•  Respresentation of Emilie Sagee's Doppelganger

     

    bilocation_dedoublement_doppelganger_ubiquiteLa bilocation est un phénomène qui permettrait d'être vu simultanément, en deux endroits différents. Connue aussi sous son nom germanique de Doppelgänger

    (= dédoublement), c'est aussi ce que l'on appelle "le don d'ubiquité" ou "la projection astrale".

      

    Les récits de personnes affirmant avoir rencontré leur double sont généralement traités comme des cas d’hallucination : hallucination qui peut être dangereuse et entraîner des troubles assez graves chez le sujet pour le conduire au suicide. Mais l’inverse se produit aussi :

      

    une personne peut n’avoir aucune conscience du double présent à ses côtés, et ce sont les témoignages de l’entourage qui lui font découvrir cette présence.

      

    Le " double " ou encore " Doppelgänger " est un phénomène parapsychique particulièrement inquiétant. Pour citer le cas de célébrités qui ont vécu ce phénomène, voici deux exemples : Goethe vit son " double " lors d'un grand choc émotif avancer vers lui dans un costume gris perle.

      

    Guy de Maupassant vit à plusieurs reprises son " double ", assis en face de lui, dans son bureau, alors qu'il était en train d'écrire. Mais de tous les cas recensés, l'affaire d'Emilie Sagée reste l'une des plus mystérieuses de l'histoire du paranormal...

     
      
      
      
    Le cas d’Émilie Sagée

     

    L'histoire se déroule au milieu du XIXe siècle, en 1845. C'est l'histoire d'une enseignante française, Emilie Sagée, née à Dijon et âgée de 32 ans au moment des faits. Elle enseigne dans un institut de jeunes filles nobles, le pensionnat Ven Heuwelcke situé dans ce qui est maintenant la Lettonie, près de Biga.

      

    Emilie Sagée est gaie, intelligente et a de très bonnes relations avec le directeur du pensionnat Herr Bush. Le pensionnat compte 42 élèves lorsque Emilie Sagée commence à y enseigner.

     

      

      

    De nombreux phénomènes se passent au bout de quelques semaines.

    Les phénomènes commencent doucement. En effet, plusieurs élèves disent avoir vu leur professeur à des endroits différents au même moment.

      

    Un jardinier la voit dans la cour alors qu'elle est censée être dans le réfectoire avec tous les autres professeurs.

      

    Il se dirige donc vers le réfectoire et y retrouve Émilie Sagée, discutant avec ses collègues, assise prêt du directeur du pensionnat. Étonné, il retourne dans la cour et y retrouve Émilie Sagée se dirigeant vers lui, et lorsqu'elle passe à côté de lui elle ne répond pas à son bonjour.

      

      

    Les rumeurs commencent à circuler, mais nul n'y fait attention. Pourquoi prendre au sérieux ce qui n'apparaît être qu'un fantasme !

    Un deuxième phénomène plus troublant encore : pendant un cours de grammaire donné par Émilie Sagée à 13 jeunes filles. Alors qu’Émilie Sagée est au tableau, les jeunes filles aperçoivent son " double " imitant à la perfection les gestes de leur professeur. Tout est identique, il ne manque que la craie dans la main du " double ". Émilie Sagée se sent tout d'un coup fatiguée et est obligée de s'asseoir pour continuer son cours. Mais lorsque celle-ci se retourne, elle trouve ses élèves avec le visage blême et comprend. Parmi ces élèves se trouve, Julie Von Güldenstubbe.

      

    C'est grâce à cette jeune fille que cette histoire sera racontée.

    La troisième et la plus importante manifestation arrive. Les jeunes filles sont en cours de broderie, surveillées par une de leur professeur. Par la fenêtre, elles peuvent apercevoir Émilie Sagée, se promenant dans la cour, un livre à la main. A ce moment-là, le professeur qui les surveille est obligé de s'absenter,

      

    Émilie Sagée prend donc sa place.

      

    Les élèves se tournent alors vers la cour et aperçoivent Émilie Sagée, qui à l'air visiblement fatiguée et qui rencontre des difficultés à se mouvoir. Mais c'est pourtant bien Émilie Sagée qui se trouve ainsi devant elles.

      

    Certaines élèves, intriguées, se lèvent et entourent Émilie Sagée qui se trouve immobile et silencieuse devant la classe. Les quelques élèves l'entourant la touche, comme pour se rassurer que cela n'est pas un rêve. Mais, le corps n'offre pas une grande résistance et bientôt leurs mains traversent le corps du " double " de leur professeur de part en part, avant de disparaître.

     

    Emilie_Sagee_bilocation_DoppelgangerA partir de ce moment-là, les élèves commencent à quitter l'établissement, ne pouvant plus co-habiter avec leur professeur et son étrange " double ". L'effectif du pensionnat passa rapidement de 42 à 12 élèves, ce qui força le directeur à se séparer d’Émilie Sagée. Lui n'ayant aucune raison pour la renvoyer lui parle des rumeurs qui circulent dans l'établissement, des différentes raisons évoqués par les élèves quittant le pensionnat.

    Émilie Sagée s'effondre, elle lui avoue qu'elle s'est déjà fait renvoyer 19 fois pour les mêmes raisons, et que cela lui arrivait depuis qu'elle avait commençait à enseigner, à l'âge de 16 ans.

    A son renvoi, Julie Von Güldenstubbe garde contact avec elle, et la met en contact avec le célèbre parapsychologue russe Alexander Akasov qui lui trouvera un nouveau travail, en Russie. Elle est engagée comme préceptrice auprès d'une famille.

      

    Plusieurs fois Julie Von Güldenstubbe rend visite à Émilie Sagée, installée chez sa belle-sœur, et découvre que les enfants se sont habitués depuis longtemps à avoir deux tantes, une joyeuse, gaie et toujours prête à s'occuper d'eux et l'autre triste et inerte. Julie Von Güldenstubbe perd ensuite le contacte avec Émilie Sagée.

    On raconte que tout se passa très bien auprès de la nouvelle famille, la vieille dame dont elle avait la charge s'entendait très bien avec elle. Jusqu'au jour où un terrible drame arriva. La vieille dame est retrouvée morte dans sa maison.

      

    Des témoins affirmeront avoir vu sortir de la maison le soir-même du meurtre Émilie Sagée. Celle-ci aurait été vue dans la maison de vacances de son employeur situé à une cinquantaine de kilomètre de la maison où a été commis le meurtre.

     

      

      

    Ce phénomène est-il une malédiction ?

    Dans tous les cas, Émilie Sagée ne voyait pas son double, elle sentait sa présence grâce à la fatigue qui envahissait son corps et en apercevant les visages de son entourage. Il s'agirait en fait, d'une relation " vampirique " entre Émilie Sagée et son " double ".

    En effet, l'apparition de son " double " lui prendrait beaucoup d'énergie.

      

      

    En conclusion :

      

    Émilie Sagée serait-elle, à ses dépends, la cause de cette apparition ?

    Émilie Sagée possédait-elle le don d’ubiquité ?

    Émilie Sagée était-elle adepte, malgré elle, de la projection astrale ?

     

     

    http://portedutemps.net/Actualites-insolite/la-bilocation-le-

    dedoublement-ou-don-dubiquite.html

     

     

     

     

     

     

     

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    Le SAVIEZ-VOUS ? légendes... ancien testament... Bible...

      

    Juan Diego

     

    Le dieu Horus égyptien, 2500 avant JC, est né de la vierge (Isis) le 25 décembre dans une grotte ou une crèche, sa naissance a été annoncée par une étoile à l’Est et attendue par trois hommes sages. Il enseignait à des enfants au Temple et fut baptisé à l’âge de trente ans. Il a eu 12 disciples. Il effectua des miracles et éleva un homme, El-Azar-us ('El-Osiris'), d’entre les morts à Bethanu. Il marcha sur l’eau. Il fut transfiguré sur la Montagne. Il a été enterré dans un tombeau et a été ressuscité.

    Presque 2000 ans avant la rédaction de l'Ancien Testament, les sumériens créent une légende qui fait dépendre l'origine du mal de la première femme qui, induite par un serpent à désobéir au dieu créateur, convainc son compagnon de manger le fruit de l'arbre interdit.

    En 2370 avant JC, celui qui deviendra le grand roi mésopotamien Sargon 1er qui fonda le royaume d'Akkadé est retrouvé à sa naissance abandonné dans un panier flottant et sera élevé par le jardinier.

     



    Vers -900 avant JC, arrivée des premiers dromadaires qui commencent progressivement à être domestiqués et utilisés comme bêtes de somme. Ce qui prouve que les innombrables histoires de chameaux cités dans la bible comme le récit des patriarches censé se passer vers -1500 ou -2000 ont été inventées.

    Philon d'Alexandrie, contemporain de Jésus-Christ, a écrit cinquante volumes où il cite tous les événements, tous les grands personnages de son temps et de son pays. Il n'a jamais rien écrit sur Jésus Christ dans aucun de ses ouvrages...

      

    Ni d'ailleurs aucun de ses contemporains :

    Pline L'Ancien (23 à 79),

    Perse (34 à 62),

    Martial (40 à 104),

    Sénèque (-4 à 65),

    Tacite (55 à 120),

    Pline le Jeune (62 à 114),

    Suétone (69 à 125),

    Plutarque (46 à 120),

    Juvénal (60 à 140)...

      

    Le seul historien de l'époque a avoir écrit sur Jésus de Nazareth

    (Flavius Josèphe) n'en consacre que dix lignes sur 30 volumes qui s'avéreront être un faux grossier.

    Le jour de la naissance de Jésus-Christ, le roi Hérode, censé régner d'après la Bible (Mathieu 2-1) est mort depuis déjà 4 ans.

      

    Le gouverneur Quirinius, censé gouverner (Luc 2-2) ne prendra ses fonctions que 6 ans plus tard.

      

    En fait, c'est le moine Denys le Petit, au VIe siècle, qui fait naître Jésus en l'an I de l'ère chrétienne.

    La date de naissance de Jésus-Christ a été choisie par les auteurs des évangiles pour répondre à la prophétie :

    ""Le sceptre ne sera pas ôté de Juda, ni le bâton de commandement d'entre ses pieds, jusqu'à ce que vienne Shiloh (l'Envoyé?), à qui tous les peuples obéiront " (Genèse, XLIX-10).

    Les auteurs des évangiles de Luc le font donc naître à la mort d'Hérode en -4. Le même Luc le fait naître lorsque le procurateur romain Quirinus en +6: deux interprétations qui donnent deux dates contradictoires.

    L'Église et le moine Denys le Petit choisissent une troisième date en l'an I qui est contradictoire avec tous les évangiles.

    La volonté des auteurs des évangiles de suivre les prophéties les ont amenés sans cesse à se contredire.

    Le lieu de naissance: le saint ou consacré se dit "nazir" en hébreu qui a été mal traduit par nazaréen autrement dit habitant de Nazareth (qui n'existait pas en l'an 0), d'autre part les textes prophétiques annonce " Et toi (Bethléem) Ephrata, le moindre des clans de Juda, c'est de toi que me naîtra celui qui doit régner sur Israël "

    (A Bethléem, des païens célébraient la naissance du dieu des céréales Tammouz (Adonis) dans une grotte, ). Là encore les deux versions contradictoires ont subsisté dans les évangiles.

      

    L'Église essaie de s'en sortir en affirmant que Marc n'écrit pas explicitement que Jésus est né à Nazareth mais la contradiction reste bien gênante

    Ce n'est que vers 312 sous Constantin que l'Église adopte la croix empruntée aux égyptiens, à Mithra et Tammouz.

    L'apôtre Paul, dans tous ses écrits, ne parle jamais de Jésus de Nazareth, des miracles, des paraboles, de sa crucifixion et de sa résurrection.

    (Il n'en a jamais entendu parler), Paul parle d'un Christ mythique intemporel et éthéré, pas du Jésus né à Nazareth, auteur de miracles devant des milliers de personnes et crucifié par Pilate.

    Le village de Nazareth n'existait pas du temps de Jésus : Son nom vient d'une secte : Les Nazoréens dont le nom a été transformé en Nazaréens : Jésus le Nazaréen. Les croisés ont vainement cherché Nazareth et, pour finir, la fondent au XIIIe siècle.


    L'invention de l'étoile jaune pour les juifs est catholique

    (Concile d'Arles 1234)



    Le pape Léon X a déclaré en 1520 "On sait de temps immémorial combien cette fable de Jésus-Christ a été profitable à nous et à nos proches."[Quantum nobis nostrisque que ea de Christo fabula profuerit, satis est omnibus seculis notum.]

    Le pape Paul III confie en 1548 au duc Mendoza, ambassadeur d'Espagne ; "N'ayant pu découvrir aucune preuve de la réalité historique de Jésus Christ de la légende chrétienne, j'étais dans l'obligation de conclure à un dieu solaire mythique de plus"

    En 1938, la "Nuit de Cristal" : Les SS attaquent synagogues et magasins appartenant à des juifs. L'évêque de Freiburg, Monseigneur Gröber, déclare alors : « On ne peut refuser à quiconque le droit de sauvegarder la pureté de sa race et d'élaborer les mesures nécessaires à cette fin.»

    En 1944, deux juifs hongrois évadés du camp d'Auschwitz (R. Vraba et A. Bestic) font parvenir au Vatican, via le Nonce apostolique de Slovaquie, un rapport détaillé sur la situation dans le camp. Le rapport sera enterré...

    En 1978, Le Vatican choisit un nouveau pape : Jean-Paul 1er. Un mois plus tard, il meurt subitement, pas d'autopsie.

    Jean-Paul II a travaillé, dans sa jeunesse, dans une usine de produits chimiques (Solvay) qui fabriquait le gaz Zyclon B utilisé

    par les nazis pour exterminer les juifs.

    En 1982 le banquier Roberto Calvi de la Banco Ambrosiano a été suicidé (pendu) sous le pont des Blackfiards à Londres (probablement commandité par le parrain mafieux Toto Riina). Michelle Sidona, financier, grand argentier de la Mafia américaine et sicilienne qui contrôlait la Finibank propriété du Vatican, est empoisonné en prison à la Strychnine.


    En 1994 : Une religieuse-médecin, sœur Maura O'Donohue, remet un rapport qui recense des cas d'abus sexuels et de viols répétés de la part de prêtres sur des religieuses dans pas moins de 23 pays. Le rapport est enterré.

    En 1995, Le cardinal Ricardo Maria Carles, archevêque de Barcelone, est impliqué dans un trafic d'armes, de pierres précieuses et de cocaïne via la Mafia italienne.

    En 1996, Jean-Marie Untaoni Compaoré, archevêque de Ougadougou au Burkina-Faso lance un slogan : "Pour combattre le sida, luttons d'abord contre le préservatif car celui-ci empêche d'avoir une conception globale de la relation sexuelle comme signe d'amour et de vie".

    En 2001, deux religieuses rwandaises sont jugées : Sœur Gertrude (Consolata Mukangango) et sœur Kisito (Julienne Mukabutera) étaient en avril 1944 respectivement Mère supérieure et Intendante lorsque des centaines de réfugiés cachés dans un hangar près de leur couvent de Sovu sont massacrés et en partie brûlés vifs. Les deux sœurs ont livré les réfugiés cachés dans leur couvent, apporté elles-mêmes des bidons d'essence et enflammé le hangar plein de réfugiés.

    En 2002, Le pape Jean-Paul II canonise Juan Diego, pauvre paysan indien (quoique représenté avec la peau blanche et le type espagnol) béatifié en 1990 qui vivait au Mexique, était un chrétien modèle idéal et à qui est apparue la Vierge Marie en 1531.

      

    Juan Diego est une légende en Amérique du Sud, une sorte de Jésus-Christ local plus proche des paysans.

      

      

    Et pourtant, comme Jésus-Christ, Juan Diego n'a jamais existé !

     

     

     

     

     

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