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    Un très très long texte, mais au combien intéressant, merci à Zen Ki un membre de notre forum de nous le faire découvrir… 

     

    Je l’ai coupé en plusieurs parties afin d’en faciliter la lecture, qui ne vous laissera pas indiférent j’en suis certaine.

     

     

     

      

    Le Grand Chaman Zoulou et Ancien CREDO MUTWA. 

     

    Sur les Enlèvements par les Extra-Terrestres et les Reptiliens  

    Une Rare, et étonnante Conversation, par Rick Martin 

    Traduction: Daniel Maury Source : Conspiration.ca

     

      

     

    Credo Mutwa

     

    Le peuple Zoulou, qui est célèbre en tant que peuple guerrier, est le peuple auquel appartenait le Roi Shaka Zulu, au siècle dernier. Quand vous demandez à un anthropologue blanc sud africain ce que le nom Zoulou signifie, il dira qu'il veut dire “le ciel” (rires), et que par conséquent les Zoulous s'appellent eux-mêmes “le peuple du ciel”. Tout ça, monsieur, ce sont des absurdités.

     

     

     

    Dans la langue zoulou, notre nom pour le ciel, le ciel bleu, est sibakabaka. Notre nom pour l'espace interplanétaire, toutefois, est izulu et le weduzulu, qui signifie “espace interplanétaire, le ciel noir dans lequel vous voyez des étoiles chaque nuit”, a aussi quelque chose à voir avec le voyage, monsieur. Le mot zoulou pour le voyage au hasard, comme un nomade ou un bohémien, est izula.

     

     

     

     

     

    Alors vous pouvez voir que le peuple Zoulou en Afrique du Sud était au courant du fait que vous pouvez voyager à travers l'espace - non pas à travers le ciel comme un oiseau - mais que vous pouvez voyager à travers l'espace, et les Zoulous prétendent qu'il y a de très nombreux milliers d'années, il arriva, depuis les cieux, une race de gens qui ressemblaient à des lézards, des gens qui pouvaient changer de forme comme ils le voulaient.

     

     

     

    Et des gens qui marièrent leurs filles à un voyageur (extraterrestre), et qui donnèrent naissance à une race dominante de Rois et de Chefs tribaux, il y a des centaines de contes de fées, monsieur, dans lesquels un lézard femelle endosse l'identité d'une princesse humaine, se fait passer pour elle et se marie à un prince zoulou.

     

    Partout en Afrique du Sud, parmi beaucoup de tribus, vous trouverez des histoires de ces étonnantes créatures qui sont capable de passer du reptile à l'être humain, et du reptile à n'importe quel autre animal de leur choix. Et ces créatures, monsieur, existent vraiment. Peu importe où vous allez, partout en Afrique du Sud, de l'Est, de l'Ouest, et du Centre, vous trouverez que la description de ces créatures est la même. Même parmi les tribus qui jamais, durant toute leur longue histoire, n'ont pas eu le moindre contact l'une avec l'autre.

     

     

     

     

     

     

    Donc, il y a de telles créatures. D'où elles viennent, je ne prétendrai jamais le savoir, monsieur. Mais elles sont associées avec certaines étoiles dans le ciel, et une de ces étoiles est un groupe important d'étoiles qui fait partie de la Voie lactée, que notre peuple appelle Ingiyab, ce qui signifie “Le Grand Serpent”. Et il y a une étoile rouge, une étoile rougeâtre, près du bord de cet énorme cercle d'étoiles que notre peuple appelle IsoneNkanyamba.

     

     

     

    Or, cette étoile appelée IsoneNkanyamba, je suis arrivé à trouver son nom anglais. C'est l'étoile appelée Alpha Centauri, en anglais, Alpha du Centaure en français. Alors, monsieur, il y a quelque chose qui vaut la peine d'être examiné.

     

     

     

     

     

    Pourquoi est-ce que sur bien plus de 500 tribus dans des parties de l'Afrique que j'ai visitées dans les 40 ou 50 dernières années environ, toutes décrivent des créatures similaires ?

     

     

     

    On prétend que ces créatures se nourrissent de nous les êtres humains; qu'elles ont, à un moment donné, défié Dieu lui-même à la guerre, parce qu'elles voulaient la maîtrise complète de l'univers. Et Dieu leur livra une terrible bataille, Il les vainquit, les blessa, et les obligea à se cacher dans des villes sous la terre.

     

     

      

     

     

    Elles se cachent sous la terre dans des cavités profondes, parce qu'elles ont toujours froid. Dans ces cavités, nous dit-on, il y a d'énormes feux qui sont entretenus en permanence par des esclaves humains, des esclaves comme des zombies. Et, on dit aussi que ces Zuswazi, ces Imbulu, ou quel que soit le nom que vous leur donnez, ne sont pas capables de manger de la nourriture solide. Soit ils consomment du sang humain, soit ils absorbent ce pouvoir: l'énergie qui est générée quand des êtres humains, sur la surface de la Terre, sont en train de combattre et de s'entre-tuer en grand nombre.

     

     

     

    J'ai rencontré des gens qui s'étaient enfuis du premier Masaki au Rwanda, depuis bien des années, et ces gens étaient horrifiés par ce qui était en train de se passer dans leur pays. Ils disaient que le massacre des Hutus par les Tutsis, et des Tutsis par les Hutus, est vraiment en train de nourrir les monstres que sont les Imanujela. Parce que les Imanujela aiment inhaler l'énergie qui est générée par une multitude de gens lorsqu'ils sont terrifiés ou tués par d'autres gens.

     

     

     

    Êtes-vous toujours avec moi, monsieur ?

     

    Martin: Oui, je suis totalement avec vous.

     

     

     

    Credo Mutwa:

     

    Alors laissez-moi vous faire remarquer une chose intéressante, monsieur. Si vous étudiez les langues de toutes les nations africaines, vous trouverez dans les langues de notre peuple des mots qui sont similaires à des mots orientaux, du Moyen-Orient, et même amérindiens. Et le mot Imanujela signifie “le Seigneur qui est venu”. Ce mot que n'importe qui peut découvrir au Rwanda, chez le peuple rwandais Hutu et Tutsi, est très semblable au mot hébreu Emmanuel, qui signifie “Le seigneur est avec nous”. Imanujela, “ceux qui sont venus, les Seigneurs qui sont ici”.

     

      

     

     

    Notre peuple croit, monsieur, que nous, les habitants de cette Terre, nous ne sommes pas vraiment les maîtres de nos propres vies bien que l'on nous fasse croire que nous le sommes. Notre peuple dit, c'est à dire, les Noirs de toutes les tribus, tous ceux qui sont initiés, tous les chamans partout en Afrique, quand ils arrivent à avoir confiance en vous et partagent leurs plus profonds secrets avec vous, ils disent que avec l'Imanujela, il y a l'Imbulu.

     

     

     

     

     

    Et il y a un autre nom sous lequel ces créatures sont connues. Ce nom est Chitauli. Or le mot Chitauli signifie “les dictateurs, ceux qui nous disent la loi. Autrement dit, “ceux qui nous disent, secrètement, ce que nous devons faire”. Maintenant, on dit que ces Chitauli nous ont fait un certain nombre de choses quand ils sont venus sur cette planète.

     

     

     

     

    Je vous prie de me pardonner, mais je dois partager cette histoire avec vous. C'est une des plus étranges histoires que vous pouvez trouver partout en Afrique dans les sociétés secrètes de chamans et les autres lieux où les vestiges de notre ancienne connaissance et de notre ancienne sagesse sont encore préservés.

     

     

     

    Voilà, à l'origine, la Terre était couverte par un très épais manteau de brouillard ou de brume. En fait, les gens ne pouvaient pas voir le Soleil dans le ciel, sauf comme un halo de lumière. Et ils voyaient aussi la Lune la nuit comme une légère griffe lumineuse dans le ciel, parce qu'il y avait cette épaisse brume. Et la pluie était toujours en train de tomber sous la forme d'une bruine constante.

      

    Toutefois, il n'y avait pas de tonnerre. Il n'y avait pas de tempêtes.

     

     

     

     

    Le monde était densément recouvert de grandes forêts, de grandes jungles, et les gens vivaient en paix sur la Terre à ce moment-là. Les gens étaient heureux et on dit, qu'à ce moment-là, nous, les êtres humains, n'avions pas l'usage de la parole. Nous faisions seulement des bruits amusants comme des singes ou des babouins heureux, mais nous n'avions pas la parole comme nous l'avons maintenant. Et en ces siècles-là, les gens se parlaient entre eux grâce à leur esprit.

     

     

     

     

    Un homme pouvait appeler sa femme en pensant à elle, en pensant à la forme de son visage, l'odeur de son corps, et le toucher de ses cheveux en tant que femme. Qu'un chasseur soit sorti dans la brousse et ait poussé des cris pour faire venir les animaux, et les animaux auraient choisi l'un d'entre eux qui soit vieux et fatigué, et cet animal se serait offert lui-même au chasseur afin qu'il puisse le tuer rapidement et l'emporter à sa caverne pour servir de nourriture carnée.

     

     

     

     

     

    Il n'y avait pas de violence contre les animaux. Il n'y avait pas de violence contre la Nature de la part des êtres humains à ce moment-là. L'Homme avait l'habitude de demander de la nourriture à la Nature. Il venait vers un arbre et pensait à un fruit, et l'arbre aurait permis à certains de ses fruits de tomber par terre, et l'homme les aurait pris.

     

     

     

     

    Et toutefois, on dit ensuite que quand les Chitauli sont venus sur Terre, ils sont arrivés dans de terribles vaisseaux qui volaient dans l'air, des vaisseaux qui étaient façonnés comme des grandes boules et qui faisaient un bruit effroyable et un feu terrible dans le ciel. Et les Chitauli dirent aux êtres humains, qu'ils rassemblaient par la force à coup d'éclairs, qu'ils étaient de grands dieux du ciel et que dès lors ils allaient recevoir un certain nombre de grands dons de la part des dieux.

     

     

     

    Ces soi-disant dieux, qui étaient comme des êtres humains, mais très grands, avec une longue queue, et avec d'effroyables yeux ardents, certains d'entre eux avaient deux yeux - des yeux jaunes et brillants - d'autres avaient trois yeux, l'œil rond et rouge étant au centre de leur front. Ces créatures retirèrent ensuite les grands pouvoirs que les êtres humains avaient: le pouvoir de parler seulement grâce à la pensée, le pouvoir de déplacer des objets avec seulement leur esprit, le pouvoir de voir dans l'avenir et dans leur passé et le pouvoir de voyager, en esprit, vers d'autres mondes.

     

     

     

    Tous ces grands pouvoirs, les Chitauli les ont enlevés aux êtres humains et alors ils ont donné aux êtres humains un nouveau pouvoir, l'usage de la parole. Mais, les êtres humains trouvèrent, avec horreur, que l'usage de la parole divisait les êtres humains, au lieu de les unir, parce que les Chitauli avaient créé d'une manière fourbe différentes langues, et ils provoquèrent une grande querelle entre les gens.

     

     

     

     

     

     

     

    Les Chitauli firent aussi quelque chose qui n'avait jamais été faite auparavant: ils donnèrent aux êtres humains des gens pour régner sur eux, et ils dirent, “Ce sont vos rois, ce sont vos chefs. Leur sang est le nôtre. Ils sont nos enfants, et vous devez écouter ces gens car ils parleront en notre nom. Si vous ne le faites pas, nous allons vous punir d'une manière absolument terrible.”

     

     

     

    Avant l'arrivée des Chitauli, avant l'arrivée des créatures appelées Imbulu, les êtres humains étaient spirituellement une seule entité. Mais quand les Chitauli sont arrivés, les êtres humains sont devenus divisés, à la fois spirituellement aussi bien que par la langue.

     

     

     

    Et ensuite, les êtres humains recevaient d'étranges nouveaux sentiments de la part des Chitauli. Les êtres humains commencèrent à se sentir en danger, si bien qu'ils se mirent à construire des villages entourés de très robustes clôtures de bois. Les êtres humains se mirent à devenir des fondateurs de pays.

     

     

      

      

      

      

     

     

    Autrement dit, ils entreprirent de créer des tribus et des terres tribales, qui avaient des frontières, qu'ils défendaient contre tout ennemi éventuel. Les êtres humains devinrent ambitieux et cupides et ils désiraient acquérir des richesses sous la forme de bétail, et de coquillages.

     

     

     

    Et, une autre chose que les Chitauli forcèrent les êtres humains à faire, ils obligèrent les êtres humains à exploiter des mines à l'intérieur de la Terre. Les Chitauli mirent au travail les femmes humaines et leur firent découvrir des minéraux et des métaux de certains types.

     

     

     

     

    Les femmes découvrirent le cuivre; les femmes découvrirent l'or ; les femmes découvrirent l'argent. Et, éventuellement, elles étaient guidées par les Chitauli pour allier ces métaux et pour créer de nouveaux métaux qui n'avaient jamais existé dans la Nature auparavant, des métaux tels que le bronze, le laiton et d'autres encore.

     

      

     

     

    En outre, les Chitauli retirèrent alors du ciel la brume sacrée dispensatrice de pluie et pour la première fois depuis la création, les êtres humains regardèrent vers le haut et virent des étoiles, et les Chitauli dirent aux êtres humains qu'ils avaient tort de croire que la Divinité demeurait sous la Terre.

     

      

     

     

    “À partir de maintenant,” dirent les Chitauli aux habitants de cette Terre, “les habitants de la Terre doivent croire que Dieu est au Ciel et ils doivent faire ici sur la Terre des choses qui fassent plaisir à ce Dieu qui est au Ciel.”

     

     

     

    Vous voyez, à l'origine, les êtres humains avaient cru que la Divinité était sous terre, qu'elle était une très grande mère qui demeurait sous la Terre car ils voyaient toute la verdure pousser en sortant de la Terre - l'herbe venait de sous le sol, les arbres poussaient de sous le sol, - et les gens avaient cru, pour cette raison, que les gens qui mouraient allaient sous terre.

     

      

     

     

    Mais quand les Chitauli firent tourner les yeux des humains vers le ciel, les gens commencèrent à croire, à ce moment-là, que Dieu est dans le ciel et que ceux qui meurent sur cette Terre ne vont pas sous terre, mais montent au ciel.

     

     

     

    Et à ce jour, monsieur, où que vous alliez partout en Afrique en tant qu'investigateur, vous trouverez cette étonnante - ces deux idées étonnantes qui sont en contradiction l'une avec l'autre.

     

      

     

     

    Beaucoup de tribus africaines croient en ce qui est appelé Midzimu ou Badimo. Maintenant, le mot Midzimu ou Badimo signifie “eux qui sont dans le ciel”. Mais, au Zoulouland, parmi mon peuple, vous trouvez ce schisme étonnant aller main dans la main. Il y a des Zoulous qui croient que ceux qui sont morts sont les Abapansi, qui signifie “ceux qui sont dessous, qui sont sous la Terre”.

     

     

     

    Ensuite il y a une autre idée qui se dit Abapezulu. Le mot Abapezulu signifie “ceux qui sont en haut”, et le mot Abapansi, qui est le plus vieux nom pour les esprits des morts, signifie “ceux qui sont sous la Terre”.

     

      

     

     

    Ainsi, même aujourd'hui, monsieur, partout en Afrique parmi des centaines de tribus, vous trouvez cette étrange double croyance que les morts vont au ciel, côte à côte avec la croyance que les morts vont sous la Terre. On dit que cette croyance selon laquelle les morts vont sous la Terre remonte aux jours où notre peuple croyait que la Divinité était une femme, la grande Mère cosmique. Et, elle est opposée à la croyance liée au terme Abapezulu selon laquelle la Divinité est un homme qui habite au ciel.

     

     

     

     

     

    Alors, monsieur, une autre chose que les Chitauli dirent à notre peuple, dit-on, c'est que nous les êtres humains sommes ici sur Terre pour transformer la Terre et la rendre convenable pour que “Dieu” y descende un jour et y demeure. Et on dit que ceux qui travaillent pour changer cette Terre et en éliminer tous les dangers pour que le dieu serpent, le Chitauli, y vienne et y demeure, seront récompensés avec de grands pouvoirs et avec de grandes richesses.

     

     

     

    Monsieur, comme je l'ai observé pendant un grand nombre d'années d'étude, pendant un grand nombre d'années d'initiation aux mystères du chamanisme, de la sagesse et de la connaissance africains, je me suis trouvé en train de me demander pourquoi nous, les êtres humains, nous sommes vraiment en train de détruire la Terre sur laquelle nous vivons.

     

     

     

    Nous sommes en train de faire quelque chose qui est seulement faite par une autre espèce d'animal, à savoir, l'éléphant africain, qui détruit complètement tous les arbres de l'endroit où il habite.

     

     

     

    Nous, les êtres humains, nous faisons précisément ceci. Et où que vous alliez en Afrique, là où autrefois il y avait de grandes anciennes civilisations, vous trouvez un désert. Par exemple, il y a le désert du Kalahari en Afrique du Sud, et sous les sables de ce désert, j'ai trouvé les ruines de cités antiques, ce qui veut dire que les êtres humains ont transformé cette étendue de terre, qui était autrefois verte et fertile, en désert.

     

     

     

    Et, du temps où j'étais avec des explorateurs et des gens de safari dans les régions sahariennes de l'Afrique, j'ai aussi trouvé des preuves d'habitations humaines incroyablement anciennes dans des lieux où il n'y a plus à présent que rochers menaçants et bruissements de sable.

     

     

     

    Autrement dit, le Désert du Sahara était autrefois une région fertile et a été transformé en désert par des êtres humains. Pourquoi? Il faut que je me demande, encore et encore, pourquoi les êtres humains sont guidés par l'insécurité, la cupidité, et le désir de puissance pour transformer la Terre en un désert dans lequel, en fin de compte, aucun être humain ne serait plus jamais capable de vivre ? Pourquoi?

     

     

     

    Bien que nous soyons tous au courant des dangers épouvantables que ceci entraînera, pourquoi sommes-nous en train de déboiser d'immenses zones de jungle en Afrique ? Sommes-nous sur Terre en train d'exécuter les instructions que les Chitauli ont programmées en nous ?

     

    Sommes-nous sur Terre en train d'exécuter les instructions que les Chitauli ont programmées en nous ?

     

    Bien que mon esprit refuse de l'accepter, la réponse est un terrible oui, oui, oui.

     

      

     

     

    Parmi les nombreuses personnes pourvues de sagesse qui m'honorent de leur amitié, il y a un homme de grand savoir qui vit en Israël, le Dr Zecharia Sitchin. D'après les livres anciens qui ont été écrits par le peuple sumérien, en se servant d'argile, les dieux descendirent du ciel et forcèrent les êtres humains à travailler pour eux, à extraire de l'or pour eux.

     

      

     

     

    Cette histoire est confirmée par les légendes africaines dans toute l'Afrique, que des dieux descendirent du ciel et firent de nous leurs esclaves, et ils nous transformèrent en esclaves de telle façon que nous ne puissions jamais nous rendre compte que nous sommes des esclaves.

     

      

     

     

    Une autre chose que notre peuple dit est que les Chitauli font de nous leur proie comme des vautours. Ils élèvent certains d'entre nous au-dessus des autres, ils remplissent certains d'entre nous de beaucoup de colère et d'ambition, et ils font de ces gens qu'ils ont élevés de grands guerriers qui font des guerres terribles. Mais, à la fin, les Chitauli ne permettent pas à ces grands dirigeants, à ces grands chefs de guerre et à ces rois, de mourir paisiblement.

     

     

     

    Le chef guerrier est utilisé pour faire autant de guerres que possible, pour tuer autant de membres de son peuple et de ceux qu'il appelle ses ennemis, que possible, et ensuite, à la fin, le chef guerrier meurt d'une mort terrible, son sang étant répandu par d'autres.

     

     

     

     

     

    Et ce phénomène, je l'ai vu dans l'histoire de mon peuple, maintes et maintes fois. Notre grand Roi Shaka Zulu a combattu dans plus de deux cents grandes guerres durant son règne de quelques trente années et des poussières. Et ensuite, il a été massacré et il est mort de mort violente. Il est mort tel un homme brisé qui, à cause de la mort de sa mère, n'avait plus la force de gagner une bataille de plus.

     

     

     

    Et, avant Shaka Zulu, il y avait un autre roi qui avait instruit Shaka pour qu'il devienne le grand roi qu'il a été. Le nom de ce roi était Dingiswayo. Dingiswayo avait combattu dans de grandes guerres en essayant d'unir le peuple zoulou en une seule grande tribu. Il avait vu le peuple blanc du Cap et il pensait que, en unissant son peuple en une seule immense nation, il serait capable de repousser la menace que le peuple blanc posait à son peuple.

     

     

     

    Mais, ce qui arriva fut, qu'après avoir gagné beaucoup de batailles en unissant beaucoup de tribus, le Roi Dingiswayo fut soudain frappé par une maladie des yeux qui le rendit presque aveugle. Et il dissimula ce secret selon lequel il ne pouvait plus voir. Mais, ce terrible secret fut découvert par une femme, une reine d'une autre tribu, appelée Ntombazi. Ntombazi prit une hache d'armes et décapita Dingiswayo d'un seul coup, après l'avoir attiré dans sa hutte et lui avoir donné de la nourriture et de la bière à boire.

     

     

     

     

     

    Il y a aussi un phénomène semblable avec des grands dirigeants blancs: Napoléon, en Europe, qui mourut d'une mort misérable sur son île perdue dans l'océan Atlantique; Hitler, aussi en Europe, qui mourut d'une mort terrible en se mettant le pistolet dans la bouche et en se suicidant, nous dit-on; Attila le Hun, qui fut tué par une femme, et beaucoup d'autres grands dirigeants qui ont mal fini après avoir répandu autant de mort et de tristesse sur autant de gens qu'ils ont pu.

     

     

     

    Le Roi Shaka fut poignardé à mort par son demi-frère, qui utilisa sur lui le même type de lance que celui qu'il avait mis au point pour tuer les gens aussi rapidement que possible. Et, Jules César affronta aussi un destin semblable après qu'il eut, comme notre Shaka Zulu, conquis de nombreuses nations.

     

      

     

     

    Le héros guerrier meurt toujours d'une mort dont il n'aurait vraiment pas du mourir. Le Roi Arthur, en Angleterre, fut tué par son propre fils, Mordred après un règne long et courageux. Je pourrais continuer sans arrêt.

     

     

     

     

     

     

    Alors, que les gens en rient ou non, que les gens s'en moquent ou non, si vous rassemblez toutes ces choses, elles montrent qu'il y a une certaine force qui nous conduit, nous les êtres humains, vers les sombres rivages de l'autodestruction. Et le plus tôt un grand nombre d'entre nous en deviendront conscients, le plus tôt sera le mieux, peut-être, nous pourrions alors être capables de nous occuper de ce problème.

     

     

     

     

     

    Martin :

     

    Croyez-vous que ces êtres sont répartis autour du monde, ou sont-ils principalement concentrés en Afrique ?

     

     

     

    Credo Mutwa: Monsieur, je crois que ces créatures sont partout sur Terre, et sans vouloir vous offenser, monsieur, quoique je déteste parler autant de moi-même, je suis une personne qui a voyagé vers de nombreuses parties du monde. Je suis allé dans votre pays, les États-Unis, monsieur. Je suis allé en Australie. Je suis allé au Japon, parmi d'autres pays.

     

     

     

    Et où que ce soit que je sois allé, monsieur, j'ai trouvé des gens qui me parlaient de créatures comme ça. Par exemple, en 1997, j'ai visité l'Australie, monsieur, et j'ai beaucoup voyagé pour chercher le peuple noir d'Australie, les Aborigènes. Et quand je les ai vraiment trouvés, ils m'ont raconté une quantité de choses qui m'ont vraiment beaucoup étonné. Les mêmes choses que j'avais trouvées au Japon, je les ai trouvées à Taiwan. Partout où il y a encore des chamans et des guérisseurs traditionnels, vous trouvez ces histoires incroyables.

     

     

     

    Maintenant, permettez-moi de vous dire, monsieur, ce que j'ai trouvé en Australie seulement. Ceci, que le peuple aborigène australien, qui s'appelle lui-même Coorie, ce qui signifie “notre peuple”: Le peuple Coorie d'Australie croit en un grand dieu appelé Byamie, monsieur. Un chaman Coorie, en fait, plusieurs d'entre eux, m'ont dessiné des images de ce Byamie, et l'un d'entre eux m'a fait voir une peinture rupestre représentant cet étrange dieu créateur qui est sorti des étoiles.

     

     

     

    Et quand ils ont placé leur dessin en face de moi, ce qu'ils me montraient était un Chitauli. Je le reconnaissais d'après mon initiation africaine. Il avait une grosse tête. Il avait de grands yeux, qui étaient soulignés par l'artiste. Il n'avait pas de bouche, et il avait de longs bras et des jambes incroyablement longues. Monsieur, c'était une description typique d'un Chitauli tel que je le connaissais d'après mon propre peuple en Afrique.

     

      

     

     

    Je me demandais “Pourquoi ?” Ici je suis dans un pays à des milliers de kilomètres de l'Afrique, et ici je suis en train de voir un être connu comme le Biamai ou le Bimi, qui est une créature avec laquelle moi, l'Africain, je suis familier.

     

      

     

     

    Parmi le peuple Amérindien, monsieur, j'ai trouvé, par exemple, parmi certaines tribus en Amérique, des tribus telles que le peuple Hopi, et ce peuple qui habite dans ces bâtiments appelés pueblo, J'ai trouvé que ces peuples - ils ont ce qu'ils appellent des créatures Katchina, quand les gens portent des masques et se déguisent en certaines créatures. Et certains de ces Katchinas sont vraiment très grands, avec une énorme tête ronde.

     

     

     

    Exactement comme nous en avons en Afrique, j'ai trouvé des créatures semblables en Amérique. En Afrique nous appelons ces créatures Egwugwu, ou nous les appelons d'un autre nom, Chinyawu. Le Katchina du peuple amérindien, et le Chinyawu de notre peuple, sont des êtres identiques. Alors pourquoi en est-il ainsi? Quand le peuple Amérindien et les Africains ont-ils été en contact ? Quand ?

     

     

     

    C'est un des plus grands mystères de tous les temps, monsieur. C'est une des nombreuses choses que j'ai trouvées à travers le monde qui m'ont laissé absolument stupéfait.

     

     

     

     

     

    Il y A de telles créatures, et le plus tôt les sceptiques qui sont parmi nous admettrons ce fait, le plus tôt sera le mieux. Pourquoi l'humanité n'est-elle pas en train de progresser ? Pourquoi sommes-nous en train de tourner en rond dans un grand cercle d'autodestruction et de destruction mutuelle?

     

     

     

     

     

    Au fond, les gens sont fondamentalement bons; je le crois. Les gens ne veulent pas déclencher des guerres. Les gens ne veulent pas détruire le monde dans lequel ils habitent, mais il y a des créatures, ou il y a une force qui nous conduit, nous les êtres humains, vers l'auto annihilation. Et le plus tôt nous le reconnaîtrons, le plus tôt sera le mieux.

     

      

     

     

    En ce moment, je vis en Afrique. C'est ici que se trouve mon peuple. C'est ici que se trouve mon pays. Mais je vois l'Afrique en train d'être détruite dans des guerres qui n'ont pas le moindre sens pour moi en tant qu'Africain. Je regarde l'Inde qui, comme l'Afrique, a subit le fléau du colonialisme de la part des Français, des Anglais, et d'autres puissances européennes. Mais l'Inde, au moyen de son indépendance en tant que pays, est arrivée à faire des choses que nous, l'Afrique, n'avons pas réussies à faire. Pourquoi ?

     

     

     

    L'Inde a fait exploser la bombe atomique et est aujourd'hui parmi les nations du monde qui sont redoutées. L'Inde a lancé des satellites en orbite. L'Inde, quoiqu'elle ait les mêmes problèmes que ceux de l'Afrique (une population en expansion, de la contestation religieuse aussi bien que tribale), bien que l'Inde ait une partie de sa population incroyablement pauvre, aussi bien qu'une partie incroyablement riche, elle a atteint des objectifs que l'Afrique n'a pas réussis à atteindre.

     

     

     

    Alors je m'interroge “Pourquoi ? Pourquoi ?” Parce que l'Inde a été fondée par des peuples venus d'Afrique, et je ne pense pas, monsieur, aux races noires à ce sujet. C'est un fait que, il y a des milliers d'années, des peuples d'Afrique ont posé les fondations de la plus grande civilisation de l'Inde, aussi bien que celle d'autres pays en Asie du Sud-Est.

     

     

     

    Il y a des preuves archéologiques accablantes de ceci. Mais, pourquoi l'Afrique est-elle en train de se noyer dans la guerre, dans la maladie, et dans la faim ? Pourquoi ?

     

      

     

     

    Bien des fois, monsieur, je m'assois dans ma hutte et je pleure quand je vois des maladies comme le SIDA en train de nous détruire; quand je vois des guerres insensées détruire ces pays en Afrique qui avaient prospéré pendant des milliers d'années.

     

     

     

    Dites donc, l'Éthiopie est un pays qui a été libre pendant des milliers d'années. L'Éthiopie était autrefois l'école de toute l'Afrique. Le Nigeria était autrefois un grand pays avec une longue tradition d'autonomie, bien longtemps avant que l'homme blanc ne soit venu en Afrique. Mais aujourd'hui, tous ces pays et beaucoup d'autres sont en train d'être détruits.

     

    Aujourd'hui, monsieur, il y a des parties de l'Afrique qui ont été totalement dépeuplées par la guerre et par la maladie appelée SIDA, une maladie qui présente tous les indices qu'elle est une maladie artificielle.

      

    Je m'interroge, “Qui ou quoi est en train de détruire l'Afrique, et pourquoi ?”

     

     

     

      

     

     

     

     http://virtuellife.centerblog.net/rub-38-un-zoulou-parle-extraterrestres-.html

     

     

     

     

     

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    La malédiction des pharaons

     

    par Lucien Barnier


    Histoire pour Tous N° 4, aout 1960

    Tout Ankh Amon.jpg
    Cette sculpture du XIIème siècle av. J.-C. évoque d'une façon Saisissante la personnalité de Tout-AnkHamon à 18 ans.


    L'Unesco, on le sait, s'est préoccupée de sauver les inestimables monuments égyptiens que menace l'inondation artificielle du Nil, causée par l'édification du prochain Barrage dont le colonel Nasser a fait l'une des bases de sa politique. A cette Occasion, on se pose de nouveau l'étrange et hallucinante question de la malédiction des Pharaons. Pour l'Histoire pour Taus, Lucien Barnier fait le point du problème.

     

      

    Otto Neubert, l'archéologue allemand, est-il un condamné à mort en sursis ?

    Otto Neubert était de ce groupe de dix-neuf personnes qui, le vendredi 17 février 1923, assistèrent à l'ouverture du tombeau de Tout-AnkHamon. Une seule d'entre ces dix-neuf personnes est décédée de mort naturelle. Dix-sept autres ont disparu dans des conditions mystérieuses. Otto Neubert survit encore, mais il est parfois obsédé par L'avertissement gravé au fronton de la sépulture royale : « La mort touchera de ses Ailes celui qui dérangera le Pharaon ».
     

      

    Otto Neubert sera-t-il la dernière victime d'une malédiction qui aurait déjà frappé dix-sept de ses compagnons par-delà trente-trois siècles ?
    Nous sommes le 24 novembre 1922. Il fait encore nuit sur le Nil, dans la Vallée des rois, à 740 kilomètres en amont du Caire. En ces lieux, les Egyptiens de l'Antiquité Avaient édifié leur cité des Morts. Ici retentirent les hymnes sacrés des prêtres ; et c'est, ce soir du 24 novembre 1922, le silence qui pèse, un silence traversé parfois des hululements de la chouette et des jappements du chacal.

    Dans ce décor étrange de tombeaux, cerné de montagnes et de gorges, une baraque en planches abrite trois personnes qui attendent impatiemment le lever du jour : Lord carnarvon, riche industriel britannique, qui finance une expédition archéologique, Lady evelyn, fille de lord Carnarvon, et un jeune égyptologue déjà réputé : Howard Carter. dans cette barque se déroule une dramatique conversation.

      

    C'est lord Carnarvon qui, tourné vers Carter, lui demande
     

    - Très franchement, Carter, croyez-vous que nous ayons raison de nous obstiner? De plus en plus, j'ai le sentiment que nos efforts sont parfaitement inutiles. Voilà cinq Années que nous vivons comme des parias dans ce désert de déblais et de tombes... Je crois que nous ferions mieux...
    Carter coupe sèchement lord Carnarvon
     

    - Nous ferions mieux d'abandonner ?... Sûrement pas, lord Carnarvon. La victoire est proche et j'ai la certitude que les marches d'escalier que nous venons de découvrir nous conduiront vraisemblablement auprès de Tout-Ank-Hamon.
    Alors Carnarvon, le visage ravagé par tant d'efforts et tant d'incertitudes, se tourne vers Carter
     

    - Mais à quel prix, Carter, remporterons-nous la victoire ? J'étouffe à l'intérieur des tombes ; la poussière des catacombes me brûle les yeux. L'odeur des momies m'est devenue intolérable... Et puis qui sait... ? Si nous n'avions pas le droit de violer ces retraites de la mort ?
    C'est désormais un climat de crainte qui règne sur le chantier où Carter précipite fébrilement le rythme des travaux. Un matin, vers onze heures, Carter crie aux Ouvriers
     

    - Enlevez les cailloux qui bloquent la seconde porte... Lord Carnarvon, voici le grand moment, voulez-vous me passer la barre de fer, afin que j'agrandisse l'ouverture.
    Dix-huit personnes guettent fébrilement l'événement qui va surgir par-delà les millénaires. Carter est nerveux. Sa main tremblante tient une bougie. De l'air S'échappe par l'ouverture et fait vaciller la flamme.

    Dramatique confrontation


    Lord Carnarvon est impatient et il interroge d'un ton sec
     

    - Que distinguez-vous ?
    Carter lui répond comme s'il vivait en un rêve
     

    - Je ne vois rien encore..., si, les contours ; et maintenant des ombres... puis des couleurs... enfin, des choses étonnantes, des têtes d'animaux qui se découpent en Ombres grimaçantes sur les murs de pierre.
     

    Carter ne peut plus parler ; il a devant lui un spectacle hallucinant : deux statues se fixent face à face, vêtues de pagnes et chaussées de sandales d'or ; sur leur front, Brille le serpent sacré. Immobile, Carter contemple le mur qui a été édifié entre les deux gardiens de roc. Un combat épique déchire cet homme. L'être humain entend résonner en lui la voix de ce fellah qui, l'autre jour, en apprenant la découverte du tombeau, a dit
     

    - Ces gens vont trouver de l'or... mais ils trouveront aussi la mort.
     

    Carter se répète les avertissements venus de tous côtés et qui l'ont prévenu de la malédiction, lui ont parlé du sacrilège ; et le savant, l'égyptologue Carter s'insurge. carter aborde alors son travail avec un esprit de sérieux, sans ce frisson d'horreur dont le charme mystérieux s'empare si aisément de la foule. A ce moment même, il n'écoute plus les contes à dormir debout ; il essaie de se persuader que le rituel funéraire des Egyptiens ne comportait aucune malédiction pour les vivants.

    L'obsession du sacrilège


    Et puis, le sort en est jeté. Le vendredi 17 février 1923, dix-neuf personnes sont rassemblées devant une porte qui est scellée. Les projecteurs électriques éclaboussent de lumière ces cubes de pierre qui, voilà trois mille ans, furent empilés en une sorte de prière funèbre. Carter enlève lentement une première épaisseur de pierres. Son disciple Callender avance un projecteur. Carter a devant les yeux un mur éclatant qui Bouche toute l'entrée.

      

    C'est une muraille d'or massif qui apparaît. Lord Carnarvon et Lacau entrent immédiatement à la suite de Carter. Ils voient le linceul de lin dont les pans retombent sur le sarcophage. Humbles, bouleversés, les voici en présence du pharaon. Ils restent là, trois heures durant, admiratifs, éblouis, tourmentés par L'obsession du sacrilège.

      

    Au pied du cercueuil de quartz jaune, une déesse étend les Bras et les ailes en un geste protecteur, comme pour écarter les intrus.

     


    Carter et lord Carnarvon regardent longuement cette image, et, la nuit tombée sur le camp de l'expédition, ils reconstituent le film de cette journée fantastique.
     

      

    Carter est brisé de fatigue et d'émotion. Pourtant son visage s'allume parfois d'une Singulière émotion. Quel extraordinaire rendez-vous I
     

      

    - Lorsque je suis sorti de la tombe et que j'ai vu les dernières lueurs du jour, il m'a Semblé que la vallée elle-même avait changé et qu'elle était éclairée d'une étrange Lumière.
    Lord Carnarvon écoute ces confidences avec une sorte de recueillèment religieux et il demande à Carter.


    - Qu'est-ce qui vous a le plus ému ?


    - Je crois que c'est cette humble couronne de fleurs des champs desséchées. Au milieu de tant de richesses, c'était peut-être le seul petit signe humain... le dernier adieu de la jeune veuve à son époux bien aimé.
     

    Est-ce le rappel de ce témoignage émouvant qui a soudain ébranlé les nerfs de carnarvon, mais celui-ci se dresse et tient, cet étrange discours à Carter.


    - J'ai vu la mort de très près, vous le savez, Carter, mais, jamais je ne me suis rappelé, avec autant de saisissement que tout à l'heure, les moments où j'ai failli quitter le monde des vivants... Je ne peux, plus supporter cette vision de tout-Ank-Hamon, surgissant de son linceul de lin. Carter, nous avons violé une demeure Sacrée.

      

    Tout dans cette tombe nous reprochait notre audace jusqu'à ce modeste Appui-nuque en fer et son inscription : « Réveille-toi de cet évanouissement dans Lequel tu te trouves. Tu triompheras de tout ce qu'on t'a fait... » Que penser de tout ce que nous venons de faire, Carter

    Tandis que la kermesse s'installe à l'embouchure du Nil...


    Ce que viennent de faire Carter et lord Carnarvon : la découverte de Tout-Ank-Hamon, est le jour même annoncé aux carrefours de toutes les capitales. Les manchettes des Journaux proclament.


    « Les savants ont exhumé la dépouille de Tout-Ank-Hamon. La quantité de bijoux dont le roi égyptien était couvert dépasse l'imagination. » Alors, des hommes de notre temps veulent, eux aussi, contempler le visage, doux et paisible, d'un roi qui a défié trois millénaires. Par milliers, les touristes affluent en Egypte ; de toutes parts, ils Accourent pour voir, eux aussi, le royal visage du Pharaon.

      

    Tandis que les paquebots Accostent à l'embouchure du Nil, dans une atmosphère de joyeuse kermesse, à trois mille kilomètres de là, dans un château de la campagne anglaise, lord Carnarvon, qui fut L'initiateur de la fabuleuse découverte, agonise sur son lit. Il délire en prononçant Le nom de Tout-AnkHamon, et dans un moment de lucidité, il s'écrie :


    - C'est fini, j'ai entendu l'appel et je me prépare.
     

    Au même instant, la lumière s'éteint dans toute la maison. L'infirmière, épouvantée, S'enfuit de la chambre. Lorsqu'elle revient, dix minutes plus tard, lord Carnarvon est mort. Une mystérieuse tragédie commence et avec elle commence une énigme. Six mois Après la mort de lord Carnarvon, son jeune frère, le Colonel Aubrey Herbert, meurt a Son tour. Très peu de temps après, l'infirmière qui avait soigné lord Carnarvon décède dans des conditions inexpliquées. Est-ce véritablement le hasard ? Ensuite s'éteint le Secrétaire de Carter, Richard Bathell. Trois mois plus tard, son père le suit.

    De ses ailes, la mort...


    Au frontispice de la sépulture de Tout-Ank-Hamon était gravé cet avertissement : « La mort touchera de ses ailes celui qui dérangera le Pharaon ». De ses ailes, la mort a effectivement touché tous ceux qui furent présents à l'ouverture du tombeau, ce vendredi 17 février 1923. Alors une rubrique s'installe dans la presse mondiale. Elle a pour titre :


    « La vengeance du Pharaon». Comme un bulletin nécrologique régulier, cette rubrique tient registre des victimes sucessives : le professeur Lafleur, ami intime de Carter, Le savant Arthur Mace, le docteur White. Le cas du docteur White est un des plus Singuliers. Il était un collaborateur parmi les plus zélés de Carter. Il fut un des premiers à pénétrer dans la chambre mortuaire. En sortant, il ressentit un malaise et, depuis ce jour, souffrit d'une dépression nerveuse.

      

    Au grand désespoir de sa famille, quelques jours après, il se pendit. Dans une lettre d'adieu, il a écrit : « J'ai Succombé à une malédiction qui m'a forcé à disparaître ».


    Avant de remettre la momie de Tout-Ank-Hamon au musée du Caire, un savant, du nom de Archibald Douglas Reed, reçut l'ordre de radiographier cette momie afin de voir s'il n'y avait pas par hasard des corps étrangers à l'intérieur de la dépouille. Reed se mit à l'oeuvre. Et, dès le lendemain, il tomba malade. Cet homme de constitution robuste fut emporté en quelques jours.

      

    A la liste funeste des victimes, d'année en année, sont venus s'ajouter les noms du docteur Breastead, du savant Harkness, des professeurs vinlock, Allan Gardiner, Foucart, ainsi que les chercheurs Jay Gould, et. Joel Woof. Les savants Astor, Bruyère, Callender, Lucas, Bathell, et bien d'autres qui, tous, Avaient été mêlés à l'affaire de Tout-Ank-Hamon sont morts jeunes et certainement prématurément.

    Alors, que penser?


    Arrêtons là ce chapitre d'histoire qui commence comme un conte des Mille et Une Nuits et s'achève à la manière d'un procès-verbal de greffier. La découverte du tombeau de tout-Ank-Hamon, en présence de dix-neuf personnes, est un fait. C'est aussi un fait que dix-sept de ces personnes ont disparu dans des conditions le plus souvent étranges. mais ces dix-sept personnes sont-elles des victimes expiatoires, qui auraient été poursuivies en quelque lieu où elles se fussent réfugiées, par l'implacable vengeance des Pharaons ?


    - Nous sommes des victimes affirment dans leur dernier adieu lord Carnarvon et Evelyn White.


    - Peut-être avons-nous été condamnés en franchissant l'enceinte sacrée de la sépulture royale, pense le dernier survivant, Otto Neubert.


    - Non, il n'y a pas de malédiction des Pharaons. Cette légende est une forme dégénérée des histoires de fantômes. proclame Howard Carter avant de s'éteindre à l'âge de 70 Ans.


    De l'éminent témoignage de Carter, se saisissent nombre de savants qui nous expliquent : il est vrai que lord Carnarvon mourut un mois et demi après l'exhumation de la momie, mais il avait été piqué par un scorpion. Quant au suicide d'Evelyn White, il faut le considérer comme le tragique dénouement dune dépression nerveuse qui avait épuisé cet homme soumis au rude travail des fouilles et de l'exploration dans des conditions particulièrement harassantes.


    Nous pouvons admettre, en effet, que le moral de lord Carnarvon et du professeur Evelyn White ait été atteint ; autrement dit, ces hommes ont pu céder à l'envoûtement des récits fantastiques qui étaient racontés par les fellah pendant les veillées au camp des archéologues dans la Vallée des Rois.

      

    Mais quand bien même on admettrait cet Argument, on n'expliquerait pas pour autant la mort foudroyante d'Arthur Mace, ni celle d'Archibald Douglas Reed, qui fut emporté en huit jours. Non, on n'expliquerait. pas cette stupéfiante succession de dix-sept décès. Estce à dire qu'on ne saura jamais découvrir des causes logiques, scientifiques à cette irritante énigme ?


    Je ne le crois pas. Peut être les murs du tombeau royal étaient-ils enduits de poison, que l'atmosphère sèche des sépultures hermétiquement closes aurait protégé contre toute Altération. C'est une explication possible. Ou bien, les savants américains d'Oak Ridge Ont-ils raison de supposer que les Egyptiens auraient connu le secret atomique et qu'ils avaient disposé près de leurs morts des substances radioactives ? C'est une Autre explication possible.


    Enfin, dernière en date des explications scientifiques proposées, celle du docteur geoffrey Dean de l'Hôpital de Port-Elizabeth, en Afrique du Sud. Cet homme de science croit que les dix-sept égyptologues morts mystérieusement ne doivent pas être considérés comme les victimes d'une vengeance sacrée, mais comme les victimes d'une maladie : l'histoplasmosis, qui est provoquée par un virus se développant. parmi les excréments des chauves-souris. Ce serait une explication admissible. Les salles Souterraines des pyramides égyptiennes sont effectivement des repaires de chauves-souris.

      

    Mais il n'y avait aucune chauve-souris dans la sépulture de tout-Ank-Hamon pour la raison bien simple que cette sépulture était rigoureusement murée par d'énormes cubes de pierre parfaitement ajustés. Et on en était là de cette Obsédante énigme des Pharaons ; quand, le 11 mars 1959, quelqu'un aperçut un cadavre flottant sur le Nil. Le nom du mort : Zakaria Gonein.

      

    La profession de ce désespéré : Archéologues. Signe distinctif : a découvert la pyramide de Sakkara, sous les sables du désert. Causes de la mort suicide.
    Y a-t-il en fait une malédiction des pharaons?
    C'est une énigme, non résolue.

     

     

    sources :

    http://antique.mrugala.net/Egypte/Pharaons/Toutankhamon/Malediction%20de%20Tout-Ankh-Amon.htm

     

    La Malédiction de Toutankhamon

     
    La Malédiction de Toutankhamon
      
      
      
      
      
    « La Mort touchera de ses Ailes celui qui dérangera le Pharaon ». Cette inscription, découverte à l’intérieur du tombeau de Toutankhamon prend une singulière résonance lorsque l’on connaît le sort de ceux qui « violèrent » ce tombeau.
      
    Mais y a-t-il vraiment relation de cause à effet entre ce viol et ce sort ?
      
    Pour se faire une opinion, le mieux est de retracer l’histoire de la découverte de ce tombeau. Une trentaine de cercueils et vingt quatre momies provenant de trois dynasties de pharaons égyptiens ont été mis à jour.
      
    Les fouilles ont parfois suscité quelques réactions de la part de la population. Ainsi, à Louxor, au moment où des trésors étaient chargés sur un bateau, une procession de femmes arabes est arrivée, en gémissant et en hurlant. Dans leur mélopée, un mot revenait continuellement : « Malédiction... »

    Cependant, Lord Carnavon a un autre soucis : il a été piqué au cou par un moustique. Cette piqûre a entraîné une forte démangeaison, puis une enflure. Il a conscience de la gravité du mal. Sa santé, à la suite d’un accident de voiture, est demeurée précaire. « J’ai entendu l’appel, je suis prêt. » déclara-t-il. Bientôt une congestion pulmonaire se déclare.
      
    Et dans la nuit du 4 au 5 avril 1923, Lord Carnavon agonise dans une chambre de l’hôtel Continental du Caire. Une nouvelle fois, il dit :
      
    « C'est fini, j’ai entendu l’appel et je me prépare ! ».
      

    Presque au même instant, la lumière s’éteint dans la chambre, et d’ailleurs dans tout l’hôtel. L’infirmière qui veillait Carnavon va chercher des bougies ; lorsqu'elle revient, le découvreur de Toutankhamon est mort.
      
    La légende de la malédiction du pharaon est née.

    Les événements ont donné raison aux prédictions des Fellahs. Ainsi se trouvent réalisées les menaces des grands prêtres égyptiens contre les profanateurs de momies.
      
    On sait aujourd’hui que Toutankhamon était un pharaon de la dix-huitième dynastie, mort très jeune. Les objets d’art trouvés dans son tombeau sont au musée du Caire. On a rapporté qu’un ministre égyptien, voulant enquêter sur cette énigme, s’est rendu au tombeau, en compagnie d’un charmeur de serpents.
      
    Mais l’on peut leur opposer une liste de personnes mêlées à la découverte de Toutankhamon, et dont la mort, survenue parfois à un âge très avancé, n’a rien d’énigmatique. Il faut cependant remarquer que des égyptologues sont morts de façon mystérieuse avant comme après les fouilles de Carter et Carnavon.
      
    En 1823, l’archéologue italien Giovanni-Battista Belzoni, le découvreur du tombeau de Séthi 1er, se trouve en Afrique occidentale lorsqu'il est pris de violentes fièvres. Peut-être s’agissait-il seulement de paludisme...

    De nombreuses hypothèses ont été avancées pour expliquer ces morts mystérieuses.
    • La forme pyramidale des Pyramides (d’où leur nom… ) aurait pour effet d’accumuler de l’énergie, et, par suite, d’entraîner des visions d’horreur chez les « violateurs », voire leur mort.

      

    • On a également supposé une prétendue découverte de la radioactivité par les Egyptiens. Certes, les connaissances des Egyptiens étaient importantes dans de nombreux domaines, mais rien ne prouve qu’ils connaissaient la radioactivité. D’ailleurs, les égyptologues morts mystérieusement n’ont jamais présenté les signes de la radiodermite, maladie due aux radiations.

     

    • Plus convaincante serait la culpabilité de la fièvre « Q », maladie aux formes variées, qui sévit dans les pays d’Orient, et qui est due à une rickettsie, organisme intermédiaire entre les bactéries et les virus. Les poussières ont été mises en cause : abondantes dans les nécropoles, elles peuvent irriter la peau ou la gorge, et être dangereuses pour les personnes aux voies respiratoires déjà fragiles : c’était le cas de Carnavon.

      

      

    Cette maladie rare, qui tue lentement, pourrait être transmise par les excréments des chauves-souris habitant les cavernes. Mais jamais aucune chauve-souris n’a été vue dans le tombeau de Toutankhamon qui était, nous le savons, hermétiquement fermé depuis des milliers d’années.

    En fait, nous l’avons constaté, les décès imputés à la prétendue malédiction sont trop différents pour être attribués à une cause unique et mystérieuse.

     

    SOURCES :

    http://nepthtys.centerblog.net/5077466-La-Malediction-de-Toutankhamon

     

     

     

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    Les disparus du phare

     

     


    Depuis décembre 1899 où il a été édifié sur l'île rocheuse de Eilean Mor, au large des côtes écossaises, le phare a semblé maudit.
     
      
    Dans l'année qui a suivi sa mise en service, trois gardiens ont péri, un quatrième a fait une chute mortelle et plusieurs sont devenus fous.
    Puis, le 15 décembre 1900, le phare s'est éteint..

     
      
    Quatre gardiens se relayaient par équipe de trois. Alors qu'il s'approchait en bateau pour rejoindre son poste, Joseph Moore fut frappé par le silence oppressant qui régnait aux alentours.
    Personne pour l'accueillir, pas de drapeau flottant au vent.

     
      
    A l'intérieur du phare, tout lui avait semblé normal. Des plats de nourriture intacte étaient encore sur la table, une chaise gisait à terre et deux cirés manquaient au portemanteau.

     
      
    L'île venait d'essuyer une violente tempête. D'énormes vagues avaient tordues les rampes de fer de l'embarcadère.
    Mais, le jour de la disparition des hommes, la tempête s'était calmée. Le carnet journalier mentionnait qu'il y avait un léger crachin.
     
      
    En date du 15 décembre, l'un des gardiens avait écrit : »Fin de la tempête. Mer calme. Dieu est avec nous. »

    Mais, on n'a jamais retrouvé la trace de ces trois hommes.

     
      
    Plusieurs hypothèses assez farfelues ont été émises : enlèvement par un monstre marin, attaque d'un oiseau géant ou d'un fantôme.
    Officiellement, les trois gardiens ont été emportés par une vague qui les a surpris sur le débarcadère.
     
      
    La mer était calme ce jour là mais nous ne saurons jamais la vérité.
     
     
    sources :
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
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    Le sarcophage d'Arles sur Tech

     

     

      
      
      
    Arles sur Tech est une commune des Pyrénées-Orientales. Cette tombe est un vieux et lourd sarcophage en marbre qui se trouve à l'air libre dans une courette, au bas d'un mur d'une douzaine de mètre de haut
    (la cour n'est pas fermée du coté nord et donne sur une place).
      
      
    Le couvercle de ce sarcophage est aussi épais que les parois (environ 15 cm) et repose d'une façon imparfaite sur ces dernières. On peut même glisser les doigts dans l'interstice en plusieurs endroits.
      
    Le sarcophage ne repose pas directement sur le sol mais par l'intermédiaire de deux blocs de marbre.

    Le phénomène "miraculeux" présenté par ce sarcophage est le suivant :
      
    Chaque jour, il semble se rassembler à l'intérieur du dit sarcophage une quantité d'eau assez importante (de l'ordre d'un litre en moyenne) quasiment "pure" et à laquelle on attribue des qualités curatives.
      
      
    On peut puiser l'eau par un petit trou situé sur un des petits côtés, à la jointure du sarcophage et de son couvercle, trou par lequel une petite pompe à siphon est introduite.
      
      
    Il arrive que "le sarcophage déborde".
      
      
    La production aurait même atteint quelquefois 800 litres par an... Il n'y a apparemment aucune supercherie, aucune tuyauterie, aucun remplissage extérieur...
     
     
     
     
     
     
     
     

     

     

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    Ca se passe dans la ville de Saint Quentin, une ville de 60 000 habitants prés de paris, à 2 heures de routes, dans le quartier de Remicourt dans la petite rue des canonniers la maison au numéro 21. La maison n'était pas trop vieille, elle fût construite dans les années 70 et elle a deux étages.

     

    C'est un couple qui habitait cette maison en 1990, qui ont leur chambre est au 1er étage. le mec lui travaillait dans un boulot d'ordinateur et il allait au boulot tôt le matin et revenait tard le soir. Sa femme était femme au foyer.

     

    Mais 1 mois après leur emménagement ils ont entendu des bruits bizarres venant du bas de la maison. Des bruits de casseroles, des bruits comme une craie qui grince sur un tableau, et des bruits comme des gémissements d'homme agonisants. Ils se demander ce que s'étaient.

      

      

    Au début, ils ne s'inquiétaient pas trop, ils pensaient que c'était les voisins ou un truc du genre, jusqu'au jour ou la femme trouva un liquide rouge sur le mur de la cuisine, là elle a commencé a flipper ; elle a appelé son marri qui lui ne s'inquiétait pas il disait : "ça doit être un effet de peinture qui ressort " car en arrivant dans la maison , ils ont repeint la cuisine sur du papier peint déjà repeint.

     

    Mais au fur et à mesure, des taches apparaissaient un peut partout dans la maison et la femme qui n'osaient plus dormir a décidé d'appeler la police. La police a pris un échantillon du liquide et il s'est avéré que c'était du sang humain.

     

     

    Donc le couple a décidé d'appeler la famille qui habitait ici avant eux ; c'était la famille Pironet ; c'était cette famille qui avait fait construire la maison et les Pironet, leur ont dit que ça n'était jamais arrivé quand ils habitaient cette maison.

     

     

    Mais 1 an plus tard, cette maison est passée a l'émission mystères et les Pironets ont décidé de dire ce qui c'était passé, en faite il se passait les mêmes choses et comme ils voulaient vendre la maison, ils ont tout repeint et on réussit a la vendre au couple.

     

     

    Ensuite ils ont appelé les Pironet qui n'ont rien dit. Les flics se sont dit ça doit être une farce ou une supercherie, alors ils ont mit de la farine partout sur le sol, ainsi que des pièges à loup et d'autre trucs, ils ont barricadé la maison pendant 1semaine pour que personne ne rentre. Après ils sont rentrer pour la première fois depuis 1 semaine et la rien n'avait bougé pas un piège mais les murs étaient pleins de sang.

     

     

    Alors le couple loua un appartement pas très loin et ils ont fait venir un prêtre qui a dit que c'était l'oeuvre du diable et qu'il fallait détruire la maison. Ils ont fait venir un mec spécialisé dans les phénomènes étranges qui est venu avec un pendule et le pendule tournait très rapidement.

     

     

     

    Alors ils ont creusé a une dizaine de mètres sous terre et ils ont trouvé un crâne humain, ils se sont dit qu'il entait les lieux et que ça s'arrêterais, alors ils sont revenus habiter la maison mais le phénomène continuait. Donc ils ont mirent la maison en vente et sont partis acheter une autre maison a Amiens.

      

      

      

    Mais il y a un an un mec qui s'appelait des jardins a racheté cette maison, il a fait venir des scientifiques spécialisé et personne n'a rien trouvé.

     

     

    Il a démoli la maison pour reconstruire par la suite et a trouvé en creusant pour faire les fondations un énorme trou avec une cinquantaine de corps de soldat allemand de la première guerre mondiale. Puis il a fait des recherches dans des sites historiques et des batailles ont eut lieu dans le coin et il a trouvé qu'il y avait eut une grande bataille pendant la guerre des tranchées et au lieu de se fatiguer a faire des tombes pour tous les soldats, ils les ont enterré dans leur tranchée.

     

     

    Maintenant monsieur des jardin a reconstruit depuis et aucun phénomène s'est reproduit.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Des Crops Circles de 3000 ans en Chine...

     

    Des Crops Circles de 3000 ans en Chine...

      

      

    En corrélation avec ce que je disais  ICI, sur la musique des sphères. S'il existait des crops-circles voilà 3000 ans, ce ne  peut être l'oeuvre des machiavéliques qui nous gouvernent aujourd'hui, c'est une certitude.

      

    Vous verrez la chute de cet article et ce que dit le Pr chinois Zhang Hui :

      

    "...il y a définitivement une connexion avec le cosmos. Ca pourrait être une force surnaturelle, ou mêmeune civilisation étrangère."

     

    Nous enverrait-on des "signes" alors que la Fin de ce monde approche ? Veut-on nous signifier que "nous ne sommes pas" seuls alors que la "cohorte infernale" nous prépare les pires coups en peaufinant son Projet Utopia ?

     

      

      

    J'ai du mal à croire à une intervention  extraterrestre puisque, pour moi, les extraterrestres étaient nos Ancêtres. Mais... justement, en parlant d'eux. Se peut-il qu'une si grande civilisation ait pu s'éteindre totalement ?    Extrapolons... l'Histoire de Noé ne cacherait-elle pas quelque chose qui ne se serait pas passé sur terre mais ailleurs ?

      

    J'entends que l'Arche se serait élevée dans le ciel vers... Mars, par exemple ?

      

     

     

      

      

      

    Car qui nous dit que cette planète n'est pas habitée et pas habitable ? La NASA, allez-vous me répondre. Peut-on s'y fier ? Peut-on se fier à cet "organe" qui est à la solde des Maîtres du Monde ?

      

    Les photos concoctées par leurs soins sur Mars ne seraient-elles pas aussi truquées que les expéditions lunaires ?

      

    Je vais vous poser un documentaire fiction qui a été tourné en 1977 où il est justement question de cela. Des photos truquées    de la NASA pour justement nous tromper et préparer la fuite des élites vers la planète rouge et nous laisser seuls face aux déchaînements des Eléments de Dame Terre lors de sa    mutation.

     

     

     

    Pour apprécier cette vidéo-

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    colonne gauche - le fond musical du blog sera supprimé 

          

     

     

     

    Des Crops Circles de 3000 ans en Chine

     

    Depuis plus de 20 ans, les crops circles déchainent les passions. Mais  la réalité des crops circles est beaucoup plus ancienne que ce que l’on dit.

     

    Calum McLeod écrit, dans le journal “Independent” (Indépendant), du R-U, à    propos d’un chercheur Chinois qui a découvert, près de la frontière Mongole, des stone circles de 2500 ans, dans les mêmes motifs que les crop circles modernes.

    Zhang Hui, un confrère chercheur au Xinjiang Museum (Musée Xinjiang) à Urumqi,    a découvert plus de 20 motifs qui semblent correspondre aux exemples trouvés dans d’autres pays, mais qui peuvent être plus vieux de 3000 ans. Les stone circles chinois sont clairement    synthétiques.

    Les peuples primitifs qui ont vécu là ont été inspirés par les crop    circles qu’ils ont vus, spécule Zhang. Ils pensèrent que les cercles étaient une façon de communiquer avec les Dieux, et ainsi placèrent des roches en forme de    cercles.

    Zhang a trouvé plusieurs cercles dans les prairies du comté de Qinghe à côté de la frontière Sino-Mongole,    variant de simples cercles, à une larme plus complexe, et d’autres formes. Il a été stupéfié par leur sophistication géométrique et est allé à Beijing consulter les traductions chinoises de    travaux de référence par des chercheurs Britanniques de crop circle.

    J’ai été stupéfié par les ressemblances, dit-il. Les deux ensembles montrent    les caractéristiques de civilisations modernes, industrielles, puisque vous auriez besoin d’instruments modernes pour faire des cercles si parfaits, cependant, ceux-là pourraient être les plus    vieux relevés de crop circles dans le monde entier. Ils montrent que le phénomène est beaucoup plus vieux que les gens le pensent.

    La région est habitée par beaucoup de minorités ethniques non-chinoises, y    compris la plupart des Musulmans de la Chine. Plusieurs des motifs en pierre de Zhang entourent les piles énormes de pierres réunies pour commémorer des guerriers nomades connus comme étant les    Scythians, les gens Indo-Iraniens avec des particularités Caucasiennes.

    Les conquêtes Scythian étaient si vastes que des historiens Occidentaux    ont identifié leur interaction culturelle avec les Celtes antiques, dont les sites religieux ont été les emplacements principaux pour des crop circles. Les chercheurs comme John    Haddington du U.K.’s Center of Crop Circle Studies (Centre pour l’Éutdes des Crop Circles du R.-U.) ont noté que les cercles apparaissent souvent près des sites sacrés des Celtes, des Aborigènes australiens et des Indiens d’Amérique.

     

     

    Oregon 

      

      

    Le premier crop circle enregistré publiquement, se produisit en 1678 à Stirlingshire, en Ecosse, et fut connu comme étant le “Devil’s Circle” (Cercle du Diable). Zhang a trouvé un motif semblable à Qinghe, encerclant une pile de pierres et une pierre    tombale avec une gravure de cerf.

     

    Les nomades l’appellent ‘ le cercle magique, ‘ et croient que quiconque osera    toucher la pierre tombale offensera les Dieux et sera puni dit-il.

     

    Zhang n’aurait pas pu faire cette recherche il y a 20 ans, parce que le    Président Mao déclara la guerre contre les croyances “superstitieuses” qui, selon lui, retenaient ses tentatives de moderniser la Chine.

    Pendant la Révolution Culturelle, un groupe de Red Guards (Guardes Rouges) dans    le nord-est, la Chine a vu un crop circle apparaître dans un champ, en un court lapse de temps, dit Zhang. Ce rare compte-rendu de témoins oculaires, d’une formation se formant réellement, a été    publié beaucoup plus tard. Ils étaient stupéfaits, mais à l’époque, personne n’était permis de croire en une telle ‘superstition.’

     

     

    Récemment, il y a eu beaucoup d’observations d’OVNI en Chine. Zhang ne sait pas    ce qui a causé les cercles antiques.

    Il est trop tôt pour le dire avec certitude,    dit-il, mais il y a définitivement une connexion avec le cosmos. Ça pourrait être une force surnaturelle, ou même une civilisation    étrangère. »

     

    Sources : Le mystère des Crop circles

     

     

     http://mondemeilleur.over-blog.net/categorie-997557.html

     

     

     

      

    GEOMETRIE SACREE

     

    « La géométrie est une science mathématique qui étudie les  relations entre points, droites courbes, surfaces et volumes de l’espace mais lorsque l’on y ajoute la conscience et l’ouverture du cœur elle devient Sacrée.   »

    La géométrie est un langage universel qui traverse l’espace et le temps et  s’enrichit avec l’évolution humaine. Elle est mouvante, vivante, vibrante et se développe de manière constante et permanente.

      

     

     

    La géométrie est la base de toute  vie sur terre et dans notre univers.

            Dans les crop circles, la géométrie occupe une place prépondérante, elle parle au cœur de ceux qui se penchent sur   ses dessins comme les sculptures des cathédrales interpellent les   pèlerins.

            Vous découvrirez que ces pictogrammes sont devenus des ensembles symboliques, vous découvrirez que les crop circles se complètent pour former une   série de messages qui mettent en résonance nos connaissances et nos émotions.

            Cette géométrie sacrée qui fait rayonner le Nombre d’Or et la suite de Fibonacci, va encore plus loin, elle fait briller les nombres. Ainsi les chiffres parlent d’une autre façon que celle enseignée dans nos livres d’écoles.  

      

      

      

    Sous forme symbolique ils s’adressent à notre conscience, plus qu’à notre  raison.

      

    Ces entrelacs de nombres relient les agroglyphes entre eux et la magie commence

    quand « l’âme agit ».

    La géométrie sacrée, c’est plus que la «   mesure de Géo la Terre », c’est le souffle de Gaïa.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    UNE HISTOIRE FASCINANTE:

     

      

      

    En 1938 dans les montagnes de Bayan Kara Ula, dans l'Himalaya à la frontière de la Chine et du Tibet, une équipe d'archéologues chinois entreprit de fouiller systématiquement une série de cavernes interconnectées.

      

      

    Leur intérêt pour ces lieux avait été éveillé par la découverte d'une série de tombes alignées avec soin qui contenait des restes de squelettes de ce qui devait bien être une race d'êtres humains inédite.

      

     

      

    Leurs corps étaient petits et frêles, leurs têtes largement plus grandes que des têtes normales, au point qu'on crut d'abord avoir découvert une espèce inconnue de singes, jusqu'à ce que l'absurdité de l'idée de singes qui creusent des tombes décorées pour enterrer leur morts exclue cette possibilité.

      

      

     

     

    Etudiant un des squelettes, l'un des membres de l'expédition trébucha sur un disque de pierre enfoui dans le sol poussiéreux de la caverne. L'objet évoquait une sorte de disque phonographique préhistorique. Un trou parfaitement circulaire en son centre, et un sillon spiralant de petits caractères inconnus.

      

     

     

    Personne ne put comprendre le sens du texte, le disque fut étiqueté et expédié en compagnie d'autres découvertes vers Pékin, ou quelques experts s'acharnèrent pendant 20 ans sans succès à les décoder, jusqu'à ce que finalement le docteur Tsum Um Nui comprit cette écriture inconnue et se mit à le déchiffrer. L'Académie des Etudes Préhistoriques de Pékin lui interdit de mentionner et de publier son travail, il outrepassa cette interdiction deux ans plus tard.

      

     

      

    Le texte racontait l'histoire d'une "sonde spatiale" pilotée par les habitants d'une autre planète qui s'écrasa dans les montagnes de Baya Kara Ula. Leurs intentions pacifiques ne furent pas immédiatement claires pour la tribu de chasseurs troglodytes qui occupaient les lieux, qui tuèrent encore de nombreux survivant, effrayés qu'ils étaient par l'aspect inhabituel de ces êtres.

     

      

      

    Ceux-ci se présentèrent comme les "Dropas", et à force de signes finirent par convaincre de leurs intentions pacifiques, expliquant qu'ils venaient "des nuages" et qu'ils n'avaient aucun moyen de réparer leur véhicule ou d'en construire un autre.

      

     

     

     

    En 1965, 716 autres disques gravés furent trouvés dans les mêmes cavernes. Les légendes de la région mentionnent des petits hommes jaunes venant des nuages, ayant de grosses têtes et des corps très frêles, si horribles qu'ils étaient pourchassés et tués.

      

      

      

      

    Sur les parois étrangement lissés des cavernes, on trouva des dessins précis du soleil, de la Lune, de la Terre et de plusieurs étoiles identifiables telle Sirius, avec des lignes en pointillés qui les joignent entre elles. Ces dessins ont été datés de 12.000 ans avant nos jours.

    La zone des cavernes est toujours habitée par deux tribus semi-troglodytes connues comme les Han et les Dropa ou Dzopa.

      

      

      

      

    Les deux tribus sont d'apparence très étrange, de corps fragiles, d'une taille dépassant à peine le mètre pour les adultes, des têtes disproportionnées et de grands yeux à l'iris bleu. Ils ne sont ni typiquement Chinois ni Tibétains.

    En Russie, plusieurs disques furent examinés.

      

      

      

    Il fut montré qu'ils contiennent de grandes quantités de Cobalt et d'autres substances métalliques. Placés sur une table tournante, Ils émettaient un bourdonnement bas, comme s'ils avaient une activité électrique.

     

     

     

     

     

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    L'incroyable histoire des disques Dropas

      

      

      

    Est-il possible que des extraterrestres aient atterri en Chine il y a très longtemps suite à l'écrasement de leur vaisseau spatial et s'y soient installés ?

      

    Des scientifiques et des archéologues auraient étudié des tombes, des restes, et d'étranges objets, un ethnologue en a discuté avec leurs descendants, un linguiste a traduit leur récit... Mais aucune étude récente ne s'est intéressée à cette affaire incroyable, qui pourrait bouleverser tout ce que nous croyons savoir de notre histoire et de notre place dans l'univers, et qui finalement ne servira qu'à servir de trame à un épisode de la série X-Files.

     

     

      

      

      

    L'une des histoires les plus extraordinaires et incroyables relatives à des visiteurs extraterrestres débute en 1938 alors que l'archéologue Chi Pu Tei découvre une série de tombeaux régulièrement creusés et alignés dans des cavernes artificielles des montagnes de Baian Kara Ula près de la frontière sino-tibétaine.

      

    Entre des décorations montrant de petits êtres coiffés de casques, des étoiles, des planètes et des lignes qui les joignent, il trouva de petits squelettes aux larges crânes. Il fut vite évident que les étranges squelettes n'étaient pas ceux d'une espèce inconnue de singe, lesquels n'enterrent pas leurs morts.

     

     

      

    On trouva également des objets de pierre contenant des traces de métaux incongrues, parfaitement circulaires et ornée de symboles stellaires et d'une écriture minuscule en spirale. Ce n'est qu'en 1962, qu'un linguiste chinois réussit à traduire le texte d'un des 700 disques entreposés à l'Académie de Pékin.

    Cette traduction nous rapporte l'histoire d'un groupe d'êtres qui se sont écrasés sur la Terre il y a 12.000 ans et qui se sont trouvés incapables de réparer leur vaisseau. Ce groupe fut d'abord traqué, à cause de son apparence inhabituelle, par la tribu de chasseurs qui occupait les lieux, mais finit à force de gestes pacifiques à se faire accepter et à s'installer en paix. Cette traduction fur largement ignorée ou moquée par les collègues du traducteur, car elle ne cadrait vraiment pas avec les idées que l'on pouvait alors accepter.

      

     

    En 1938 dans les montagnes de Bayan Kara Ula, dans l'Himalaya à la frontière de la Chine et du Tibet, une équipe d'archéologues chinois entreprit de fouiller systématiquement une série de cavernes interconnectées.

      

     

    squelettes de ce qui devait bien être une race d'êtres humains jusqu'ici inconnue. Leurs corps étaient petits et frêles, leur tête largement plus grande que des têtes normales, au point qu'on crut d'abord avoir découvert une espèce inconnue de singes, jusqu'à ce que l'absurdité de l'idée de singes qui creusent des tombes décorées pour enterrer leurs morts exclue cette possibilité.

    Etudiant un des squelettes, l'un des membres de l'expédition trébucha sur un disque de pierre enfoui dans le sol poussiéreux de la caverne.

      

    L'objet évoquait une sorte de disque phonographique préhistorique. Un trou parfaitement circulaire en son centre, et un sillon en spirale de petits caractères inconnus.

     

     

    Un dessin effectué par les archéologues chinois

     

     

      

      

    Est-ce le même disque photographié en noir et blanc? La provenance de cette photo est inconnue. Les fragments remplacés sont exactement les mêmes que ci-contre, mais la section semble différente.

     

     

    Personne ne put comprendre le sens du texte, le disque fut étiqueté et expédié en compagnie d'autres découvertes vers Pékin, ou quelques experts s'acharnèrent pendant 20 ans sans succès à les décoder, jusqu'à ce que finalement le docteur Tsum Um Nui comprit cette écriture inconnue et se mit à le déchiffrer. L'Académie des Etudes Préhistoriques de Pékin lui interdit de mentionner et de publier son travail, il outrepassa cette interdiction deux ans plus tard.

     

      

    Le texte racontait l'histoire d'une "sonde spatiale" pilotée par les habitants d'une autre planète qui s'écrasa dans les montagnes de Baya Kara Ula. Leurs intentions pacifiques ne furent pas immédiatement claires pour la tribu de chasseurs troglodytes qui occupaient les lieux, qui tuèrent encore de nombreux survivant, effrayés qu'ils étaient par l'aspect inhabituel de ces êtres.

    Ceux-ci se présentèrent comme les "Dropas", et à force de signes finirent par convaincre de leurs intentions pacifiques, expliquant qu'il venaient "des nuages" et qu'ils n'avaient aucun moyen de réparer leur véhicule ou d'en construire un autre.

      

      

    En 1965, 716 autres disques gravés furent trouvés dans les mêmes cavernes. Les légendes de la région mentionnent des petits hommes jaunes venant des nuages, ayant de grosses têtes et des corps très frêles, si horribles qu'ils étaient pourchassés et tués.

    Sur les parois étrangement lissées des cavernes, on trouva des dessins précis du soleil, de la Lune, de la Terre et de plusieurs étoiles identifiables telle Sirius, avec des lignes en pointillés qui les joignent entre elles.

    Ces dessins ont été datés de 12.000 ans avant nos jours.

      

      

    La zone des cavernes est toujours habitée par deux tribus semi-troglodytes connues comme les Han et les Dropa ou Dzopa. Les deux tribus sont d'apparence très étrange, de corps fragiles, d'une taille dépassant à peine le mètre pour les adultes, des têtes disproportionnées et de grands yeux à l'iris bleu. Ils ne sont ni typiquement chinois ni tibétains.

    En Russie, plusieurs disques furent examinés. Il fut montré qu'ils contiennent de grandes quantités de cobalt et d'autres substances métalliques. Placés sur une table tournante, ils émettaient un bourdonnement bas, comme s'ils avaient une activité électrique.

     

     

      

      

    Un ingénieur autrichien a eu l'occasion de faire cette photographie en 1974, quand il voyageait en Chine. Au musée Banpo à Xian, la capitale de la province de Shensi, il a trouvé par hasard deux disques qui correspondaient exactement aux descriptions que nous avons dans le rapport de Bayan-Kara-Ula de 1962 et les publications suivantes.

      

    Et il a même pu identifier les hiéroglyphes spiralant sur leur surface, toutefois en partie émiettée.

    Connaissant l'histoire de ces objets façonnés, M. Wegerer a demandé aux anciens directeurs du musée de Banpo plus de détails sur ces pièces exposées.

      

    Il a causé beaucoup d'embarras, parce que la pauvre femme qui dirigeait le musée n'a pas su quoi dire. Elle pouvait donner tous les détails au sujet de tous les autres objets façonnés à partir d'argile de ses collections, mais tout qu'elle pouvait dire au sujet des disques en pierre était qu'ils sont des "objets de culte sans importance."

      

      

    L'ingénieur autrichien a été autorisé à prendre un des disques dans sa main et a photographié les deux. M. Wegerer a estimé leur poids à un kilogramme ou à deux livres, et le diamètre à 28 à 30 centimètres, soit un pied. Et on y voit tous les détails qui avaient été décrits: un trou au centre et les hiéroglyphes étranges.

      

    On regrette qu'ils ne puissent pas être distingués ici sur les photographies, parce qu'ils sont en partie émiettés et, deuxième raison, M. Werener a employé un appareil photo Polaroïd avec flash intégré. Ce n'était pas tout à fait bon pour le contraste de la photographie. Peter Krassa a pu obtenir ces photographies à la fin des quatre-vingts.

     

     http://www.les-ovnis.com/pages/les-ovnis-dans-l-histoire-temoiganges-art-religions/l-incroyable-histoire-des-disques-dropas.html

     

     

     

     

     

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    Premiers rapports modernes
     

      

    Avant que les termes « soucoupe volante » et « ovni » ne soient inventés, il y a eu un certain nombre de rapports de phénomènes aériens étranges non identifiés.

    Ces rapports vont de la moitié du XIXe siècle à la fin des années 1940.

    En juillet 1868, selon des investigateurs du phénomène, la toute première observation qui soit bien attestée aurait été faite dans la ville de Copiapo au Chili.
    Le 25 janvier 1878, le journal quotidien de Denison (États-Unis) signale qu'un fermier local, John Martin, rapporte avoir vu un grand objet sombre circulaire ressemblant à un vol de ballon se déplaçant « à une vitesse merveilleuse ».
     

      

    Le 17 novembre 1882, l'astronome E.W. Maunder, de l'observatoire royal de Greenwich, décrit dans un rapport « un visiteur céleste étrange » « en forme de disque » ou « fusiforme ». Quelques années plus tard, Maunder précise que cet objet ressemblait énormément au nouveau dirigeable Zeppelin. L'objet étrange est également vu par plusieurs autres astronomes européens.
     

      

      

    Le 28 février 1904, trois membres de l'équipage d'un cargo d'approvisionnement de la marine américaine font une observation dont fait état leur lieutenant (Frank Schofield, qui deviendra plus tard le commandant en chef de la flotte du Pacifique), à environ 500 kilomètres à l'ouest de San Francisco.

      

      

    Schofield parle de trois objets circulaires et ovoïdes d'un rouge vif, volant dans une formation en échelon, qui s'approchent sous la couche de nuages, puis changent de direction et montent très haut au-dessus des nuages pour s'éloigner définitivement de la Terre, 2 ou 3 minutes plus tard. Le plus grand avait la taille apparente « d'environ six soleils ».
     

      

    L'incident de Fatima ou « miracle du Soleil », observé par des dizaines de milliers de témoins à Fátima, Portugal, le 13 octobre 1917, est considéré par certains comme une réelle apparition d'ovni.
     

      

      

      

    Sur les théâtres de guerre aériens européens et japonais, pendant la Seconde Guerre mondiale, les pilotes alliés comme ceux de l'Axe font état de foo fighters (boules de lumière qui suivent les avions).
     

      

      

    Le 25 février 1942, un aéronef non identifié est détecté au-dessus de Los Angeles en Californie. L'objet reste impavide dans le ciel malgré 20 minutes de feu soutenu de la part des batteries antiaériennes (DCA). L'incident devait par la suite prendre l'appellation de « bataille de Los Angeles ».
     

      

      

    En 1946, on dénombre plus de 2000 rapports d'aéronefs non identifiés dans les pays scandinaves, mais aussi en France, au Portugal, en Italie et en Grèce : d'abord désignés sous le nom de « grêle russe », ils sont plus tard appelés « fusées fantômes » (en anglais ghost rockets) car l'on croit voir dans ces objets mystérieux des essais russes de fusées V1 ou V2 prises aux Allemands[.

      

    Cette interprétation devait être par la suite réfutée mais le phénomène demeure inexpliqué.
     

      

    Plus de 200 apparitions, observées sur les radars, ont été considérées comme correspondant à « vrais objets physiques » par les militaires suédois. Une fraction importante du restant a été attribuée à une identification erronée de phénomènes naturels comme les météores.

     

      

     

      

    Apparition des soucoupes volantes


    Après la Seconde Guerre mondiale, le phénomène ovni touche le grand public à la suite du témoignage médiatisé d'un homme d'affaires américain, Kenneth Arnold, le 24 juin 1947. Ce dernier fait le récit du phénomène qu'il a observé alors qu'il volait dans son avion privé près du mont Rainier, dans l'État de Washington. Il rapporte avoir vu 9 objets soucoupiques très brillants et très rapides qu'il ne put identifier, volant du Mont Rainier vers le Mont Adams.

      

      

    Il estime leur longueur entre 12 et 15 mètres et leur vitesse à au moins 1800 km/h. Ils volaient, déclare Arnold, « comme des oies, formant une chaîne en diagonale comme s'ils étaient attachés l'un à l'autre, en un mouvement sautillant, analogue à celui d'une soucoupe ricochant sur l'eau » .

      

      

    Arnold devait préciser plus tard que les ovnis qu'il avait vus ressemblaient à des soucoupes volantes (« flying saucers ») et à de grands disques plats (« flat disks »). Ce témoignage, s'il lui vaut d'être la risée des médias et du public, fait toutefois connaître le terme de "soucoupe volante".

    Cette affaire est rapidement suivie de milliers de témoignages, surtout aux États-Unis, mais aussi dans d'autres pays.

    Un témoignage important est celui de l'équipage d'un vol de United Airlines qui rapporte que neuf objets en forme de disque ont escorté leur avion au-dessus de l'Idaho dans la soirée du 4 juillet. Ce témoignage reçoit une médiatisation plus importante et est considéré comme plus crédible que celui d'Arnold. Les jours suivants, la plupart des journaux racontent en première page des histoires de soucoupes volantes.

     

     

     

     



    Le 3 juillet 1947, se déroule ce qui devait devenir mondialement connu comme l'incident de Roswell. Ce jour-là, Mac Brazel, propriétaire d'un ranch près de Roswell, découvre des débris sur ses terres et prévient la base militaire la plus proche. Un jeune militaire du Roswell Army Air Field (RAAF) fait alors un premier communiqué de presse, où il annonce que l'armée a découvert une « soucoupe volante » écrasée près d'un ranch à Roswell, suscitant un fort intérêt chez les médias.

      

    L'observation de Kenneth Arnold avait eu lieu un mois plus tôt et avait eu un écho important dans la presse si bien que les soucoupes volantes étaient présentes dans tous les esprits, y compris chez les militaires.

      

    Le lendemain, le commandement général de la base publie un rectificatif annonçant que la soucoupe volante était seulement un ballon-sonde.

      

    Une conférence de presse est organisée dans la foulée, dévoilant aux journalistes des débris provenant de l'objet retrouvé et confirmant la thèse du ballon-sonde. L'affaire tombe alors dans l'oubli pendant une trentaine d'années, marquant la fin de la première grande vague d'ovnis aux États-Unis.

    En 1978, le major Jesse Marcel, qui a pris part à la récupération des débris à Roswell en 1947, déclare à la télévision que ceux-ci étaient sûrement d'origine extraterrestre et que les débris que le général Ramey (responsable de la base) a montrés aux journalistes ne sont pas ceux que Marcel lui a apportés de Roswell qui étaient selon lui en métal non identifié et comportaient pour certains des caractères d'une écriture inconnue.

      

      

    Il fait part de sa conviction selon laquelle les militaires avaient en réalité caché la découverte d'un véhicule spatial à l'ufologue Stanton T. Friedman. Son histoire circule chez les amateurs d'ovnis et dans les revues d'ufologie.

      

    En février 1980, le National Enquirer conduit sa propre interview du major Marcel, ce qui déclenche la re-médiatisation de l'incident de Roswell.

     

     

     

      

    D'autres témoins et rapports sortent de l'ombre au fil du temps, ajoutant de nouveaux détails à l'histoire.

      

    Par exemple, une grande opération militaire se serait déroulée à l'époque, visant à retrouver des morceaux d'épave, ou encore des extraterrestres, sur pas moins de 11 sites, ou encore des témoignages d'intimidation sur des témoins.

      

    En 1989, un entrepreneur de pompes funèbres à la retraite, Glenn Dennis, affirme que des autopsies d'extraterrestres ont été effectuées dans la base de Roswell.

      

    En 1991, le général Du Bose, chef d'état-major du général Ramey en 1947, confirme que ce dernier avait substitué aux débris transmis par la base de Roswell ceux d'un ballon météo, montrés aux journalistes. En réponse à ces nouveaux éléments, et après une enquête du Congrès des États-Unis, le GAO (Government Accountability Office, organisation de surveillance appartenant au Congrès) demande à l'United States Air Force de conduire une enquête interne.

      

      

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    Le résultat de cette enquête est résumé en deux rapports. Le premier, publié en 1995, conclut que les débris retrouvés en 1947 provenaient bien d'un programme gouvernemental secret, appelé Projet Mogul[20].

      

      

    Le second, paru en 1997, conclut que les témoignages concernant la récupération de cadavres extraterrestres provenaient vraisemblablement de rapports détournés d'accidents militaires impliquant des blessés et des morts, ou encore de la récupération de mannequins anthropomorphiques lors de programmes militaires tels que l'opération High Dive, menés autour des années 1950.

      

    Ce rapport indique néanmoins que le débat sur ce qui est réellement tombé à Roswell continue, tout en précisant que tous les documents administratifs de la base pour la période mars 1945-décembre 1949 ont été détruits ainsi que tous les messages radio envoyés par la base d'octobre 1946 à février 1949.

      

      

    Le bordereau de destruction ne mentionne pas quand, par qui, et sur l'ordre de qui cette destruction a été effectuée. Ces rapports ont été rejetés par les partisans de la théorie extraterrestre, criant à la désinformation, bien qu'un nombre significatif d'ufologues s'accordent alors sur une diminution de la probabilité qu'un véhicule spatial extraterrestre soit véritablement impliqué

      

      

      

    Les ovnis dans la culture populaire


    Le thème des ovnis et des extraterrestres constitue un phénomène culturel international depuis les années 1950.

      

    Si l'on en croit le folkloriste Thomas E. Bullard, « Les ovnis ont envahi la conscience moderne d'une force irrésistible, et le flot incessant de livres, articles de magazine, couvertures de journaux populaires, films, émissions de télé, dessins animés, annonces, cartes de salutation, jouets, [...]

    confirme la popularité de ce phénomène ».

      

    Selon un sondage (Gallup poll) de 1977, 95 % des sondés disent avoir entendu parler des ovnis, tandis que seulement 92 % disent avoir entendu parler du président des États-Unis Gerald Ford à peine neuf mois après son départ de la Maison Blanche (Bullard, 141).

      

      

    Un sondage de 1996 (Gallup poll) signale que 71 % de la population des États-Unis croit que le gouvernement dissimule des informations concernant les ovnis ; un sondage de 2002 donne des résultats semblables (Roper poll pour la chaîne de télévision Sci Fi), mais en indiquant que davantage de personnes pensent que les ovnis sont d'origine extraterrestre.

    Depuis la fin des années 1990, on observe une sorte de démystification du phénomène ovni. En effet, depuis la découverte par la science de nombreuses exoplanètes, la théorie selon laquelle nous ne serions pas seuls dans l'univers s'impose petit à petit au sein de la communauté scientifique et du public, rendant moins farfelue l'hypothèse de possibles visites de la Terre par des extraterrestres.

      

    La publication de livres en faveur de l'HET par des scientifiques ou des ufologues, la tenue de débats télévisés sur le sujet ainsi que la mise à la disposition du public des archives d'organismes officiels comme le GEIPAN, participent à l'acceptation de ce phénomène comme pouvant être la manifestation de visites extraterrestres. Dans un sondage récent [24], 48% des sondés pensent que des extraterrestres ont visité la Terre.


     

      

    Arts et folklore
     

    Les ovnis ou plus généralement les extraterrestres font leur apparition en littérature avec La Guerre des mondes, roman écrit par H. G. Wells en 1898.

      

    Cet ouvrage, l'un des premiers romans de science-fiction, devait par la suite donner naissance à deux adaptations cinématographiques, la première en 1953 par Byron Haskin et la deuxième en 2005 par Steven Spielberg (lequel a aussi réalisé Rencontre du troisième type et E.T.

      

      

    l'extra-terrestre, deux autres films sur le thème des extraterrestres).

      

    La Guerre des mondes est aussi à l'origine d'un des plus célèbres canulars radiophoniques du XXe siècle, qui vit Orson Welles, le 30 octobre 1938, faire croire à la population américaine qu'elle était attaquée par des extraterrestres venus de la planète Mars.

    Le début du XXe siècle voit la naissance du mythe des « petits hommes verts » ou

    « Martiens ».

      

    Bien souvent, cette expression est utilisée pour se moquer de l'éventuelle existence d'extraterrestres. La couleur verte a peut-être pour origine le roman d'Edgar Rice Burroughs, A Princess of Mars (1912), où sont décrites différentes espèces de Martiens, dont une à la peau verte.

      

      

      

    Cette couleur sera reprise par plusieurs autres auteurs, figurant même dans le titre de leur ouvrage, comme The Green Man (1946) d'Harold Sherman ou encore The Third Little Green Man (1947) de Damon Knight.


    Timbre soviétique imaginant d'éventuels satellites extraterrestres.Un autre événement clé dans le folklore ovni des années 1970 est la publication du livre d'Erich von Däniken Chariots of the Gods.

      

    Cet auteur, qui affirme dans son livre que les extraterrestres visitent la Terre depuis des milliers d'années, tente d'étayer cette hypothèse par divers exemples archéologiques et mystères non résolus (voir Théorie des anciens astronautes).

      

      

    De telles idées n'étaient pas vraiment nouvelles.

      

    Par exemple, au début de sa carrière, l'astronome Carl Sagan, dans Intelligent Life in the Universe (1966), avait affirmé que les extraterrestres pouvaient fort bien visiter la Terre sporadiquement depuis des millions d'années.

      

    Ces théories ont inspiré de nombreux imitateurs, suites et adaptations romanesques, dont un livre (The Bible and Flying Saucers de Barry Downing) qui interprète les phénomènes aériens miraculeux décrits dans la Bible comme la trace écrite de contacts avec des extraterrestres.

      

    Nombre de ces interprétations tendent à expliquer l'évolution humaine par l'action des extraterrestres, idée présente par ailleurs dans le roman et le film 2001, l'odyssée de l'espace.

     

    Le phénomène ovni prend une nouvelle tournure dans les années 1980, principalement aux États-Unis, avec la publication des livres de Whitley Strieber (Communion) et de Jacques Vallée (Passeport pour Magonia). Strieber, écrivain de romans d'horreur, pensait que les extraterrestres le harcelaient et étaient responsables de « plages de temps disparues » (missing times) pendant lesquelles il était soumis à d'étranges expérimentations.

      

      

      

    Cette nouvelle vision, plus sombre, est reprise par d'autres avec les enlèvements extraterrestres et sert de toile de fond à X-Files et bien d'autres séries télévisées. Cependant, même dans cette littérature, les extraterrestres ont des motivations qui peuvent être bienveillantes.

      

    Par exemple, le chercheur David Jacobs croit que nous subissons une forme d'invasion discrète par assimilation génétique.

      

    Le thème de la manipulation génétique (sans qu'il y ait nécessairement invasion) est également très présent dans les écrits de Budd Hopkins. Le psychiatre John Mack (1929-2004) pensait que l'éthique des « envahisseurs » était de jouer le rôle de guides sévères mais bons essayant d'inculquer la sagesse à l'humanité.

    Les dix dernières années ont été très prolifiques en films inspirés par la culture ovni et les extraterrestres, dont Independence Day de Roland Emmerich en 1996 (reprenant aussi le thème de la Zone 51), Contact de Robert Zemeckis en 1997 et Signes de M. Night Shyamalan en 2002 (reprenant quant à lui le thème des agroglyphes).

     

     

     

    Vous ne croyez pas aux ovnis  ?

    regardez...Petit recueil d'extraits de reportages, de témoignages concernant les ovnis.
     

      Pas des moindres :

    Des enfants, des scientifiques astronautes, des apparitions constantes en Norvège, des objets en direct tv pendant le tsunami du Japon que tout le monde a vu sans prêter attention....
     

    Je pense que nous devons garder les pieds sur terre.

     

    Le phénomène existe, et est la preuve qu'il y a autre chose... Mais que connaissons nous de nos esprits? de nos influences, de l'interactivité avec ce phénomène? Notre imagination et nos certitudes ne nous jouent-elles pas des tours?? Cherchez "le Père François Brune et le miracle de Fatima" .... vous comprendrez peut être mieux. Regardez aussi un extrait d'un vieux film relatant le miracle de Fatima...

    Rien d'ordinaire...

     

     


    Cercles de contactés et culture New Age

    À partir des années 1950, commencent à apparaître des sectes mystiques liées au phénomène ovni, parfois appelées « cercles de contactés ». Le plus souvent les membres de ces sectes se rassemblent autour d'un individu, un gourou, qui affirme être en contact direct ou télépathique avec des êtres célestes ou extraterrestres. Le plus notable d'entre eux est Georges Adamski, qui affirme avoir été contacté par un grand et blond Vénusien (du nom d'« Orthon »), voulant avertir l'humanité des dangers de la prolifération nucléaire.

      

      

    Adamski a été très largement discrédité, mais une Fondation Adamski a pris le relais, publiant et vendant les écrits d'Adamski. Au moins deux de ces sectes ont attiré un nombre important d'adhérents, The Aetherius Society, fondée par le mystique britannique George King en 1956, et la Fondation Unarius, établie par « Ernest L. » et Ruth Norman en 1954. Le thème récurrent de ces messagers extraterrestres est l'avertissement face au danger de la prolifération nucléaire.

      

    On trouve des groupes de contactés plus récents comme Heaven Gate (« La porte céleste »), le mouvement raëlien, ou encore The Ashtar Galactic Command

    (« L'état-major galactique Ashtar »).

      

    De nos jours, de nombreuses sectes de contactés, anciennes comme nouvelles, montrent une volonté d'assimiler des idées proches du christianisme et d'autres religions orientales, mélangeant ces dernières avec des idées issues du thème de la bienveillance des extraterrestres à l'égard des Terriens.

    Dans les années 1970, on note un renouvellement et un élargissement des idées associant les ovnis aux sujets surnaturels et occultes, avec la publication de beaucoup de livres New Age où les ovnis et les extraterrestres sont très présents.

      

    Certains adeptes des sectes de contactés des années 1950 avaient incorporé diverses idées religieuses et occultes à leurs croyances quant aux ovnis, mais dans les années 1970 ce phénomène se reproduisit sur une échelle considérablement plus grande.

      

    Beaucoup de participants du mouvement New Age y crurent et tentèrent d'établir un contact avec les extraterrestres. Un célèbre porte-parole de cette tendance était l'actrice Shirley MacLaine, connue pour son livre et sa mini-série

    Out on a limb.

     

     

     

     

     

     

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    Les Hommes en noir (Men in black)


    Article détaillé : Les Hommes en noir.

     

     

     


    « Hommes en noir » (calque de l'anglais « Men in black ») est un terme collectif désignant des personnes imaginaires issues du folklore ovnilogique américain.

      

    Leur but serait d'empêcher l'humanité d'accéder à des connaissances de provenance extraterrestre, jugées trop dangereuses pour sa survie.

      

    Ils se présenteraient le plus souvent comme des agents travaillant pour le gouvernement fédéral américain.

      

      

    Ces personnes, parfois de sexe féminin, arriveraient seules ou en groupe (le plus souvent en trio) au domicile du témoin d'un événement étrange après un délai qui peut varier d'un jour à plusieurs mois.

      

    Le témoin voit en eux tantôt des agents du gouvernement chargés d'étouffer l'affaire, tantôt des créatures non humaines (extraterrestres ou humanoïdes) aux objectifs mystérieux.

      

    Ils sont souvent vêtus d'un costume sombre ou gris (tailleur pour les femmes), en général dans le style des années d'après-guerre (et ce quelle que soit la date de leur apparition), comme d'ailleurs leur voiture, lorsqu'ils en ont une.

     

      

      

    C'est Gray Barker, dans un classique de l'ufologie, They knew too much about flying saucers, qui lança la thématique des « hommes en noir ».

      

      

    Il y a une dizaine d'années, John C. Sherwood affirma que Gray Barker publiait sous forme d'articles, dans son fanzine ufologique, des textes qui lui étaient soumis en tant que nouvelles de science-fiction.

      

      

    Les hommes en complet noir seraient donc une légende créée de toutes pièces, avant qu'elle ne passe dans le folklore américain du XXe siècle.

     

      

    Des scénaristes ont souvent profité de la vague description qui est faite des

    « hommes en noir » pour incorporer ceux-ci dans différents épisodes de séries télévisées. Un comic et deux films, Men in Black et Men in Black 2, ainsi qu'un jeu de rôle du même titre, sont inspirés de ce folklore

     

     

     

     

     

     


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    Témoignage d'OVNI de la NASA

     

     

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    le fond musical  sera supprimé

     

     

    La série "Chasseurs d'OVNIs" rassemble le plus de preuves possibles à la manière d'une enquête, pour ensuite les présenter aux téléspectateurs. L'équipe tente de séparer le vrai du faux à l'aide de témoignages, d'expériences scientifiques et de documents gouvernementaux, cela autour de ces phénomènes.
     

      

    Certains astronautes, au cours de missions en orbite terrestre ou lunaires, auraient vu des Objets Volants Non Identifiés comme Edgar Mitchell, qui a été témoin d'un événement inexpliqué, témoignent...

    Voici un article pris sur le site de Jean-Pierre Petit, scientifique et ancien directeur du CNRS, sur l'opinion de la NASA :
    Aucun département du Gouvernement des États-Unis d'Amérique n'est actuellement impliqué dans des recherches ou ne supervise des études axées sur la possibilité de l'existence de civilisations étrangères à la nôtre, résidant sur d'autres planètes, ou sur les objets volants non-identifiés (UFOs).

      

      

    L'Armée de l'Air américaine (USAF) et l'Administration Nationale de l'Aéronautique et de l'Espace (NASA) ont effectué indépendemment des recherches sporadiques sur l'éventuelle possibilité de l'existence d'une vie extraterrestre sur d'autres planètes, mais il n'a pas été possible d'établir que la vie existait sur une autre planète que la nôtre ni que le phénomène OVNI (UFOs) soit lié à des visites d'extraterrestres.
     

      

    Entre 1947 et 1969, l'Air Force a étudié le dossier des UFOs, puis en 1977 (au temps de l'administration du Président Carter, lequel avait confessé avoir été témoin d'OVNI, NDT) la NASA fut sollicitée pour dresser le bilan de telles études. Après avoir passé en revue toutes les données disponibles, celle-ci en conclut que la poursuite de telles recherches était sans objet étant donné l'absence de preuves tangibles.

     

      

    En octobre 1992, le Congrès confia à la NASA le soin d'effectuer une étude systématique concernant d'éventuels signaux radios pouvant émaner d'une civilisation extraterrestre. Un programme, HRMS (High Resolution Microwave Survey : "observations effectuées dans la gamme des micro-ondes, en haute résolution") fut lancé, axé sur les TOPS (Towards Other Planetary Systems : "tourné vers d'autres systèmes planétaires").
     

      

    Le programme SETI (Search for Extra Terrestrial Intelligence : recherche d'intelligences extraterrestres) fut installé à Mountain View, Californie. Il remplaça le projet gouvernemental en utilisant le système de traitement des signaux qui avait initialement été construit par la NASA.

      

      

    L'institut SETI est une association privée à but non lucratif gérant des recherches relevant de différentes disciplines allant de l'astronomie à la planétologie, à l'évolution des espèces chimiques au problème de l'origine de la vie, de l'évolution biologique et de l'évolution culturelle.

     

      

    Au cours de différentes missions spatiales, des astronautes de la NASA ont fait état de phénomènes qui n'étaient pas immédiatement explicables; quoi qu'il en soit, dans tous les cas, la NASA a montré que ces observations ne pouvaient pas être qualifiées "d'anormales" dans un environnement spatial.
     

      

    Les recherches de l'USAF sur les UFOs ont été conduites dans le cadre du Projet Bluebook. Ce projet, concentré sur la base de l'Air Force de Wright Patterson se poursuivit de 1947 à 1969. Sur un total de 12.618 observations visuelles analysées par l'équipe du projet Bluebook, 701 entrèrent dans la catégories des non-identifiées.

     

      

    La décision d'interrompre les recherches sur le dossier OVNI se fonda sur l'analyse des conclusions d'un rapport rédigé par une équipe de l'Université du Colorado, intitulé "Étude Scientifique des Objets Volants Non identifiés" (Scientific Study of Unidentified Flying Objects).

      

    C'est la NSA (National Science Académy, ou Académie Nationale Scientifique) qui examina à la fois les conclusions de ce rapport, les études antérieurs effectuées sur les OVNIs ainsi que les études préliminaires menées par l'Air Force sur les observations d'OVNIs remontant aux années quarantes, cinquantes et soixantes.
    Fondée sur les investigations menées depuis 1948, les conclusions du projet Bluebook étaient :

     

    1 - Aucun Objet Volant Non Identifié observé, étudié et évalué par l'Air Force n'a jamais représenté une menace pour notre sécurité nationale.


    2 - Rien ne permet de conclure que les observations classées par l'Air Force dans la catégorie des "non-identifiées" impliquent des développements technologiques ou des principes qui soient au-delà de nos connaissances scientifiques actuelles.


    3 - Et que ces cas puissent correspondre à l'évolution d'engins d'origine extraterrestre.

     

      

    A l'occasion de la clôture des travaux de Bluebook, la procédure concernant le recueil d'information et l'analyse des données par l'Air Force fut modifiée. La documentation issue des études menées dans le cadre du projet Bluebook fut transférée à la Modern Military Branch (Branche Militaire Moderne), au National Archives et au Record Service (Service National de l'Enregistrement et des Archives), Washington DC 20408, où celle-ci est disponible et consultable par le public.
     

      

    Depuis la clôture du projet Bluebook, aucun fait nouveau n'est survenu qui puisse justifier une reprise de recherches sur le dossier OVNI par le gouvernement des États-Unis.

     

      

    Puisque ni la NASA ni l'Air Force ne sont engagées au jour le jour dans une recherche concernant le phénomène OVNI, aucune de ces deux administrations n'analyse d'articles liés aux OVNIs destinés à une éventuelle publication, n'évalue de plans d'engins inspirés par les OVNIs, ou n'exploite des aspects dérivant des observations dans le domaine des recherches sur les phénomènes aériens.
    (J.P. Petit.org/NASA)

     

    article sources

     http://www.inexplique-endebat.com/article-ovni-les-dossiers-de-la-nasa-97741407.html

     

     

     

     

     

     

     

     


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    La Nasa : Coulisses et histoires secrètes

     

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    La série "Chasseurs d'OVNIs" rassemble le plus de preuves possibles à la manière d'une enquête, pour ensuite les présenter aux téléspectateurs. L'équipe tente de séparer le vrai du faux à l'aide de témoignages, d'expériences scientifiques et de documents gouvernementaux, cela autour de ces phénomènes.
     

     

    Certains astronautes, au cours de missions en orbite terrestre ou lunaires, auraient vu des Objets Volants Non Identifiés comme Edgar Mitchell, qui a été témoin d'un événement inexpliqué, témoignent...

    Voici un article pris sur le site de Jean-Pierre Petit, scientifique et ancien directeur du CNRS, sur l'opinion de la NASA :
    Aucun département du Gouvernement des États-Unis d'Amérique n'est actuellement impliqué dans des recherches ou ne supervise des études axées sur la possibilité de l'existence de civilisations étrangères à la nôtre, résidant sur d'autres planètes, ou sur les objets volants non-identifiés (UFOs).

     

     

    L'Armée de l'Air américaine (USAF) et l'Administration Nationale de l'Aéronautique et de l'Espace (NASA) ont effectué indépendemment des recherches sporadiques sur l'éventuelle possibilité de l'existence d'une vie extraterrestre sur d'autres planètes, mais il n'a pas été possible d'établir que la vie existait sur une autre planète que la nôtre ni que le phénomène OVNI (UFOs) soit lié à des visites d'extraterrestres.
     

     

    Entre 1947 et 1969, l'Air Force a étudié le dossier des UFOs, puis en 1977 (au temps de l'administration du Président Carter, lequel avait confessé avoir été témoin d'OVNI, NDT) la NASA fut sollicitée pour dresser le bilan de telles études. Après avoir passé en revue toutes les données disponibles, celle-ci en conclut que la poursuite de telles recherches était sans objet étant donné l'absence de preuves tangibles.

     

     

    En octobre 1992, le Congrès confia à la NASA le soin d'effectuer une étude systématique concernant d'éventuels signaux radios pouvant émaner d'une civilisation extraterrestre. Un programme, HRMS (High Resolution Microwave Survey : "observations effectuées dans la gamme des micro-ondes, en haute résolution") fut lancé, axé sur les TOPS (Towards Other Planetary Systems : "tourné vers d'autres systèmes planétaires").
     

     

    Le programme SETI (Search for Extra Terrestrial Intelligence : recherche d'intelligences extraterrestres) fut installé à Mountain View, Californie. Il remplaça le projet gouvernemental en utilisant le système de traitement des signaux qui avait initialement été construit par la NASA.

     

     

    L'institut SETI est une association privée à but non lucratif gérant des recherches relevant de différentes disciplines allant de l'astronomie à la planétologie, à l'évolution des espèces chimiques au problème de l'origine de la vie, de l'évolution biologique et de l'évolution culturelle.

     

     

    Au cours de différentes missions spatiales, des astronautes de la NASA ont fait état de phénomènes qui n'étaient pas immédiatement explicables; quoi qu'il en soit, dans tous les cas, la NASA a montré que ces observations ne pouvaient pas être qualifiées "d'anormales" dans un environnement spatial.
     

     

    Les recherches de l'USAF sur les UFOs ont été conduites dans le cadre du Projet Bluebook. Ce projet, concentré sur la base de l'Air Force de Wright Patterson se poursuivit de 1947 à 1969. Sur un total de 12.618 observations visuelles analysées par l'équipe du projet Bluebook, 701 entrèrent dans la catégories des non-identifiées.

     

     

    La décision d'interrompre les recherches sur le dossier OVNI se fonda sur l'analyse des conclusions d'un rapport rédigé par une équipe de l'Université du Colorado, intitulé "Étude Scientifique des Objets Volants Non identifiés" (Scientific Study of Unidentified Flying Objects).

     

    C'est la NSA (National Science Académy, ou Académie Nationale Scientifique) qui examina à la fois les conclusions de ce rapport, les études antérieurs effectuées sur les OVNIs ainsi que les études préliminaires menées par l'Air Force sur les observations d'OVNIs remontant aux années quarantes, cinquantes et soixantes.
    Fondée sur les investigations menées depuis 1948, les conclusions du projet Bluebook étaient :

     

    1 - Aucun Objet Volant Non Identifié observé, étudié et évalué par l'Air Force n'a jamais représenté une menace pour notre sécurité nationale.


    2 - Rien ne permet de conclure que les observations classées par l'Air Force dans la catégorie des "non-identifiées" impliquent des développements technologiques ou des principes qui soient au-delà de nos connaissances scientifiques actuelles.


    3 - Et que ces cas puissent correspondre à l'évolution d'engins d'origine extraterrestre.

     

     

    A l'occasion de la clôture des travaux de Bluebook, la procédure concernant le recueil d'information et l'analyse des données par l'Air Force fut modifiée. La documentation issue des études menées dans le cadre du projet Bluebook fut transférée à la Modern Military Branch (Branche Militaire Moderne), au National Archives et au Record Service (Service National de l'Enregistrement et des Archives), Washington DC 20408, où celle-ci est disponible et consultable par le public.
     

     

    Depuis la clôture du projet Bluebook, aucun fait nouveau n'est survenu qui puisse justifier une reprise de recherches sur le dossier OVNI par le gouvernement des États-Unis.

     

     

    Puisque ni la NASA ni l'Air Force ne sont engagées au jour le jour dans une recherche concernant le phénomène OVNI, aucune de ces deux administrations n'analyse d'articles liés aux OVNIs destinés à une éventuelle publication, n'évalue de plans d'engins inspirés par les OVNIs, ou n'exploite des aspects dérivant des observations dans le domaine des recherches sur les phénomènes aériens.
    (J.P. Petit.org/NASA)

     

    article sources

    http://www.inexplique-endebat.com/article-ovni-les-dossiers-de-la-nasa-97741407.html

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    COMMENT MANIPULER L’OPINION PUBLIQUE ?

     
    Si nous comprenons les mécanismes et les motivations de la pensée de groupe, ne pouvons-nous pas contrôler et enrégimenter les masses selon notre volonté, sans qu’elles ne s’en doutent?
    La pratique récente de la propagande a prouvé que c’était possible, du moins jusqu’à un certain point.
      
    — Edward Bernays, Propaganda, 1928


     
     
     
    Edward Louis Bernays Edward Bernays (1891-1995), neveu de Sigmund Freud émigré aux États-Unis, fut l'un des pères fondateurs des "relations publiques". Conseiller pour de grandes compagnies américaines, Bernays a mis au point les techniques publicitaires modernes.
      
    Edward Louis Bernays est considéré comme le père de la propagande politique institutionnelle et de l'industrie des relations publiques, dont il met au point les méthodes pour des firmes comme Lucky Strike.
      
    Il considère qu'une minorité intelligente doit avoir le pouvoir « démocratique » et que la masse populaire doit être modelée pour l'accepter. En combinant les idées de Gustave Le Bon et Wilfred Trotter sur la psychologie des foules avec les idées sur la psychanalyse de son oncle Sigmund Freud, Eddy Bernays a été un des premiers à vendre des méthodes pour utiliser la psychologie du subconscient dans le but de manipuler l'opinion publique.
      
    Au début des années 1950, il orchestra des campagnes de déstabilisation politique en Amérique latine, qui accompagnèrent notamment le renversement du gouvernement du Guatemala, main dans la main avec la CIA. Un document édifiant où l'on apprend que la propagande politique au XXe siècle n'est pas née dans les régimes totalitaires, mais au cœur même de la démocratie libérale américaine. Et ou l’on apprend comment manipuler l'opinion en démocratie...
     
     
     
     
     
    Premières armes
     
    Edward Bernays est né à Vienne, en 1891, mais à l’âge d’un an, il devient citoyen des Etats-Unis d’Amérique lorsque son papa Ely émigre à New York.
      
    Le petit Eddie est le neveu de Sigmund Freud, dont il lira les livres, qu’il admirera non seulement pour sa célébrité, mais aussi pour la profondeur de ses découvertes et avec lequel il conservera un contact privilégié.
      
    Il débute dans la carrière en s’occupant de la mise en marché d’une tournée américaine des Ballets Russes, puis devient l’impresario de Caruso, avec lequel il fait ses armes et grâce auquel il sera introduit au gratin du showbiz, ce qui lui servira par la suite. Il tente sans succès de s’engager dans l’armée de terre, qui le rejette en raison de ses lointaines origines autrichiennes.
     
    Qu’à cela ne tienne, on le retrouve à l’état major, où il aide à prêcher l’effort de guerre. Un de ses premiers clients est Mazaryk, le président de la toute nouvelle Tchécoslovaquie.
      
      
    En 1918, Bernays le persuade de retarder l’indépendance de son pays d’une journée, pour mieux s’assurer les premières pages des journaux. Edward Bernays force une rupture importante dans la façon de mettre un produit en marché en faisant réaliser à l’industrie qu’il est plus efficace de s’adresser indirectement au désir (inconscient) du client qu’à ses besoins.
      
    Jusqu’aux années 20, la compagnie Poupou Poulet Inc. proposait à Nathalie d’acheter les poulets de Poupou Poulet Inc en vantant leur durabilité, leur versatilité, la qualité de leur fabrication, et gnagnagna.
      
    À compter de Bernays, qui commence à expérimenter sur la gestion des masses en utilisant la stimulation du soi irrationnel, l’entreprise convainc plutôt Nathalie qu’il lui manque un pénis, et qu’elle peut remplacer ce pénis par un poulet de Poupou Poulet Inc.
     
    Dans les années 20, les grandes banques américaines fondent d’immenses chaînes de magasins et les truffent à craquer de produits innombrables.
      
    C’est la naissance de la société de consommation et, dorénavant, il n’y a plus rien de rationnel dans la relation entre le consommateur et le produit, puisque c’est à son inconscient qu’on s’adresse.
      
      
    L’ampleur du phénomène est ahurissante.
      
    C’est à compter de cette époque que les chaînes de restauration poussent comme des champignons, proposant principalement deux produits, le pénis (hot-dog) et le nichon (hamburger).
     
     
    Les Flambeaux de la liberté
     
    Bernays raconte avec fierté comment il a réussi à faire fumer la cigarette aux femmes de la planète. American Tobacco payait depuis des années les grandes stars de l’opéra pour prétendre que les Lucky Strikes adoucissaient leur voix, reposaient leur gorge, magnifiaient leurs performances et purifiaient leur timbre.
      
    Une entreprise concurrente engage Bernays, qui recrute une armée de médecins et de spécialistes de la gorge et de la trachée, chargés d’exprimer l’idée qu’aucune preuve scientifique ne permet d’affirmer que les Lucky Strikes sont meilleures pour la santé que leurs concurrentes, qu’en fait, toutes les cigarettes sont également bénéfiques pour la gorge, la voix, et la santé en général, pas seulement les Lucky Strikes.
     
    Le résultat est immédiat. Et American Tobacco engage Bernays à l’année, n’exigeant au départ qu’une chose, qu’il ne travaille plus pour ses adversaires.
      
    Les compagnies de tabac américaines avaient frappé tout un coup de génie au cours de la première guerre mondiale, en faisant acheter par l’armée des milliards de cigarettes, qui étaient distribuées aux soldats parmi leurs rations.
      
    Jusqu’alors, les hommes leur préféraient le cigare, la pipe ou la chique, jugés plus virils, mais lorsque les GI reviennent du front en 1918, la cigarette est devenue synonyme de fraternité, de victoire, et de la domination de l’Amérique. Un problème persiste, la femme.
      
    D’une part, l’homme refuse de voir la femme fumer. De nombreux établissements interdisent carrément les fumoirs aux femmes.
      
    D’autre part, quant à la femme elle-même, elle trouve vulgaire l’idée de fumer en public, et les quelques rares fumeuses le font en cachette.
      
    Dans les années 20, Bernays analyse la situation, soumet ses observations à un psychiatre de New York qui confirme ses soupçons. Bernays orchestre un des grands coups de marketing de l’histoire en détournant une marche catholique (la procession de Pâques) pour en faire un évènement politique au profit des suffragettes.
      
    Une dizaine de jeunes premières, invitées par lui et soigneusement instruites du plan de bataille, se présentent au-devant de la procession, exhibent leurs cigarettes, et s’allument devant les caméras des journaux.
     
    Bernays lance le slogan aux journalistes présents: « elles allument des flambeaux pour la liberté ».
      
    Ça coule de source. Les journaux accordent la première page à la nouvelle.
      
    Les conservateurs vendent de la copie grâce à l’aspect scandaleux. Les progressistes sont charmés.
      
    Les féministes exultent, jubilent de l’ampleur du phénomène médiatique. Toute la société états-unienne est flattée sur la muqueuse par l’imparable évocation de la sacrosainte liberté.
      
    La femme éprise d’émancipation devra simplement fumer. Fumer c’est voter !
     
     
     
     
     
     
    Tout le monde profite des photos sexy de ces jolies jeunes femmes. Tous y gagnent! C’est fantastique. Bernays avait compris que la femme de l’après-guerre avait bossé dans les usines pendant que les hommes étaient au front et il lui offrait un symbole phallique digne de l’ampleur de ses revendications, la clope. Les succès se poursuivent pour l’association Bernays American Tobacco. Histoire de mousser les ventes encore plus, Edward recrute différentes associations de médecins et finance leurs campagnes agressives pour la minceur chez la femme.
      
    La femme américaine en santé sera donc filiforme !
     
    Les magasines spécialisés et les publications destinées aux médecins publient des articles, vantant les vertus de la maigreur féminine, mais aussi de la Lucky Strike, le choix des médecins, et toujours la meilleure pour la santé.
      
    Des publicités dans les journaux et les magazines, présentées par des regroupements de docteurs, de médecins de famille, de dentistes et d’instituts plus ou moins bidons (tous fondés par Bernays avec des fonds de American Tobacco) proposent ensuite carrément à la femme de tendre la main vers une cigarette plutôt que vers un bonbon, ce qui est tellement meilleur pour la santé. La campagne connaît un tel succès que les grands confiseurs et les producteurs de sucre attaquent American Tobacco en justice et réclament des dommages et intérêt.
      
    C’est un triomphe, la femme est maigre, elle est libre, elle respire la santé !
      
    Bernays invente le concept de la bidirectionnalité du rapport entre le produit et le client. Eddie est le premier à proposer d’aller voir le consommateur en personne pour écouter sa voix. Les instituts de sondage naissent de ce nouveau besoin. Gallup est le tout premier, en 1935.
     
    C’est en tenant un des tous premiers focus groups que Bernays découvre un défaut majeur de la cigarette dans la conquête du public féminin, la couleur.
      
    Primo, la femme moderne veut porter du rouge à lèvres (on vient justement à peine de la convaincre que ses lèvres n’avaient pas la bonne teinte) et le rouge tache la cigarette. C’est pas beau.
      
    On lui offre donc premièrement des cigarettes mode, avec l’embout de couleur foncée. Ce n’est pas tout. Le paquet vert des Lucky Strikes déplaît aux dames, puisqu’il ne va avec rien de ce qu’elles portent. Bernays propose à American Tobacco de modifier la couleur du paquet pour qu’il s’agence avec les teintes de l’époque.
      
    Il affronte un refus catégorique. La marque a mis tellement d’énergie à imposer son image que c’est hors de question. Qu’à celà ne tienne. Eddie fait jouer ses contacts dans le milieu de la mode et des textiles (d’autres clients à lui) et parvient à imposer la couleur verte du paquet de Lucky Strikes.
      
    Le vert devient une des couleurs marquantes des années folles et, chose essentielle, la femme moderne peut sortir son paquet de Lucky Strikes n’importe où, il s’agence avec sa robe, le mur, les tentures, le piano, la lampe, le tapis. Et son teint.
      
    Détail marrant, au cours de la même période, l’association des producteurs de porcs des États-Unis engage Bernays.
      
    Celui-ci se rend comtpe que les américains se contentent pour la plus part d’un simple café ou d’un jus d’orange au petit-déjeuner. Eddy s’agite en tous sens, déniche quelques médecins prêts à tout pour un petit chèque, et entâme une campagne multi-azimuths pour convaincre les états-uniens de commencer la journée par des oeufs et du bacon.
      
    À cette époque, donc, une seule même entreprise de relations publiques, celle de Bernays, fait à la fois l’apologie de la maigreur et chante les vertus du bacon.
     
      
    Teapot Dome
     
    Poison Ivy avait fait sa marque et son beurre grâce au massacre de Ludlow. C’est le scandale dit du Teapot Dome qui lance véritablement Bernays et lui fait mériter son surnom de Father of Spin (le père de la désinformation). Aux prises avec le scandale du Teapot Dome, le président Harding fait appel à Bernays. Celui-ci ne pourra pas l’empêcher d’être un peu assassiné.
      
    Il meurt empoisonné d’une embolie, d’une crise cardiaque et/ou d’un arrêt respiratoire compliqué par une étrange inaction des médecins, au cours d’un voyage en train.
      
    C’est l’occasion d’inaugurer une (autre) annexe au Mauvais Siècle, qui s’intitulera le Petit Manuel du Filoutage.
      
    Le vice-président Coolidge devient président à la place du président et Bernays poursuit son boulot de réparateur d’image.
      
    On vend dans un premier temps l’idée rassurante que Coolidge est un personnage drabe, ennuyant, un homme ordinaire, un bon mari (contrairement à Harding qui avait des copines), un petit potache sans l'envergure des crapules habituelles. Une fois que tout le monde a avalé cette idée, on s’attaque à son pseudo-caractère tristounet en le faisant passer pour un homme discrètement fascinant. Bernays organise des fêtes à la Maison Blanche avec tout le gratin d’Hollywood.
     
    Les journalistes accourent, les photographes se délectent. Coolidge devient cool tout court. Bernays est un membre à succès de la société New-Yorkaise, donnant parties sur soirées dans son chic appartement au Netherlands Hotel où il reçoit tant les stars que les politiciens, les riches, les grands de ce monde. Tout le monde est content. Plus personne ne se rappelle que le Teapot Dome était relié au parti de Coolidge, qui remporte l’élection. Keep cool with Coolidge !
      
    C’est également au cours de ces années que Bernays développe l’idée du Soi consommateur. Walter Lippman (auteur en 1922 de l’expression « fabrication du consentement » —manufacturing consent) et Bernays (qui pousse plus loin avec « ingénierie du consentement »engineering consent) considèrent tous deux que la masse doit être contrôlée, guidée, restreinte.
      
    Ses espoirs, désirs, besoins et aspirations doivent être canalisés par l’élite, les bergers du troupeau. L’élite de la société américaine (les grands banquiers, les industriels et leurs valets) rêve d’une société stable, docile et profitable.
     
    Le consensus chez les historiens serait apparemment que Hoover manquait de charisme, ne s'y entendait pas en politique, n'avait pas beaucoup d'appuis chez les élus, ne pigeait rien à l'économie. Joli défi pour Bernays. Herbert Clark Hoover est élu président à la place de Coolidge en 1928. Il prend office le 4 mars 1929. Il avait été secrétaire du commerce sous Harding et Coolidge, donc le Teapot Dome avait été commis sous sa garde ! Qui s'en souvenait ? Qui s'en souçiait ?!
      
    Hoover garde Bernays à son emploi, lui confiant diverses missions. Dès le mois d'octobre de la première année du mandat de ce grotesque pazzi, c'est le crash.
      
    Bernays est donc au sommet de la tour durant ces années cruciales de la Grande Dépression, au cours desquelles les grandes banques américaines et internationales procèdent à leur immense arnaque.
     
    Savon, chimie, machin
     
    En 1924, Procter & Gamble engage Bernays. Le problème ? Les enfants détestent le savon. Pourquoi ? Ça pique les yeux. Bernays lance un concours national de... sculpture dans le savon Ivory. Des millions d’enfants participent ! Ce faisant, ils apprivoisent le savon.
     
    De toute façon, chez Procter, on rigole bien, les écoles achètent des caisses de savon pour leurs cours d’art! On distribue même aux mères de familles des guides expliquant comment transformer les copeaux en savon à lessive.
     
    Bernays restera à l’emploi de Procter & Gamble pendant près de quarante ans. Les chapitres VI et XI de Mein Kampf sont directement inspirés de Cristallizing.
     
    Goebbels, d’abord rival, puis bras droit d’Hitler dans les années 20 et ministre de la propagande Nazi de 1933 à 1945, admirait ouvertement Bernays et s’inspira de ses livres et de ses exploits du début à la fin. Les nazis ont invité sans succès Bernays à venir travailler pour eux.
      
    Malgré qu’il partageait leur haine violente des communistes, Eddy, juif, patriote et progressiste, détestait le fascisme et a décliné.
      
    Pour Edward Bernays, l’élite devait effectivement dicter ses volontés au peuple, mais il prônait une manière douce et sophistiquée de mener le troupeau à l’enclos, contrairement à la méthode gourdin des Mussolinni, Franco et Salazar.
      
    Les Nazis étaient des gens ouverts, raisonnables, modernes ! ils se ménagèrent une méthode mixte, utilisant un peu de gourdin, un peu de chansonnette, et menèrent avec une belle vigueur le troupeau dans l’enclos, comme on le sait.
     
    Les Années Trente
     
    Bernays convainc les architectes et designers d’intérieur des années trente d’encastrer des bibliothèques partout. Son client ? L’éditeur géant Simon & Schuster. Les jeunes mariés cherchent des livres pour garnir leurs bibliothèques.
     
    En 1931, dans le film Thirty Million Frenchmen, Maurice Chevalier chante une chanson dont un des vers est « You’ve got those ways, those fetching ways, that make me rush out to Cartier’s » (Ta façon charmante me donne envie de t’offrir une putain de montre de riche). Edward Bernays a payé les producteurs du film pour inclure ce vers dans le film.
      
    Le client de Eddie ? Cartier. De la même façon, faisant fi de tout réalisme historique, les cowboys d’Hollywood commencent à fumer des cigarettes à l’écran. Des scènes de clope sont ajoutées brutalement au moment du tournage, souvent montées un peu n’importe où. L’important est simplement de faire croire à une tradition associant l’homme, le vrai, à la cigarette.
     
    Le héros des films de westerns n’est presque jamais un cowboy (employé de ferme), mais presque toujours le sheriff. Sheriff = flic = autorité = civilisation. Il est donc l’élément de l’histoire représentant la volonté de l’élite de mettre de l’ordre, d’asservir le monde aux besoins de la cité.
      
    D’imposer la volonté de l’empire aux hommes libres. J’invite les parents parmi mes lecteurs à méditer sur les personnages et les actions du film Toy Story que leurs enfants ont regardé mille neuf cent soixante quatorze fois. Le leadership est assumé par l’armée et la police. La peau est blanche. Le sexe est masculin. Les inférieurs suivent, aident, font de leur mieux, collaborent.
      
    C’est ce qu’on leur demande. Le mal ultime (identifié par la meuzik) : modifier les produits industrialisés pour en faire quelque chose de nouveau (certainement ce qu’on pourrait appeler l’art). Les produits souffrent quand on leur manque de respect. Ce film est une preuve que Bernays est éternel. Une des grandes obsessions historiques de l’Amérique est Order out of Chaos (faire jaillir l’ordre du chaos). C’est une des phrases favorites de Rockefeller, qui pendant la conquête de l’Ouest faisait la conquête du Monde.
     
     
    C’est également une des expressions préférées de Edward Bernays, qui l’emploie souvent dans ses écrits. Ce sont les derniers mots de son bouquin de 1928,Propaganda.
      
    En 1936, Bernays est engagé par la compagnie Philco pour développer le marché états-unien de la radio, jusque-là stagnant. Ça a marché.
     
    New World Expo
     
    En 1939, Bernays participe de multiples façons à l’Expo Mondiale se déroulant à New York. Bernays est entiché par le lien entre la corporation et la démocratie. General Motors et Ford dominent l’exposition. GM, un des clients de Bernays, présente sa vision de l’Amérique du futur, avec son pavillon très couru, le Futurama, dans lequel on peut voir les dessins de ce qui deviendra l’Étendue, la Suburbia, un monde futuriste guidé par la puissance de la corporation.
     
     
    Une ville miniature fait partie des exhibitions, appelée "Democracity", montrant un noyau commercial et industriel encerclé d’immenses landes recouvertes de bungallows. La maquette ressemble à s’y méprendre à l’Amérique du Nord actuelle. L’oeuvre de véritables visionnaires. Ils avaient deviné le futur !
     
    Il faut dire que les grands cartels banquiers avaient profité du Crash de 1929 pour reprendre aux fermiers d’immenses étendues de terre dans le mid-west. Le plan pour le développement de ces étendues arrivait à maturité.
      
    Certaines personnes croient que ce modèle de civilisation est le fruit du hasard, ou encore un avènement naturel.
      
    Ces personnes se forgent des opinions. Tant mieux. Certains observateurs attentifs remarquèrent l’absence de lieux de culte dans le modèle réduit. Avant qu’un scandale éclate, comme par magie, on y fixa quelques églises. Quelle importance ? Les habitants de la vraie Futuropolis ne seraient pas au pouvoir, mais plutôt leurs désirs inconscients. L’Allemagne était étonnamment absente de l’exposition, dans le sens qu’elle n’y louait pas de pavillon.
     
    Par contre, sa présence se fit sentir tout au long des deux années de présentation, puisque les nations représentées à l’expo avaient une désopilante tendance à se faire annexer ou conquérir les unes après les autres par cette même discrète puissance teutonne.
      
    La Tchécoslovaquie, puis la Pologne, le Danemark, la Hollande, la Belgique, le Luxembourg, la France, la Norvège…
      
    Certains pavillons demeurèrent ouverts jusqu’à la fermeture des lieux en 1940, derniers vestiges de la souveraineté de leurs mères patries.
      
    Encore un de ces détails marrants, le pavillon de la Pologne était voisin de celui de l’Union Soviétique. En 1940, toute la section fut rasée au bulldozer pour faire place à un espace appelé la Commune Américaine.
     
    La Route
     
    La compagnie Mack Trucks engage Bernays en 1949. Leur problème : ils ne peuvent pas vendre plus de camions. Ils ont saturé le marché. Eddie réalise que la concurrence ne vient pas des autres fabricants, mais bien du chemin de fer. Il parvient à imposer à son client une idée totalement folle, s’attaquer aux trains en faisant une promotion rageuse de l’autoroute.
      
    Une fortune est engloutie dans le projet. On forme des comités de citoyens bidons, de faux experts écrivent de vrais articles qui paraissent un peu partout, la pression populaire pèse sur des autorités déjà corrompues par des contributions non négligeables, c’est un véritable raz-de-marée qui prend d’assaut la campagne américaine ! On la couvre de routes !
     
    Faut dire que General Motors est également client de Bernays, et que les tentacules supposément détachées de Standard Oil sont bel et bien là pour contribuer à l’effort. C'est juste si Bernays ne sort pas de sa manche un autre de ses Comités Nationaux des Médecins de Famille pour vanter les vertus de l'asphalte dans la lutte aux ongles incarnés. La civilisation de l’automobile prend son véritable essor.
     
    Bananas
     
    Évidemment, Eddie travaille pour le gouvernement états-unien pendant la Seconde Guerre. D’abord comme promoteur de l’entrée en guerre, puis de l’effort industriel, mais éventuellement comme consultant pour l’OSS (l’organisation des services secrets), qui deviendra ensuite la CIA. Comme c’était secret, on ne connaît pas grand’chose des activités secrètes de Bernays pour les services secrets. Comme disait un grand philosophe, « si je te disais mon secret, je ne serais plus agent secret ».
     
    Une rumeur court selon laquelle Eddie aurait participé à l’étude de la psyché nippone qui a mené a l’emploi de l’arme nucléaire contre le Japon. L’OSS aurait également caressé le projet de faire éclater les failles sismiques de l’île en bombardant les lisières des plaques techtoniques, mais ça, bon sang, ça serait sacrément dingue.
      
    C’est probablement au cours de son passage à l’OSS qu’Edward Bernays se lie d’amitié avec les sympathiques frères Dulles, John Foster et Allan. Ceux-ci sont avocats, politiciens et grands amateurs de fruits. Ils invitent Eddie à bosser pour une chouette entreprise dont ils sont les avocats et de laquelle ils sont d’importants actionnaires, United Fruit.
     
    Ces charmants messieurs feront l’objet d’un chapitre rien que pour eux, donc je ne m’étendrai pas trop sur les grandes oeuvres de leur charmante bizness.
      
    Toujours est-il qu’ils avaient beaucoup de bananes à vendre, que c’est la puissance de leur compagnie (et son obsession de la banane) qui a engendré l’expression « république de banane », et que Edward Bernays n’avait évidemment pas un immense défi devant lui lorsqu’on lui a demandé de vendre des bananes à l’inconscient du soi consommateur des occidentaux. Think big.
      
    Au plan de la politique extérieure, on ne fait pas d’omelette au bacon sans casser des couilles.
      
    Ça n’a pas toujours été sur des roulettes pour nos amis Dulles.
      
    Je n’évoquerai ici que le cas Arbenz, qui a fait date, parce que la chose fait partie des chefs-d’oeuvre de Bernays. Le plan monté pour cette opération a servi souvent par la suite et sert encore aujourd’hui. Je dirais même qu’il sera employé jusqu’à la fin des temps, si par malheur, on se rendait jusque là.
     
    Le colonel Jacobo Arbez Guzman est élu président du Guatemala en 1950. C’est un modéré pragmatique, soucieux de développer le potentiel économique de son pays et d’en améliorer les conditions. Pour faire une histoire courte, Arbenz a l’idée d’acheter à United Fruit les énormes terres non cultivées que celle-ci possède au pays.
      
    Devant le refus du géant américain, une loi est promulguée, permettant aux paysans de faire l’acquisition des terres laissées à l’abandon par les grandes sociétés agricoles. Le problème est que la United Fruit a absolument besoin de ces terres pour s’assurer le contrôle de la production et éviter toute concurrence, ce qui lui permet de fixer les prix.
     
    Que les paysans crèvent de faim en regardant des champs où rien n’est planté ne fait pas partie de l’équation. United Fruit et Wall Street d’un côté, et le peuple du Guatemala et son gouvernement de l’autre, sont désormais à couteaux tirés.
      
    Mais l’empire du fruit possède une arme de persuasion massive. Bernays est chargé d’une campagne de salissage dans les médias américains au cours de laquelle le gouvernement guatemaltèque est qualifié de communiste et ses mesures en faveur des paysans sont montrées comme autant de preuves de la terrible influence de l’ogre soviétique, en pleine sphère d’influence états-unienne, dans la propre cour de l’Oncle Sam (le terme bidonnantbackyard).
      
    Le public lui-même finit par réclamer une intervention et l’armée Impérialiste arme et organise un coup d’état en 1954.
      
    Les fils de presse occidentaux annoncent triomphalement la bonne nouvelle de la libération du pays. Ces textes sortent directement du bureau d’Edward Bernays, renseigné heure après heure par son réseau d’espions et d’agents, mi-United Fruit, mi-CIA, infestant la capitale Guatemala Ciudad.
      
    Une junte militaire remplace le gouvernement démocratique, qui règne depuis sur le pays, en collaboration harmonieuse avec United Fruit et ses subséquentes incarnations, qui a repris tous ses droits. Il a malheureusement fallu exécuter, violer, torturer et emprisonner quelques centaines de milliers de personnes, mais c’est le prix à payer pour vivre dans un monde libre et sécuritaire.
     
    Ironie incroyable
     
    Petit sous produit rigolo et inattendu de ce coup d’état, un jeune homme séjournait chez des potes au moment de la prise de la capitale. Ce jeune médecin beatnik, jusqu’à ce jour plutôt buveur, coureur de jupons et ennuyé par la politique, a été tellement sidéré par les évènements que sa vie a changé radicalement par la suite. Il s’appelait Ernesto Guevara Lynch de la Cerna.
      
    À la fin des années 40, l'armée américaine fabriquait des bombes.
    Beaucoup de bombes. Nucléaires.
      
    Un des sous-produits de cette industrie, le fluorure, était un violent poison. Ça coûtait cher de s'en débarrasser. En prévision des éventuelles poursuites que les victimes inévitables de ce fléau risquaient d'entreprendre, on commanda des études cuisinées destinées à faire croire que ce déchet toxique était une panacée...
     
    Bernays bossait sur le coup, et comme ses petits instituts dentaires étaient déjà en place, les mêmes qui recommandaient la cigarette depuis 20 ans, on décida que cette crisse de marde était bonne pour les dents et Eddie se chargea du boulot. Au lieu de dépenser des millions pour trouver une façon sécuritaire de disposer de ce caca industriel, on le VEND aux communautés, qui avec l'argent de leurs taxes, notre argent, le mélangent à l'eau potable. Montréal résiste encore, pour l'instant... Mais pas Laval, ni... Québec. Tiens, tiens, tiens... Si c'était vrai que ça rend idiot, ce truc... Ça expliquerait le but d'Alain Côté, CHOI, et la montée de Mariolinni !
     
    Fin
     
    Golda Meir a approché Bernays qui a ensuite pris en charge l’image publique d’Israël aux Etats-Unis. L’Inde l’a également engagé pour le même travail. Dans les deux cas, Bernays se rapportait fidèlement au Département d’État, donc à ses amis Dulles. Bernays a vécu jusqu’à l’âge de 105 ans. Il n’a jamais aimé la cigarette et n'a jamais fumé.
     
    Au courant depuis les années 30, comme ses employeurs de l’époque, des dangers du tabac, il convainquit même sa femme de cesser de fumer.
      
    Possiblement rongé par la culpabilité, il prêta ses talents à la lutte anti-tabac dès les années soixante, proposant même des campagnes si radicales qu’elles furent rejetées par les autorités. Partiellement conscient (un peu moins que Guy Debord, disons) des aspects néfastes du monstre qu’il avait engendré, il tenta pendant quarante ans de baliser les possibles excès de la propagande et des relations publiques, proposant des lois, des conseils, des ordres professionnels... Sans succès.
     
      
      
    Bernays a dit :
     
    "Aucun sociologue sérieux ne croit désormais à cette idée absurde selon laquelle la voix du public représente une sorte d’idée divine, sage ou grandiose.
      
    La voix du peuple exprime la pensée du peuple et cette pensée est formée pour lui par ses meneurs et par les personnes qui comprennent la manipulation de l’opinion publique.
      
    Celle-ci est composée de préjugés traditionnels, de symboles, de clichés et de formules verbales inculqués au public par l’élite."
     
    "Dans tous les gestes de nos vies quotidiennes, que ce soit dans la sphère politique ou économique, dans notre comportement en société ou notre réflexion éthique, nous sommes dominés par un petit nombre de personnes — une fraction infime de la société — qui comprennent les processus mentaux et les cadres sociaux régissant les masses."
     
    "Il est relativement facile de faire changer les attitudes de millions de gens, alors qu’il est impossible de faire changer l’attitude d’une personne seule."
     
    "Il est plus facile de faire accepter son point de vue en citant les autorités dignes de respect, en encadrant l’angle dans lequel notre idée a germé, et en faisant référence à la tradition qu’en disant à quelqu’un qu’il se trompe."
     
    "Une phrase qui s’adresse au public ne devrait jamais compter plus de seize mots et une seule idée."
     
    "La meilleure défense contre la propagande, plus de propagande."
     
    "J’ai été choqué d’apprendre que mes livres ornaient les tablettes de la bibliothèque de Goebbels. Mais je savais que toute activité humaine peut servir des objectifs sociaux ou antisociaux. De toute évidence les attaques contre les juifs en Allemagne n’avaient rien d’une explosion émotive et tout de la campagne soigneusement et délibérément planifiée. - - -Je suis la victime, et non le bénéficiaire, de ma propre propagande."
     
    "L’école publique devrait former l’éducateur et lui faire réaliser que son travail comprend deux volets : l’éducation en tant que professeur, et l’éducation en tant que propagandiste."
     
    "Peut-on appeler ça le gouvernement par la propagande ? Si vous préférez, appelons cela le gouvernement par l’éducation.
      
    Cependant, l’éducation, dans le sens académique du mot, est insuffisante. Il faut une propagande experte et éclairée, à travers la création de circonstances, la mise en scène d’événements significatifs, et la dramatisation de certains sujets. L’homme d’état du futur sera ainsi capable de mobiliser la pensée du public autour de certains points politiques précis, et pourra enrégimenter une vaste étendue d’électeurs hétérogènes en leur offrant une compréhension claire de la situation, qui les mènera à des actions intelligentes."
     
    "Certains objecteront, évidemment, que la propagande finira par s’autodétruire, au moment où ses mécanismes deviendront évidents pour le public. À mon avis, non."
     
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    LES RÉVÉLATIONS STUPÉFIANTES DE L'ASTRONAUTE EDGAR MITCHELL AU SUJET DES OVNIS !

     
     
     
     
    Edgar Dean Mitchell est le sixième astronaute américain à avoir posé le pied sur la Lune... Il est né le 17 septembre 1930 à Hereford (Texas). Il est diplômé en science et en science de la gestion industrielle et Docteur en Sciences de l'Aéronautique et de l'Astronautique au MIT. Mitchell a reçu de nombreuses récompenses et honneurs; entre autre : la médaille présidentielle de la liberté, la médaille de l'US Navy et trois autres du "Group Achievement Awards" de la NASA. Il est apparemment partisan de l'hypothèse extraterrestre. Pour tout dire, il est aussi convaincu que convaincant!

    En 1984, il est co-fondateur de l'"Association des explorateurs de l'espace", une organisation internationale d'anciens astronautes.

    24 Juillet 2008 - L'astronaute Edgar Mitchell est intervenu en direct sur la station britannique Kerrang Radio, interrogé par Nick Margerrison... Le projet initial de l'animateur était de lui faire revivre sa mission lunaire. Mais l'interview a pris une tournure inattendu après une quinzaine de minutes....

    Edgar Mitchell avait déjà laissé entendre ce genre de choses, mais c'est la première fois qu'il fut aussi catégorique, et selon ses dires : "les Ovnis sont bel et bien réels !!! Toujours selon lui, ils font l'objet d'opérations de couverture et certains de nos gouvernements sont bien en contact avec des êtres d'autres planètes !!!


    La preuve OVNI de la NASA par mick2008
     
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