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  • L’univers et ses mystères est une série documentaire sur l’univers d’une très grande qualité et dotée d’une très grande richesse. Ce vingt-quatrième et dernier épisode clos la série en s’intéressant aux énigmes qui nous sont depuis toujours inexpliquées, avec des questions du type «Le voyage dans le temps est-il possible ? » et bien d’autres souvent plus réalistes, et qui font que la science a encore un long chemin à faire pour explorer l’univers et en comprendre les mécanismes.

     

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    Partie:1
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    Partie:3
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    sources : http://www.partagedusavoir.fr/documentaires/univers-mysteres-enigmes-inexpliquees/

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